Depuis quelque temps je me fais livrer les courses chez moi. J’ai en effet découvert que le supermarché où je suis client livre gratuitement à domicile à partir de 50 euros d’achats. Avec l’inflation, on arrive (et même on dépasse !) ce montant très vite. Je dois reconnaître en plus que c’est bien agréable de n’avoir pas à trimballer des kilos sur mon charriot à roulettes, surtout en ce début d’été particulièrement chaud. Les livreurs, dans l’ensemble, sont plutôt aimables et certains même dépassent « l’amabilité » à laquelle ils sont professionnellement tenus…
C’est le cas du dernier d’entre eux ; je ne le connaissais pas, il ne m’avait jamais livré jusqu’alors. Dès qu’il est apparu à ma porte, avec ses grands caissons en plastique bleu empilés sur un diable, son apparence physique a attiré mon attention. Il était plus jeune que ceux venus jusque-là, il avait surtout un visage et un physique qui ne laissaient pas indifférent… Un gars dans les 22, 23 ans, très brun, avec une barbe de plusieurs jours, d’allure très sportive, au corps à l’évidence à l’étroit dans l’uniforme du supermarché. Avec ça, un visage très souriant. Il se déclara même prêt à m’aider à transporter mes courses jusqu’à la cuisine si je le voulais. C’était le premier jour de véritable canicule, ce qui rendait ce boulot encore plus pénible. En voyant les perles de sueur sur son front, je fis une remarque pour montrer que je compatissais à ses efforts, sûrement mal rétribués.
-« Avec cette chaleur, ça ne doit pas être facile de faire ce que vous faites… Vous ne voulez pas boire un verre d’eau fraîche ?... »
-« C’est pas de refus ! Vous n’êtes que mon troisième client de l’après-midi et je baigne déjà dans mon jus !... »
-« Entrez !... Mais au frigo je n’ai que de l’eau pétillante.»
-« C’est celle que je préfère... C’est super gentil. »
Le jeune Maghrébin entra. Oui, j’en étais certain maintenant, il devait être Marocain ou Tunisien. Un beau gars, costaud, aux traits fins et masculins à la fois. Sa barbe de quelques jours le « vieillissait » un peu, mais plus je le regardais et plus l’âge que je lui avais donné à son arrivée me semblait le bon. Il avait tout au plus 23 ou 24 ans. Il but d’un trait le verre de Badoit et me demanda, gêné, si je pouvais lui en servir un deuxième. Désaltéré, il regarda autour de lui et commenta :
- « Il est chouette votre appart et il y fait frais ! Vous habitez seul ? »
- « Oui, je suis célibataire. »
- « Excusez-moi… j’abuse de votre gentillesse… Mais est-ce que je peux utiliser vos toilettes ? »
- « Bien sûr… C’est là… C’est cette porte. »
Pendant qu’il urinait j’entendais un jet puissant se déverser dans la cuvette. Il avait apparemment la vessie bien pleine et entendre ce jet très sonore me plaisait plutôt… Le gars sortit des toilettes en continuant de boutonner sa braguette devant moi, sans embarras, ajustant même d’un geste franc son paquet quelque peu serré dans l’uniforme de la boîte.
-« Encore merci pour votre coup d’eau fraîche… Au fait, je voulais vous dire… Le week-end je fais des petits boulots « au black »… pour gagner un peu de fric. Je fais un peu de tout… de la peinture, je lave les vitres, ce que vous voulez… Je fais de tout. Je vous laisse mon 06… vous m’appelez si vous avez besoin… Je m’appelle Nabil. »
Il écrivit son numéro sur un bout de carton d’emballage et avec un large sourire me le tendit. Quand il fut parti, sa proposition me plongea dans le doute. Pourquoi m’avait-il offert ses services ? « Je fais de tout ! » Même si je mourais d’envie de le faire venir chez moi, que pourrais-je bien lui demander d’y faire ? Ce ne sont pas les idées qui me manquent… mais pas sûr qu’elles soient toutes dans « ses cordes ». Encore que !... Les rebeux se révèlent être de grands experts en la matière, j’en ai fait plusieurs fois l’expérience.
Rien ne m’empêchait de tenter le coup. Il avait parlé de vitres ; celles de mon appart auraient bien besoin d’un coup de glassex pour retrouver leur transparence. Et puis, une fois qu’il sera chez moi, je verrai bien... Ce qui me poussait à le prendre au mot, ce sont tout de même tous ces signes… ces paroles et manières qui m’ont intrigué. Par exemple, quand il m’a demandé si je vivais seul… Ou bien quand il est ressorti des toilettes : sa façon de se reboutonner la braguette sous mon nez, en mettant bien en évidence son énorme paquet. Et, le bouquet : s’être replacé la queue, ou une couille, trop à l’étroit dans son froc. C’est clair, tout ça n’était pas involontaire ; il a tout fait pour me chauffer, le salaud !
Le soir même, je l’appelle :
-« C’est Nabil ?... Je suis un des clients que vous avez livré cet après-midi… Ça va ? Pas trop fatigué par votre journée avec cette chaleur ?... »
-« Ah c’est vous ? Le client qui m’a offert à boire ?... Non j’ai pris une douche… Je suis en pleine forme maintenant… Comme je fais du sport, j’ai l’habitude de demander beaucoup à mon corps… Pourquoi vous m’appelez ? Il y a un problème ? »
-« Non, pas du tout… Mais vous m’avez dit que vous faites des « extras », le week-end… Vous m’avez parlé de vitres. En réfléchissant, ça m’intéresse. Vous seriez disponible samedi ?
-« Samedi ? L’après-midi… c’est possible. Le matin je fais les livraisons.
-« Pour moi, c’est parfait. J’ai tout ce qu’il faut à la maison. N’apportez rien. »
-« Si c’est d’accord pour toi , je viendrai vers 16 heures ? Ça te va ?»
-« Comment ?... à 16 heures… C’est d’accord. Je t’attends Nabil. »
-« À samedi. »
Quand j’ai arrêté mon portable, j’ai mis un moment à me demander si j’avais bien entendu. « C’est d’accord pour toi ? » Il m’avait tutoyé ! Ce n’est pas que je sois vexé par cette familiarité. Mais ce tutoiement venait s’ajouter à tous les autres signes que j’avais remarqués au moment où il était chez moi et qui me faisaient espérer une relation de toute autre nature que celle entre un livreur et un client de supermarché ! Pourvu que mes espoirs ne soient pas déçus ! Et ce garçon a tellement de charme… de sex-appeal ! Ah si de son côté il pouvait avoir les mêmes intentions que moi… J’ai bien fait, je trouve, de le tutoyer à mon tour. Beau réflexe.
Tout au long de la semaine, j’ai échafaudé des plans pour réaliser mon rêve… sans me prendre un râteau. Me faire éconduire pour une proposition ou un geste déplacés serait en effet une mortification intolérable. Il faut que je le « teste », pour ne pas faire un faux-pas, que je l’interroge sur sa vie personnelle. Il m’a bien demandé, lui, si je vivais seul… Il faut que je l’interroge sur ses loisirs, que je le félicite pour son corps athlétique, que je lui demande quel sport il pratique… Des thèmes qui me permettront, mine de rien, de vanter ses qualités physiques… Je lui demanderai aussi s’il a une fiancée… comment il s’amuse ? etc… etc…
Je crains qu’il ne soit pas dupe. Très vite, mes questions et mon intérêt répété pour son physique, c’est certain, le confirmeront dans ses soupçons. Plus je pensais à Nabil et plus je lui trouvais des qualités masculines indéniables. Sa carrure, bien que pour l’instant je ne l’aie pas vu torse nu, cette largeur d’épaules dénote une indéniable puissance. Et ses cuisses, quels piliers ! On voit qu’elles remplissent totalement son pantalon ; des jambes sûrement développées par la pratique du foot… ou par des séances de musculation dans un gymnase. Les rebeux adorent le foot et sont de très bons joueurs en général. Au téléphone, je me souviens, il a insisté sur sa capacité à récupérer très vite, parce qu’étant sportif il demandait beaucoup à son corps… Autre clin d’œil du jeune mâle fier de son physique et de ses capacités au lit ! C’est évident.
Le sport, il n’y a pas de doute, est l’un des thèmes à aborder pour qu’il devine mon très vif intérêt pour ses facultés corporelles. Mais il faudrait que j’arrive à lui proposer de rester un peu plus longtemps. En deux heures, deux heures et demie maximum, il aura fini de laver les vitres. Comment le faire rester un peu plus ? Je pourrais lui offrir une bière. Mais comment passer aux choses sérieuses, si nos échanges sur le sport et son corps n’ont pas dépassé les allusions ou les réponses ambigües ? Le mieux serait que je lui propose de rester « grignoter » quelque chose chez moi avant de partir. Une espèce d’apéritif dînatoire pour que je décroche enfin de le gros lot. C’est ça l’idée… Pas un repas, mais plein de petits trucs, des salés et des sucrés, pour détendre totalement l’atmosphère. Après ça il n’aura plus de raisons de rentrer chez lui, et on terminera la nuit comme je le fais en rêve !
Le samedi est arrivé plus vite que je ne le croyais. À 16 h 15 l’interphone sonne. « Tu te souviens Nabil ?... Mon appart est au 3ème». Je lui ouvre la porte. Il est splendide. Entièrement vêtu de noir. Un maillot de foot et un short avec le logo et les insignes du club de Liverpool.
-« Bonjour Nabil. Quelle classe… dans cette tenue de foot ! »
-« C’est le maillot de Liverpool. En fait, ils ont normalement une tenue rouge. On les appelle « les Reds », tu le sais. Mais parfois ils s’habillent aussi en noir. Moi je les préfère en noir. »
-« Ah bon… tu es supporter de Liverpool ? »
-« En réalité, je suis supporter de Mohamed Salah, mon idole ! il est attaquant, il a marqué 25 buts cette saison. Tu te rends compte : c’est un dieu ce type ! Il est Égyptien »
Je referme la porte derrière Nabil. Je suis content que la conversation ait commencé sur le foot et sur ce ton.
-« Tu sais, Je joue au foot moi aussi ? pas professionnellement… Mais j’adore, je suis arrière central. Tu aimes le foot, toi ? »
-« J’aime bien regarder des matches à la télé. Il y a des joueurs incroyables. Je ne sais pas comment vous faites, vous les joueurs, pour courir une heure et demie comme ça ! »
-« C’est l’habitude ! Il faut s’entraîner… C’est comme en amour… pour durer il faut s’entraîner… «
Et Nabil éclate de rire. Je crois qu’il se régale à m’exciter par des allusions de plus en plus directes. Je ne sais pas comment réagir. Je saute sur le prétexte des vitres pour changer de sujet, même si j’aimerais bien parler ouvertement des choses auxquelles Nabil pense.
-« Voilà, tu as du Sopalin, du liquide vitres, un escabeau. Est-ce qu’il te manque quelque chose ? »
-« Non tu as pensé à tout. Je commence par où ?... Ça te gêne si j’enlève mon maillot… attention… j’enlève que le haut... hahaha… Je transpire beaucoup, je ne voudrais pas le salir. »
-« Mets-toi à l’aise… comme tu veux… »
Nabil retire son maillot en croisant ses bras. Et je découvre le superbe torse du livreur et laveur de carreaux à ses heures. Des épaules solides, des pectoraux bien marqués, des bras aux biceps fermes. Sa peau est bronzée, peu de poils, à part une petite touffe entre les pectoraux, et sous les aisselles aussi, et un fin chemin poilu qui, partant du nombril, disparaît sous l’élastique du short.
Je ne peux pas m’empêcher de lui faire part de mon admiration.
-« Nabil, on voit, c’est clair, que tu fais du sport ! »
-« Pourquoi ? Tu trouves que je suis baraqué ? »
-« Tu fais l’étonné… Tu es sacrément costaud ! En plus on voit que tu pratiques régulièrement… Tes muscles sont fermes, tu as un corps très équilibré… »
-« C’est gentil. Tu me fais des compliments. Au fait c’est quoi ton prénom ? »
-« Raphaël. Ce ne sont pas des compliments lancés comme ça… Je trouve vraiment que tu as un corps attirant… »
À peine le mot attirant m’avait-il échappé que je regrettai de l’avoir prononcé, … d’être allé si loin. Mais Nabil fit semblant de n’avoir rien entendu et se saisissant du matériel se dirigea vers les fenêtres du salon. Je n’allai pas rester planté là à le regarder; je retournai donc dans la cuisine pour apporter la dernière main aux assiettes prévues pour l’apéro, même si je n’avais encore aucune certitude que Nabil resterait. Au bout d’un moment, ne tenant plus, je m’approchai de mon livreur, avec le prétexte de savoir si tout allait bien. J’allais pouvoir admirer de plus près son corps en plein travail. Voir ses bras se lever et se plier tour à tour, gonflant au passage ses énormes biceps, ça, ça me troublait et me faisait rêver. Son dos aussi était une merveille. On aurait pu, pour un cours de morphologie humaine, désigner un par un les muscles qu’un travail régulier de gymnastique avaient développés chez lui. Le corps de ce garçon me semblait parfait. Je voulais maintenant en savoir plus sur lui !
-« Excuse-moi… Nabil, c’est bien un prénom marocain ? » »
-« Non, c’est tunisien ! Mes parents sont de Bizerte. Tu connais la Tunisie ? C’est très beau… et les Tunisiens sont très sympathiques… »
-« Si j’en juge par toi… Vous êtes en effet super sympathiques ! Et vous êtes tous athlétiques, comme toi ?... »
-« Tu es gentil Raphaël… Je vois que je te plais ! »
-« Non… je le pense vraiment, Nabil… Tu as un corps parfait… Ton torse… tes bras… Tes jambes aussi sont très développées, certainement grâce au foot… »
-« Et tu n’as pas tout vu !... hahaha »
-« Ça ne m’étonnerait pas que de ce côté-là tu sois aussi bien développé… »
-« Tu veux voir, Raphaël ?... Approche-toi et vérifie ! »
Je ne peux pas résister à une telle invitation… Je m’approche et, relevant une jambe de son short, je découvre sa cuisse. Il est très poilu à l’arrière de ses jambes. En remontant plus haut ma main découvre la bosse de son slip. Je m’attarde dans ce nid douillet caressant avec volupté la toile soyeuse. Nabil ne bande pas encore mais son membre est déjà assez dur.
-« Baisse plutôt mon short… tu verras mieux. »
Il a raison, en plus personne ne nous verra, mon appartement n’ayant pas de vis-à-vis. Prenant à deux mains le large élastique, je descends peu à peu son short, faisant apparaître progressivement la partie la plus secrète de son anatomie. Le paquet est impressionnant. Des poils noirs frisés, dans l’entrejambes et à la taille, dépassent du slip. Il doit avoir un pubis très poilu. Le dos appuyé à l’escabeau, Nabil se laisse faire.
-« Tu peux enlever mon slip… tu as tous les droits… hahaha.»
Ses invitations à aller toujours plus loin sont la preuve que le jeune Tunisien est parfaitement conscient de ses richesses intimes et que, devant lui, il a un amateur de beautés arabes.
Nabil se débarrasse de tous ses instruments de travail et pousse vers moi la bosse énorme de son sexe.
-« Vas-y Raphaël, enlève tout… délivre mon petit oiseau… »
La cage est en effet pleine comme un œuf, pénis et testicules ne tiennent plus dans cet espace trop petit. En baissant le slip, la verge encore molle prend son envol et se place droite face à mon nez. Nabil encore à moitié perché sur l’escabeau et moi debout face à lui, je suis parfaitement placé pour voir en détail l’instrument du jeune Tunisien. Un parfum fort se dégage de sa bite et de ses couilles. Je reconnais l’odeur caractéristique des organes génitaux des jeunes Arabes. Je plonge mon nez dans ce nid de sexe et de poils pour m’enivrer de cet arôme délicieux.
Je ne sais pas par quoi commencer. La bite prend de plus en plus de volume. C’est à l’évidence un engin hors du commun.
-« Tu aimes le zeb, toi ? II est beau, hein, le mien… tu peux le goûter… vas-y… c’est du bon ! »
-« Mais il est énorme ! Tu l’as mesuré ? »
-« Pas moi, un de mes clients. Le mec, il en est dingue ! D’après lui il fait 23 centimètres… »
-« C’est un truc absolument superbe… Le gland circoncis plus clair, la couleur chocolat de la peau du tronc. C’est absolument superbe, mais par contre je ne me ferai pas enculer par toi ! Trop gros ! C’est un truc à te déchirer le cul ! »
-« Pas avec Nabil !... Je sais ce qu’il faut faire pour te préparer et te faire délirer ! Est-ce que tu t’es déjà fait niquer par un Tunisien ? »
-« Un Tunisien… jamais… Mais par un Marocain qui m’a fait pleurer de douleur. »
-« Les Marocains, c’est des sauvages ! Suce-moi. »
Pour être plus à l’aise, Nabil descend de l’escabeau et on va s’allonger dans le canapé. Son zeb a maintenant atteint sa longueur et sa grosseur maximum. Pendant que je lèche son gland, les côtés de sa bite, de haut en bas et de bas en haut, que je lèche ses couilles, Nabil me caresse tendrement les cheveux. Je sens chez lui une douceur inattendue chez un colosse. Je le soupçonnais d’être capable de me sauter dessus et de me pénétrer sans ménagement.
-« Tu aimes le goût de mon zeb ? »
-« J’aime tout Nabil… ta bite, tes testicules, j’aurais envie de mordre dedans. Tu as vraiment un corps de rêve et des organes génitaux magnifiques. Je m’en doutais, en voyant le reste de ton corps, mais ça dépasse toutes mes espérances.
-« Tu es gentil… J’ai envie de te faire plaisir… Parce que toi tu fais tout pour me donner du plaisir. En plus, ça fait deux semaines que je n’ai rien fait. Et la dernière fois c’était avec une poufiasse qui ne savait pas sucer. En plus, quand je l’ai prise par le cul, elle criait comme si je l’égorgeais. Je préfère baiser des mecs, eux au moins ils apprécient les beaux mecs !
Encouragé par son propriétaire, je me suis alors consacré totalement à son membre. Nabil bandait bien maintenant et quand j’astiquais son zeb, à pleine main, je sentais sous la peau fine de la bite, toute la dureté de son instrument. Je caressai ensuite lentement et amoureusement ses grosses boules, sûrement pleines de ce jus délicieux que les mâles offrent en récompense à leur partenaire. Il doit juter des litres ce mec avec des boules de ce diamètre ! Je crois que je vais me régaler quand il jouira… Après mes caresses affectueuses suivirent mes coups de langue. Je léchai consciencieusement, centimètre après centimètre, son gland, m’attardant sur la large fente par où son foutre sortira bientôt, puis sa verge, bicolore, le haut quasiment rose en raison de sa circoncision, la partie basse très foncée comme souvent chez les Arabes, au point qu’on a l’impression de sucer la bite d’un Noir ! Mais le plus savoureux ce sont ses couilles, deux énormes boules jumelles, sans poils alors que pubis, bas-ventre et périnée ressemblent à une forêt impénétrable. Moi, je préfère des couilles sans poils. Les siennes ont un goût fort qui mêle celui de la sueur et celui des organes génitaux des mecs d’Afrique du Nord. C’est une saveur particulière qui marque à jamais les amateurs d’organes génitaux des garçons maghrébins. On s’en souvient et on s’en régale à chaque occasion !
Nabil aime ce que je lui fais. Il se tortille, gémit par moments, me montre que je dois continuer à m’occuper de cette partie de son corps, que ça lui procure de merveilleuses sensations.
-« Continue Raphaël… j’adore !... lèche-moi dessous, sous les couilles… oui là… le périnée… hummm… c’est divin ce que tu me fais… »
Je me demande si je vais le branler. Excité comme il l’est, je risque de le faire jouir et d’abréger notre partie de jambes en l’air. Tout d’un coup je pense à l’apéro.
-« Tu ne veux pas qu’on s’arrête quelques minutes ? J’ai préparé un petit apéritif pour nous deux. On se restaure et on repart de plus belle… Jamais j’ai été aussi chaud Nabil ! Qu’est-ce t’en pense ? On fait une petite halte ? »
-« C’est une super idée ! Si je reprends des forces je vais te faire délirer ma petite chatte ! Allez… voyons ce que tu as préparé… »
On se retrouve à poil à la cuisine. Je sors du frigo les assiettes que j’ai amoureusement préparées, je les dispose sur la table. Puis je sors de leur emballage des spécialités à faire réchauffer au micro-ondes. J’ai pensé qu’avec du cidre on se régalerait et que Nabil accepterait d’en boire, car c’est presque sans alcool.
-« Du cidre, j’en ai déjà bu, j’aime bien… ça pétille et en plus ça ne soûle pas… hahaha. Tu sais, j’ai besoin d’avoir tous mes esprits pour te prendre tout à l’heure… »
-« Oui j’espère bien que tu vas tenir tes promesses… Rien que d’y penser, j’en frémis par avance… Mais comme je te l’ai déjà dit, Nabil, tu as un zeb démesuré…Tu ne te rends pas compte. Je n’ai jamais rien pris d’aussi long et surtout d’aussi épais !... »
-« Arrête de paniquer !… Tu n’es pas non plus avec un débutant ! »
L’apéro se déroule super bien. Nabil aime tout ce que j’ai choisi et les assiettes vont direct au lave-vaisselle. Je sors alors les deux « opéras » au chocolat que j’ai achetés chez Canet. Nabil écarquille les yeux. Je crois que j’ai tapé dans le mille : ce mec est gourmand en plus. Il a toutes les qualités décidément !
Plutôt que de retourner sur le canapé, on va dans ma chambre où mon lit king-size facilitera nos ébats. Nabil se jette sur le pieu et, jambes écartées, m’invite à le rejoindre.
-« T’as des capotes et du gel ? »
-« Bien sûr… mais promets-moi de t’arrêter si ça me fait trop mal… »
-« Tout ça c’est du bla-bla… Tu as devant toi le zeb le plus beau de Tunisie et tu fais le difficile. Ne fais pas comme les meufs… Je suis sûr que tu ne pourras plus t’en passer ! »
Je dois admettre que je n’ai qu’une envie, qu’il n’obéisse qu’à ses envies de mâle et me prenne dans la position qu’il voudra !
-« Mets des coussins dans ton dos et lève les jambes. Tu as déjà essayé en missionnaire ? C’est la position que je préfère… Je peux et TU PEUX contrôler la pénétration… Comme ça tu vas pas me casser les couilles… Allez, vas-y Raphaël… lève bien les jambes et avance ton cul… Mets tes pieds sur mes épaules. Voilà, comme ça… Tu me regardes… moi aussi je te vois dans les yeux… je peux voir si tu as mal… Mais de toute façon tu ne vas pas avoir mal. Pendant que j’enfile une capote, mets-toi bien du gel sur la rondelle… Avec le doigt fais-en entrer aussi dans ton trou… J’ai pas l’impression que tu es très serré… Attends je vais mettre aussi de la salive… c’est très efficace… Tu vas adorer, Raphaël… Mais si ça te fait mal, tu me dis… »
Je respecte à la lettre les consignes de Nabil. J’ai à la fois confiance et meurs de trouille : un pénis aussi gros, c’est clair, ne peut pas entrer dans mon cul : les sphincters ne s’ouvriront jamais assez. Le moment fatidique est arrivé : je sens le gland de Nabil se coller à mon trou et les petits coups que le jeune mâle donne comme pour frapper à la porte du paradis… J’essaye de me décontracter au maximum pour que l’anneau d’entrée ne se referme pas et au contraire s’ouvre en signe de bienvenue.
-« Tu le sens mon zeb, Raphaël ? Tu vois qu’il ne te fait pas mal… Relâche-toi mon bébé… Laisse-moi te donner du plaisir… Tu as un cul magnifique… Tu vas sentir ma bite entrer peu à peu… Relâche-toi bien… et si ça te fait mal j’arrête ! »
-« Attends un peu Nabil… je la sens entrer… mais ça me brûle. Fais une pause avant de l’enfoncer plus.»
-« Comme tu veux mon bébé… Tu vois qu’elle entre quand même petit à petit… Un quart au moins est déjà dedans. Tu sais j’adore prendre un mec… Je vais te posséder mon bébé… Lâche-toi Raphaël !... Laisse-toi défoncer… Ta prostate va te donner du plaisir… Mais je vois que tu te branles !... pendant que j’entre en toi ! C’est très bien bébé… Je savais qu’en missionnaire on se régalerait tous les deux… Elle va être bientôt complètement dedans… »
-« Nabil… même si je ne le dis pas… J’ai très mal ! »
-« Je ne pousse plus mon bébé… pour que l’intérieur de ton cul s’habitue à mon zeb. Dis-toi que tu as de la chance de te faire enculer par un Tunisien bien membré et expérimenté ! »
Il sait vraiment comment s’y prendre, c’est vrai. Quand il a senti que je m’étais bien relâché, que son zeb avait fait sa place dans mon intérieur, le jeune Tunisien a commencé un va et vient très lent, qui même s’il me chauffait les boyaux me donnait une sensation de plaisir inattendue. Les mouvements de son bassin se firent peu à peu plus amples et plus rapides, me faisant comprendre que Nabil entrait dans une excitation désormais incontrôlable.
Ses coups de rein devinrent alors plus violents ; je sentais sa bite me pilonner sans plus aucune retenue. Ça y est : le mâle était en train de posséder sa femelle! Rien ne pourrait plus l’arrêter avant l’orgasme. J’avais mal… je tremblais de bonheur… je bandais et branlais ma queue… j’étais confus… Je me mis à me masturber avec la même fougue que celle que Nabil mettait à me baiser… Je savais que je n’allais pas tarder à venir… Mais c’était fantastique : je souffrais et à la fois j’étais au bord de l’orgasme.
Nabil ne ralentissait pas son rythme : je sentais au bruit de sa respiration qu’il n’allait pas tarder lui non plus à jouir. Et c’est lui qui, enfonçant au maximum sa queue dans mon fion, m’a signalé qu’il se vidait dans mon cul. La chaleur de son foutre déclencha aussitôt mon éjaculation. Mon sperme se répandit sur mon ventre et éclaboussa aussi celui de Nabil, effondré sur moi. Il ne bougeait plus. Je sentais que ma queue déchargeait les dernières gouttes de semence. Tous les deux, maintenant immobiles, savourions cet extraordinaire moment qui suit l’orgasme.
Trois ou quatre minutes passèrent sans qu’aucun ne bouge ni ne parle. Nabil avait joui et m’avait fait jouir. Tout s’était passé comme il me l’avait promis. Sa queue malgré mon appréhension avait réussi à me pénétrer, écartant mes chairs, pour prendre place et affirmer sa victoire en m’inondant de sperme épais et chaud. Rarement comme aujourd’hui j’avais autant apprécié me faire prendre par le cul. Je devais reconnaître le professionnalisme de ce jeune Arabe. Et en plus il ne manquait pas d’humour :
-« C’est bien beau tout ça, mais du coup j’ai pas fini tes vitres ! »
Nous éclatâmes de rire ensemble. J’adorais ce mec. J’en profitais pour ajouter :
- « Tu vois, t’es obligé de revenir samedi prochain ! »
Rafael
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