Je rentrais chez moi. C'était la fin de l'après-midi, et comme toujours, fin septembre, à six heures il allait faire bientôt nuit. J'ai décidé quand même de passer par une allée, ce qui m'évite de faire tout un détour. C'est une allée très large, avec des arbres, des buissons, quelques bancs, des pelouses mal entretenues. Une espèce de jardin, tout en longueur, abandonné. En plein jour, beaucoup de voisins la traversent pour gagner du temps. Des gosses viennent y jouer. Mais dès la nuit tombée, plus personne ne s'y risque. Des clochards s'y installent parfois, et l'endroit n'a pas bonne réputation.
Ce jour-là, j'étais déjà bien avancé dans l'allée quand j'ai vu que trois mecs étaient assis sur le dossier d'un des bancs. Ils buvaient des canettes de bière. Je n'ai pas voulu faire marche arrière, pour ne pas leur donner l'impression que j'avais la trouille. J'ai donc continué à marcher tout en regardant à quoi ils ressemblaient. Ils avaient plutôt le genre caillera, crâne rasé sur les côtés, touffe de cheveux coiffés en brosse sur le dessus. La vingtaine à peu près. L'un d'eux était sans doute un peu plus âgé; il avait une gueule de brute, alors que ses potes étaient plutôt mignons, surtout un. Tous les trois avaient ce look qui me fait tant bander, mais de les voir ensemble me foutait plutôt les jetons...
J'étais presque arrivé à leur hauteur, quand l'un d'entre eux, le plus jeune, a sauté du banc et s'est mis en travers du chemin. "Et toi, où tu vas comme çà ?" Je lui réponds à voix basse : "Quoi ?" "Tu me prends pour un con ou quoi? Tu vas où ?" J'essaye de l'éviter, tout en répondant : "Je rentre chez moi." Je tente de continuer mon chemin, mais il m'attrape par une manche du blouson et m'arrête. "Lâche-moi !" Mon ton est plus ferme mais prudent, et je ne fais aucun geste brusque. D'autant plus que l'un des deux autres lascars est descendu de son banc et vient vers moi. C'est lui qui parle : "Tu ne passes pas par ici, sans notre autorisation... compris ?... Sauf si tu payes le péage !" Il a dit ça, calmement, comme une évidence... J'ai eu le temps de mieux voir sa gueule. Il est superbe, un visage dèjà viril, moins jeune que le premier, que je trouve encore plus canon. C'est lui qui ajoute : "T'as entendu ? File-nous ton fric !" "J'ai pas d'argent sur moi... Allez, laissez-moi passer, les mecs, soyez sympas..." Le troisième, resté assis sur le dossier du banc, se met à rigoler bruyamment... "Ne le laissez pas partir... vous avez vu le blouson qu'il a... il est super friqué, ce pédé..." Le premier reprend la conduite des opérations : "T'as une autre solution : tu payes pas mais tu nous files ton blouson !" Et le second précise : "Et en plus tu nous suces tous les trois..." Par précaution, je prends mes clés dans la poche du blouson et les glisse dans une poche de mon pantalon. Pour les calmer, je leur dis que j'accepte... de les sucer... Bien sûr cette concession ne me coûte rien, et, pour dire la vérité, je le leur aurais presque demandé comme une faveur, dans d'autres circonstances... Le premier, le plus jeune et un peu lèche-cul, commente : "T'as raison... il est pédé comme un phoque ! ... T'as vu comme il frémit du cul à l'idée de nous bouffer la queue ?..."
Le plus moche, resté assis, m'ordonne : "Allez fous-toi à poil ! qu'on voie ton cul !" J'hésite... j'ai peur que ce soit une ruse pour me piquer mes fringues... "T'as pas entendu ?... à poil ! espèce de petite tapette..." C'est le deuxième qui vient de me gueuler cet ordre. Il me pousse et je me retrouve le cul par terre... Je comprends que je dois m'exécuter : je baisse mon froc et mon slip, leur montrant mes fesses... mais sans me mettre entièrement nu. Je suis à genoux et les regarde un peu apeuré. Les deux lascars debout ont ouvert leur braguette et sorti leurs queues, encore molles et non bandées. Le plus grand s'approche de moi et me tend sa bite qu'il secoue pour lui faire prendre du volume sans doute. "Vas-y, nettoie-moi la queue !" Je prends son membre dans la bouche, je peux l'avaler entièrement sans problème car il ne bande pas. Je l'enduis bien de salive, je fais de même avec ses couilles. Il a de belles boules poilues, odorantes, comme j'aime. Très vite, sa queue durcit et triple de volume. Il est bien membré le mec, et je suce avec un plaisir évident son bel organe. "Vous avez vu comme il kiffe ma bite le petit pédé ?... Vas-y suce-moi bien... C'est pas tous les jours que tu bouffes de la queue comme çà ! Avale bien... Putain, il pompe comme une meuf ce pédé !" Son pote, debout à côté, se branle : lui aussi, bien que plus jeune, a une bite longue et épaisse. Il est circoncis, ce qui me confirme qu'il est sans doute beur. Je quitte la première queue pour goûter la sienne. Elle dégage un parfum mâle très fort, qui me ravit. Dès que j'ai avalé son beau bâton de chair, il commence à me baiser la gueule, en bougeant son bassin et enfonçant son chibre le plus possible. Je n'aime guère çà, car ce genre de mouvements provoque toujours en moi des haut-le-coeur, par étouffement. Mais je ne vais pas me plaindre... Sucer de beaux mecs c'est toujours ce que je trouve de plus kiffant ! Les deux potes vont à tour de rôle se faire pomper, et quand ils n'ont pas leur queue dans ma bouche, ils continuent de se branler, pour la maintenir bien raide, mais aussi sans doute parce que la vue de la queue de leur copain les fait bander à mort. Mais celui qui ne perd pas une miette du spectacle, c'est le troisième, toujours assis, fumant en silence sa clope, ne se palpant même pas le paquet. Il semble insensible. C'est le plus jeune, le beur, qui va éjaculer le premier. Il ne m'avertit pas et c'est seulement quand il commence à gémir que je comprends qu'il est sur le point de jouir. C'est trop tard : je sens déjà les jets de sperme gicler dans ma bouche. Je me rends compte très vite que son foutre, si je ne l'avale pas, va couler par les coins de mes lèvres... Alors j'avale tout, avec plaisir, je l'avoue : je le trouve tellement beau ce mec !... Je vais même nettoyer son gland, et lècher la dernière goutte qui perle dans la fente de son méat. Il apprécie, car au lieu de m'insulter, comme il l'a fait jusqu'à présent, il me félicite : "Chapeau ! t'es le roi de la pipe ! tu devrais passer chez moi, tous les matins, pour me pomper au réveil..." Son pote, a déjà enfoncé sa tige dans ma bouche, pressé de me déverser sa dose de semence dans la gorge... Il n'a enfoncé que la moitié de sa queue, ce qui lui permet de se branler en même temps. Et il ne va pas mettre beaucoup de temps à gicler à son tour... Pour qu'il n'y ait pas de jaloux, j'avale aussi son foutre : il me paraît plus épais que le premier et moins abondant. Mais j'adore le soulager comme le premier.
J'ai à peine fini de nettoyer la queue du deuxième que le troisième, le lascar le plus moche, s'adressant aux deux autres, se lève de son banc : "Baissez lui le froc, et crachez lui dans le fion ! Préparez-le bien... la petite salope va comprendre ce que c'est que prendre une vraie bite dans le cul, se faire niquer par un vrai mâle !" J'ai le souffle coupé, ce mec ne me plaît pas, il doit être brutal et je n'aime pas me faire défoncer le cul par des sauvages. Pendant que ses acolytes me demandent de me pencher en avant, de m'appuyer sur le banc, de tendre le cul en l'air, en écartant bien les fesses, je sens les crachats qui s'écrasent sur ma raie, leurs mains qui étalent la salive, leurs doigts qui s'enfoncent dans mon trou et lubrifient bien les parois de mon fion. J'aime tout ce qu'ils me font, leurs longs doigts qui me pénètrent. Ça me suffirait presque... plutôt que de me faire pilonner par une brute... Je m'aperçois qu'il est en train de se malaxer la queue, la brute, et il est apparemment monté comme un âne. Sa tige est très foncée..., longue... épaisse... circoncise. Un vrai chibre de rebeu, et, quand ils baisent, les rebeux sont plutôt déchaînés ! J'ai peur que ce troisième épisode de la soirée me laisse des souvenirs cuisants... Il se place derrière moi. Je tente de l'amadouer : "Vas-y doucement... Ta bite est très grosse... tu vas me faire mal..." Il ne répond pas, continue de s'astiquer la queue pour bien la raidir. Il commence par la faire glisser dans ma raie de haut en bas. Je serre les fesses, cambre le cul, comme par réflexe : j'adore, en fait, sentir une bite me caresser cette partie intime de mon anatomie... Puis il me donne des coups de bite sur les fesses, me flagellant avec son membre, histoire de bien me faire comprendre qu'il est le mâle et que ça va être ma fête... Jusqu'ici tout cela me plaît. Un de ses potes remarque que je bande et l'annonce au baiseur : "Putain, il bande la petite pute ! Tu le fais kiffer... Vas-y encule-la la salope, déchire-lui le cul !" Et excités par le spectacle, ses deux potes ont ressorti leur bites et se masturbent devant moi. Comme je le craignais, il me plante sa queue, d'un coup, dans le trou et en fait rentrer un bon morceau. Je pousse un petit cri de douleur. Pas de quoi émouvoir mon niqueur, qui en poussant sur sa queue arrive à la faire pénétrer jusqu'aux couilles. Ça me brûle et pour l'instant je n'éprouve aucun plaisir. Les deux autres me passent leur queue sur la gueule; me fouettent les joues et le nez. J'aime bien le parfum de sexe et de sperme qui se dégage de leurs dards, de nouveau bien durs et raides d'envie. Je sors ma langue et lèche leurs glands au passage. C'est la bite du jeune rebeu qui me plaît le plus; pour les couilles, c'est l'autre qui a les plus grosses, bien poilues et parfumées. Les coups de bite du troisième sont de plus en plus douloureux. Je n'ose pas me plaindre, car il n'est pas du genre à tenir compte de mon confort d'enculé. Il va me limer le fion une bonne dizaine de minutes, sans baisser de rythme, donnant même quelques coups plus forts pour mieux me transpercer... Les deux autres se branlent, excités par la proximité de leurs bites, qui se touchent parfois. C'est le jeune rebeu qui le premier va éjaculer une deuxième fois; je peux enfin voir la couleur de son sperme, on dirait du blanc d'oeuf, un liquide gluant et transparent. Quelques gouttes sont venues s'écraser sur mon nez et mon front. D'un doigt il recueille chaque goutte et me la tend pour que je la lèche. Je nettoie chaque fois son doigt : pas question de gaspiller son précieux nectar. Son copain a accéléré sa branlette et lâche lui aussi une bonne giclée : son sperme, comme je l'avais supposé en l'avalant la première fois, est plus épais, très gluant, bien blanc. Un foutre de jeune mâle en bonne santé. Je le déguste avec plaisir, alors que la brute continue de me défoncer derrière. Il ne souffre pas, lui, d'éjaculation précoce, c'est clair... J'ai le cul en feu et ne vois plus le moment que ça s'arrête. Il va encore me torturer un bon moment avant de pousser un râle de sauvage et de me remplir le cul de son sperme. Je sens qu'il retire enfin sa bite. Du liquide coule de mes fesses et mouille mes cuisses. Putain, le salopard m'a rempli de cul de foutre !
Je n'ai pas envie que ça recommence. C'est pourquoi, je remonte vite mon slip et mon froc, me rhabille comme je peux, et sans demander le reste, me barre en direction de chez moi. Une fois sorti de cette allée obscure, je ralentis le pas. Par chance, ils ne me suivent pas. En fin de compte, ça aurait pu plus mal se passer... Ils ne m'ont pas chouravé mon blouson, ne m'ont pas fouillé, sinon ils auraient vu que j'avais un peu de fric. Et surtout j'ai sucé deux belles bites de lascards, un fantasme enfin devenu réalité. Bien sûr j'aurais préféré me faire pénétrer par ces deux-là, plutôt que par cette brutasse sauvage...
Rafael
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