Mes yeux fixent cette large fente qui partage le gland. C’est par là que dans quelques secondes jaillira la première giclée de sperme. Elle pénètrera dans ma bouche ou ira s’écraser sur ma joue, ou mon menton, ou mon nez. Les autres jets suivront, moins puissants mais encore incroyablement abondants. Je sais l’exceptionnelle capacité des testicules de Pablo. La dernière fois déjà son jus épais m’avait rempli la bouche et couvert une bonne partie du visage.
J’avais beau m’y attendre, la première giclée me surprit par sa force et j’eus un mouvement de recul, un réflexe, comme pour me protéger d’un danger. Mais très vite j’ai ouvert grande ma bouche pour ne rien perdre de ce liquide merveilleux. Je sens sur ma langue la consistance épaisse de sa semence. Après trois ou quatre jets, je ferme mes lèvres préférant recevoir les suivants sur mon nez et mon menton. Je sens même un filet couler dans mon cou.
Après avoir accompagné son éjaculation d’un gémissement rauque de mâle en pleine jouissance, Pablo reste immobile et silencieux. Son énorme sexe est toujours bandé, bien droit, dirigé vers moi. Est-ce qu’il continue de jouir en silence, satisfait de lui. C’est possible, car il vient de conclure brillamment sa partition de mâle. Après m’avoir pilonné, dominé, traversé de part en part, avec un membre dur comme l’acier, il vient de m’offrir ce qu’il a de plus précieux dans son corps, ce jus épais, odorant, abondant, qui rend fous ses partenaires, moi le premier, et féconde les filles qui se précipitent dans ses bras.
Pablo est un exceptionnel séducteur. Son corps ne laisse indifférents aucun membre des deux sexes. Il semble apprécier cet irrésistible pouvoir qu’il exerce aussi bien sur les filles de son entourage que sur les garçons, même sur ceux qui se vantent à droite et à gauche de conquêtes féminines. Moi, je n’ai jamais caché mon goût pour les partenaires masculins. Pablo le sait. Et parfois il ne reste pas insensible, comme ce soir, à mes compliments sur son corps athlétique. Et, quand l’occasion se présente, faute de poitrine généreuse (ce qui le rend fou !), ou de fesses féminines rebondies, il ne rechigne pas à se faire lécher les testicules par ma langue experte, ni à se défouler sur mon cul qu’il laboure comme une bête sans que jamais je n’ose lui demander de se tempérer. Je sais que Pablo est un mâle alfa et je ne vais pas le freiner dans ses élans dominateurs.
Hier soir, je l’ai rencontré au Bar Oasis, fréquenté par une clientèle gay à la recherche d’un partenaire pour la nuit. Dès que je l’ai aperçu entrer dans le bar, je l’ai invité à ma table, avant que d’autres ne lui sautent dessus. Il avait l’air contrarié. En bavardant, il m’avoua qu’il était vexé qu’une femme mariée lui ait posé un lapin. Il se faisait une joie de s’envoyer en l’air avec cette « rubia » (blonde, pas naturelle bien sûr…) aux allures de « gringa », dont le mari était incapable de satisfaire les besoins que Pablo jugeait « illimités ». Après deux bières, je lui ai proposé d’aller faire un tour dans un autre bar ; mais à peine sortis de l’Oasis, je lui ai proposé d’aller passer un petit moment ensemble à l’hôtel.
En fait de « petit moment », ce sera presque la nuit entière. J’avais compris que Pablo était surexcité et que mon expérience pouvait lui offrir un dérivatif, au moins pour un début de soirée. Pablo s’amusa de ma proposition. « Tu sais que tu risques de le regretter… ». Je savais, pour l’avoir expérimenté déjà à deux reprises, qu’avec ses partenaires gays il se déchaînait et que beaucoup n’ont jamais voulu recommencer, malgré l’attirance que Pablo exerçait toujours sur eux.
Il faut dire qu’il avait tout ce qu’un homo recherche chez un actif. Sa taille, 1,87 m, ce corps sculpté par la pratique régulière du sport, son âge, 34 ans, qui lui avait permis d’acquérir une indéniable expérience sexuelle, d’autant plus qu’il prétendait avoir dépucelé plusieurs de ses copains dès sa quatorzième année… Sans doute est-ce vrai. Et puis, surtout, son exceptionnelle dotation. Une verge de 21 cm… Vous me direz, il y en a de plus longues… Bien entendu, mais la sienne était très épaisse, droite, terminée par un gland énorme, qui, gonflé de sang en pleine excitation, paraissait ne jamais pouvoir se frayer un chemin dans les trous de ses partenaires, bien trop étroits en comparaison.
Et pourtant Pablo arrivait toujours à pénétrer ses amants, qu’ils soient masculins ou féminins. D’ailleurs, même les femmes, il préférait les prendre par derrière. Pas seulement par précaution pour ne pas les mettre enceintes, mais parce qu’il savait qu’il les rendait folles d’être transpercées par un membre aussi gros et long. Jamais il ne mettait de préservatif. Il préférait sentir le contact des peaux, juste séparées par le voile fin de la salive, que Pablo utilisait en abondance pour lubrifier les tuyaux de ses partenaires passives et passifs.
Je savais que Pablo avait apprécié les deux fois précédentes les câlins que ma langue prodiguaient à ses boules. Aussi ce soir je l’ai particulièrement gâté dans cette partie de son corps. Ses deux testicules sont d’énormes couilles oblongues, de couleur foncée, couvertes d’un duvet de petits poils noirs. Quand on les lèchent, on sent un goût fort que je n’ai retrouvé que chez peu de garçons. Sans doute est-ce la saveur de la « mâlitude », la preuve que Pablo est un authentique « semental », un géniteur, un reproducteur. Il tient du taureau sur tous les plans !
Masi ce qui est quasiment unique, c’est la quantité de semence qu’il libère à chaque éjaculation. Ce sont sept à huit jets de foutre d’une abondance que je n’ai jamais retrouvée chez mes autres partenaires masculins, même les plus virils d’apparence. Et ce n’est pas une question de taille du pénis ! Le sien est long, 21 cms, mais des mecs à l’organe démesuré, n’ont pas autant de sperme dans leurs couilles. Et çà Pablo le sait ! Tous ses partenaires s’enthousiasment en recevant tout ce foutre qui très vite déborde de leur bouche et se répand sur leur visage, leur cou, leur poitrine.
Pablo a toujours refusé de tourner dans des vidéos porno. Il a pourtant reçu des offres financièrement alléchantes. Il a uniquement accepté de se laisser filmer (enfin que sa bite en gros plan) dans une vidéo où on voit l’une de ses éjaculations hors du commun. On trouve parfois ce petit film sur internet. Seul le nom est changé. On ne dit pas que l’auteur de cette prouesse est Pablo, mais un certain Kévin. Si vous avez la chance de tomber dessus sur internet, sachez que c’est Pablo et lui seul qui est capable de cette performance.
Après m’avoir enculé ce soir comme un sauvage et vidé ses couilles dans ma bouche, Pablo aurait pu être rassasié… Je le pensais. Moi je n’en pouvais plus. Mais lui, très vite remis de ses exploits m’annonça qu’il allait faire un tour dans une boîte de drag-queens. Il aimait bien se payer de temps en temps une de ces créatures aux seins et aux fesses énormes, même si elles possèdent aussi un pénis énorme que bien des hommes rêveraient d’avoir entre les jambes. Pablo doit sans doute ne pas s’intéresser à cet outil très masculin et ne prêter attention qu’aux formes généreuses qu’il recherche avant tout chez ses partenaires féminines.
Je suis un peu déçu que ma prestation n’ait pas suffi à assouvir ses appétits sexuels. Mais Pablo est un être hors du commun et c’est ce qui fait son charme. Pourvu que, très vite, je pourrai à nouveau déguster le goût de son corps et sa délicieuse semence.
Rafael
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