Je suis arrivé en vacances depuis seulement trois jours. Aussi vous comprendrez que j'aie consacré tout mon temps à la plage, prenant un réel plaisir à me baigner et à passer du temps, allongé sous mon parasol, à mater les jeunes mecs qui, en sortant de l'eau, laissaient deviner la forme et la taille de leur sexe dans leur maillot mouillé. J'ai pu me rincer l'oeil pendant des heures, mon regard protégé par les verres foncés de mes lunettes. Je me suis régalé, dès le premier matin, avec le spectacle de deux jeunes mecs blonds (des Allemands ou des Hollandais, je n'ai pas bien reconnu leur langue), aux corps divinement dessinés et bronzés, et non pas rougis par le soleil comme souvent ceux de leurs compatriotes du Nord. Étendus à quelques mètres seulement de moi, ils ont parlé à voix haute et ri de bon coeur. Je ne sais pas quel a été le sujet de leur échange, mais il a eu pour effet de faire bander l'un d'eux, qui, après avoir montré à son copain l'énorme bosse dans son maillot, s'est retourné et couché sur le ventre pour dissimuler son érection aux éventuels spectateurs. Mes lunettes noires me protégeant, ils ne m'ont pas identifié comme un voyeur potentiel, et j'ai pu oberver que ce beau blond, très viril, a bandé un bon bout de temps, montrant sa bosse plusieurs fois à son pote... Donc, dès le premier matin, j'ai pu vérifier que cette plage de galets était richement fréquentée... L'après-midi, cela n'a pas été mal non plus. A débarqué toute une équipe d'ados, de 15 ou 18 ans, de jeunes Maghrébins et Noirs, à l'allure sportive, remuants, bruyants, se taquinant tant sur la plage que dans l'eau, baissant le bermuda d'un copain pour découvrir ses fesses, s'alliant à deux ou trois pour faire boire la tasse à un autre. Le spectacle m'a plu, tant la vigueur de cette joyeuse bande m'a laissé imaginer les autres plaisanteries et jeux plus sensuels auxquels ses membres devaient s'adonner dans d'autres circonstances..., en dégustant des vidéos pornos par exemple. Leurs corps déjà bien développés, me faisant supposer que ces grands ados avaient aussi des préoccupations d'adultes, et déjà des atouts de vrais mâles, même si leurs longs et amples bermudas ne permettaient pas vraiment d'évaluer la taille de leurs attributs. Quelle stupide pudeur les pousse donc à cacher sous le tissu leur jeune virilité ?
Au bout de trois jours, je n'ai plus consacré que mes matinées à cette plage, si bien fréquentée... et, de surcroît, surveillée par de jeunes pompiers aux physiques dignes des couvertures de nombre de magazines masculins spécialisés. L'après-midi, j'ai partagé mon temps entre la visite des musées, le Musée Matisse, le Musée d'Art Moderne, et la vieille ville, où j'ai déjeuné une fois me régalant de petits légumes farcis et de délicieux beignets de fleurs de courgettes.
Un ami m'ayant parlé des rochers qui protègent la digue du port, comme d'un lieu à visiter absolument..., j'ai décidé d'y faire un tour aujourd'hui. Il fait une chaleur épouvantable et, à mon désespoir, il n'y a pas le moindre coin d'ombre... Au bout de la jetée, quelques vieux mecs, se font rôtir, complètement nus. Leur peau est brûlée et flétrie par le soleil. En plus de bronzage total, ils sont à l'évidence en quête d'aventures... J'ai beau parcourir plusieurs fois la jetée, m'arrêtant et observant les manoeuvres d'un ferry jaune en provenance de Corse, ou encore la longue file de voitures embarquant sur le paquebot d'une autre compagnie, mes allers retours ne me permettent pas de croiser l'un de ces beaux garçons, dont mon ami m'a assuré qu'ils étaient légion à fréquenter l'endroit. Sans doute n'est-ce pas la bonne heure ? Alors qu'accolé à la rambarde en inox, qui court le long de la jetée, je regarde les voitures qui sortent du ventre d'un ferry, un gars vient se placer juste à ma droite. Au bout de quelques secondes, il m'adresse la parole : "Tu es déjà allé en Corse ?" Je me tourne pour savoir qui est ce voisin qui me tutoie. C'est un gars qui doit avoir entre 30 et 35 ans, nord-africain, assez mal rasé, mais plutôt beau de traits, malheureusement trop gros à mon goût. Je n'ai jamais trop aimé les partenaires enrobés, préférant de loin les corps sveltes, aux muscles à fleur de peau. Je réponds que non, que je ne connais pas la Corse et que de toute manière je ne m'y rendrais jamais en bateau, ayant le mal de mer. Il m'explique qu'il est Tunisien et que, quand il se rend dans son pays, il prend le ferry à Gênes. Il s'exprime bien, je lui demande s'il habite ici, quel est son travail, s'il a de la famille. Il répond à toutes mes questions, insistant sur le fait qu'il n'est pas marié et que comme c'est samedi il ne bosse pas. C'est pour cela qu'il est venu faire un tour au port. Il m'interroge, veut savoir si je suis aussi célibataire, si je "cherche quelque chose" au port. Et répondant à l'avance à mes interrogations, il me conseille de revenir plutôt le soir, vers 10 heures, il y a beaucoup de monde, des Tunisiens, des Marocains, des touristes... "On peut faire des rencontres...", ajoute-t-il au cas où je n'aurais pas bien compris. Nous échangeons encore pendant un bon moment, mais, expliquant que le soleil est trop fort, je le quitte. Il me salue et me souhaite bonne chance. Je regagne mon hôtel pour m'y reposer un peu.
Ce soir, je compte aller faire un tour au port et y voir l'ambiance... Je dîne dans un resto asiatique, près de la gare. Le serveur, la vingtaine, est très mignon et je passerais volontiers la nuit avec...Le repas fini, je descends vers la mer. Sur la promenade il y a un monde fou, des familles, des groupes de jeunes mecs, des filles. Je m'asseois sous une pergola face à la mer. Sur la plage de galets, malgré l'heure, plus de onze heures, il y a encore des groupes avec de jeunes enfants. Ils sont venus pique-niquer à quelques mètres de l'eau. Le spectacle est intéressant, mais je préfère prendre place sur un autre banc, pour regarder les promeneurs qui défilent dans les deux sens. Il y a de superbes garçons, certains torse nu. Plusieurs fois, mon "radar" me fait détecter parmi eux des couples de garçons, profitant de la douceur de la soirée, avant d'aller en boîte. Je reste sur la promenade jusqu'à minuit passé, quand la foule plus clairsemée me laisse supposer que l'animation des lieux va diminuer. Je marche vers le port. Quand j'y arrive, je trouve que les passants sont nettement moins nombreux. Je reste quelques minutes à observer ceux qui se dirigent vers la jetée. Quelques touristes en couples s'avancent vers la digue mal éclairée. Deux garçons me dépassent, descendent l'escalier conduisant à la jetée. Puis, en bas, l'un se retourne, me regarde, s'arrête une seconde, puis rejoint son copain avec lequel il parle. Tous deux s'arrêtent et me regardent. Je suis étonné que le message soit si clair. Ils doivent avoir 25 ou 26 ans. Très virils tous les deux, de jeunes Arabes, sans aucun doute. Je ne bouge pas. D'autres mecs, plus âgés descendent aussi l'escalier et disparaissent dans la pénombre. Je meurs d'envie de m'enfoncer moi aussi dans l'obscurité de cette digue. Que se passe-t-il au bout ? Là où de vieux naturistes faisaient noircir leur corps flétri en début d'après-midi. N'est-ce pas dangereux ? La tentation est trop forte et je décide d'aller voir de plus près.
Je m'avance le long de la jetée. Plus aucun ferry ne s'y trouve amarré. Seul un petit cargo gris transportant du ciment est contre le quai. Au bout d'une première partie de la digue, éclairée par de petits lampadaires, deux directions sont possibles : l'une éclairée se terminant par une plate-forme, l'autre menant vers les rochers face au large, celle-la complètement plongée dans le noir. C'est de là et vers là que s'aventurent la majorité des "visiteurs du soir". C'est donc là que les choses se passent. Je reste encore quelques minutes en observateur, essayant de comprendre si je pouvais m'aventurer aussi dans ce "trou du diable". Passent plusieurs jeunes mecs, certains à la peau claire, de tous âges entre 20 et 40 ans, mais aussi un grand Noir, athlétique, de jeunes Arabes, mais beaucoup de vieux mecs aussi. Peu en reviennent très vite. Ce doit être un moment de grand activité, puisque c'est un samedi soir. Je finis par descendre l'escalier, Même s'il n'y a pas d'éclairage, j'avance sans difficulté et peux voir la tête des gens que je rencontre. Plusieurs, le dos appuyé au mur, se caressent l'entrejambe. L'un a carrément sorti sa queue et se branle. Il a un beau membre. Je vais plus loin. Entre deux rochers deux mecs à genoux sucent un autre. Au fur et à mesure que j'avance les scènes sont de plus en plus chaudes. Comme ce mec, cul à l'air, qui se fait enculer alors que deux autres, attendant leur tour, s'astiquent la queue. Beaucoup sont debout, le long du mur, attendant qu'un partenaire plus audacieux leur offre une fellation ou une sodomie express. J'arrive maintenant au bout de la digue et je n'ai pas croisé les deux Arabes, les deux jeunes qui s'étaient retournés pour me regarder avant de s'avancer sur la jetée. Sont-ils occupés, dans un coin plus sombre, entre les rochers ? Se font-ils sucer par quelqu'un ? Le baisent-ils ? J'aurais tellement aimé voir leurs sexes en érection !
Je reviens sur mes pas, passant de nouveau devant les timides qui se contentent de se masser le paquet, mais aussi devant quelques belles queues sorties, de branleurs super excités. Je suis tenté, à plusieurs reprises, de prendre en main l'un de ces gros chibres raides, prêts à gicler. Mais, je continue de marcher, sans m'en rendre compte, comme si j'étais avant tout à la recherche des deux Arabes, si séduisants, si jeunes et si virils, vus à mon arrivée. Où ont-ils bien pu aller ? Plus le temps passe et plus ma vue s'habitue à l'obscurité. Je m'aperçois, que l'un des mecs attendant son tour pour défoncer le gros cul blanc, entrevu à l'aller, n'est autre que le Tunisien qui m'a parlé cet après-midi. Il me fait un signe de la main, comme pour m'inviter à "faire la queue", si j'ose dire, moi aussi. Je souris et continue. Sortant bruquement d'un coin sombre entre deux rochers, le grand Noir se retrouve devant moi. Surpris, je m'écarte. Il est en train de se reboutonner, mais sa grosse queue, un peu molle, pend encore hors de sa braguette. "Tu veux sucer ? Elle est toute chaude " Je tends ma main et saisis l'énorme boudin noir. Je la caresse, elle reprend rapidement volume et raideur. "Elle te plaît ? T'as pas envie ? La pipe c'est 20 et pour 50 je t'encule". Ce n'est pas l'envie qui me manque, mais je ne veux pas faire ça, en vitesse, dans pareil décor. Et en plus en payant le mec ! Les Noirs sont des amants fabuleux, capables de faire oublier le calibre de leur instrument, tant ils sont experts pour dilater les rondelles et donner du plaisir à leurs partenaires en les sodomisant dans toutes les positions. Ce serait gaspiller la marchandise que de prendre un aussi beau gourdin, sans le voir de près, à loisir, ni en dégustant l'enivrant arôme que dégagent les bourses et la verge des jeunes hommes noirs. J'avance et rencontre enfin les deux jeunes Arabes. Ils me reconnaissent, me demadent une cigarette. Je réponds que je ne fume pas. J'ajoute : "Enfin... pas les cigarettes... seulement les gros cigares..." Ils rigolent. Ils me demandent ce que je fais. J'explique que je suis en vacances, que je découvre l'endroit. Mais que je trouve que ce n'est pas trop confortable, qu'en plus il faut faire ça devant tout de monde... "Si tu veux on va chez toi." "Mais je suis à l'hôtel... on peut pas faire monter quelqu'un dans la chambre..." "Si tu veux, on peut aller chez nous... On habite tous les deux avec un ami, plus vieux que nous, mais il est très gentil..." Ils vivent chez lui en lui payant une partie de son loyer. C'est comme s'ils étaient chez eux. Je ne réponds pas tout de suite, mesurant les risques de mon éventuelle acceptation. Mais ils sont tellement beaux et sexys que la perspective d'une nuit d'amour avec eux, ou quelques heures, me fait me décider. Nous sortons tous les trois de l'obscurité de la jetée et retrouvons la lumière de la rue. Les passants sont plus rares. Les deux jeunes me demandent d'où je viens, combien de temps je vais rester. Ils s'appellent Mourad et Mehdi, m'expliquent qu'ils sont peintres en bâtiment, célibataires, qu'ils ne viennent pas souvent au port, seulement quand ils ont trop envie, ou pour se faire un peu de blé... Ils préfèrent les femmes, mais les gays savent mieux sucer. Il n'y a plus de bus, on va devoir marcher plus d'une heure. Ils me disent que ça n'a pas d'importance : je suis en vacances et eux ne vont pas travailler, puisque demain c'est dimanche... "Tu vas voir tu vas bien aimer... Tous les deux on fait bien le sexe ! On est actifs, tu vas voir, on a de gros zebs, bien durs ! des zebs d'Arabes ! T'as déjà goûté ?" Je bande déjà. Ils habitent un immeuble ancien, sans ascenseur. Ils ouvrent la porte, me font entrer et me dirigent dans une chambre avec leurs deux lits. C'est simple mais plutôt propre. Ils m'expliquent que leur ami a une autre chambre. Très vite, ils enlèvent leurs chaussures, leur jeans, et se retrouvent en slip. Mourad se caresse le paquet et je vois que sa queue dépasse très vite dans l'entre-jambe. Son gland lisse et brun est collé contre sa cuisse. "Déshabille-toi !" J'obéis et me retrouve moi aussi en slip, torse nu. Mehdi me prend les tétons et les pince, ça me fait mal. Je lui dis : "Non, tu me fais mal !" Il arrête, approche alors sa bouche, suce un de mes tétons, pendant que Mourad me caresse les fesses. Ce dernier baisse mon slip et s'exclame ; "T'as un beau cul ! Putain ! J'aime les fesses blanches, on dirait le cul d'une femme..." Ses mains me malaxent chaque lobe et un doigt parcourt ma raie. On est tous les trois à poil maintenant. Les deux jeunes Arabes ont des corps magnifiques, bien proportionnés, musclés, presque entièrement glabres, à part autour de leur sexe où une toison frisée, très noire, coiffe leur verge. Mourad bande bien, une queue de 18 ou 19 centimètres, à la circoncision régulière, mettant en évidence le superbe chapeau de son gland. Sa bite est épaisse, surtout dans sa partie centrale, au diamètre supérieur. Pas sûr qu'elle entre facilement... Mehdi, toujours occupé à me sucer les tétons, bande moins fort. Il a une queue plus courte mais très épaisse. Encore moins facile à prendre dans le cul ce genre de bite ! J'espère qu'ils ont du lubrifiant à la maison, ou alors il faudra beaucoup de salive et un long travail de dilatation par doigtage...
Des deux, Mourad semble le plus excité. La blancheur de mes fesses l'a mis dans un état de moins en moins contrôlable. À croire que sur le port ils n'ont pas trouvé chaussure à leur pied et se sont contentés, contre remunération, d'une bonne pipe sans même lâcher leur purée... J'ai la chance d'arriver après ces exercices préliminaires et surtout d'être avec eux dans le confort de leur chambre. Pendant que Mourad me passe le bout de sa queue entre les fesses, s'arrêtant sur mon trou et tentant de le pénétrer, je prends la queue de Mehdi dans mes deux mains, la masse de haut en bas, caresse ses couilles, deux belles boules bien rondes et plaquées sous sa verge. J'ai envie de la sucer. Mehdi comprend et la tend vers ma bouche. Je sens le parfum qui se dégage de son sexe, cette odeur forte des testicules des garçons arabes, et qui, pour moi, est un arôme si particulier, synonyme de plaisirs mâles, dignes des Mille et Une Nuits !
Mourad a depuis quelques minutes craché plusieurs fois sur ma rondelle et s'applique à faire entrer sa salive dans mon trou. Il le malaxe avec application, à deux doigts, pour le décontracter et libérer le passage à son beau chibre, qui va sous peu me pénétrer. Cette préparation me met dans un état d'excitation incroyable, surtout que, de l'autre côté je lèche, suce, aspire le zeb de Mehdi, plutôt court, il est vrai, mais si épais et si goûteux. Quand je le prends en bouche il remplit toute ma cavité buccale au risque de me décrocher la mâchoire... Moi aussi je suis super excité, je bande comme un âne. De temps en temps, Mehdi prend ma bite et la branle. Le fait-il par envie ou pour me rendre encore plus chaud ? Chaque fois, bien que ma bouche pleine m'empêche de m'exprimer, je gémis de bonheur. Mourad qui a enfoncé une bonne moitié de sa queue, par petits coups, commente mes gémissements : "Tu aimes le zeb ! Hein ?...Tu aimes te faire niquer ?" Je ne réponds pas, me contentant de gémir un peu plus fort ... Mehdi est lui aussi très chaud maintenant. Il me baise la gueule, m'enfonçant sa grosse bite dans la bouche, ce qui me fait assez mal. Je suis niqué par les deux bouts : Mourad a pu enfoncer sa queue jusqu'au fond et je sens ses couilles battre mes fesses à chacun de ses coups de reins; et, par ailleurs, Mehdi enfonçant son zeb dans ma bouche, au point que j'en perds totalement le souffle par instants. Les deux jeunes Arabes se déchaînent sur moi. Sûrement sont-ils encore plus excités du fait qu'ils me baisent tous les deux en même temps et qu'il y a, entre eux, comme une forme de compétition de mâles... Tous deux sont actifs et ne veulent surtout pas que leur copain doute une minute du rôle qu'ils affectionnent le plus !
Je vais être de cette manière pénétré par les deux orifices une bonne demi-heure. C'est Mahdi qui le premier lâchera sa semence. Un jus épais et gluant qui me remplit la bouche. Je gémis de bonheur et avale comme je peux son sperme chaud. Il va me laisser sa queue en bouche une ou deux minutes pour que le jus s'écoule jusqu'à la dernière goutte. Quand il ressort sa grosse queue, molle mais toujours gonflée, je la regarde : elle est belle, brillante et visqueuse, encore enduite de sa jute. Je la lèche pour ne rien perdre de ce si succulent nectar. Comme pour me permettre de bien apprécier ce moment de jouissance avec son pote et le goût de sa semence, Mourad a interrompu les coups de boutoir de sa queue. Il reprend très vite la direction des opérations pour atteindre cet orgasme qu'il recherche lui aussi. Il me prend alors par les hanches, soulève mon cul et y enfonce d'un coup sa grosse queue. Je ne crie même pas. Il faut dire que, dans cette position, la pénétration est facilitée et totale. Je sens bien son zeb entrer et sortir, coulissant sans la moindre difficulté. J'aime cette façon de me faire prendre. Maintenant que mon rectum, largement ouvert, peut accueillir ce long visiteur chaud et dur, si pressé de lâcher son jus, j'apprécie chaque instant de ma sodomie. Je n'ai pas mal et sens avec bonheur la queue de Mourad se planter en moi puis ressortirde mon cul. Il ne va pas falloir longtemps au deuxième Arabe pour pousser à son tour un râle de jouissance. Ce cri, je le sais, annonce la rafale de jets de foutre dont il va généreusement me gratifier. Mourad s'effondre sur moi, épuisé, mais pleinement satisfait de sa performance. Il reste couché sur moi quelques instants puis retire doucement sa belle bite, Je sens que du sperme coule le long de mes couilles et à l'intérieur de mes cuisses. Je m'affale sur le lit, exténué par cette saillie si brutale, parce que proche de la longue fellation dont, sans m'épargner, j'ai fait bénéficier Mehdi.
Je m'aperçois alors que moi aussi j'ai joui : ma queue; mes couilles sont trempées de sperme. J'ai lâché ma purée sans me branler, ni même me toucher. C'est dire si cette baise à trois m'a rempli d'excitation et de bonheur. Mehdi revient avec un rouleau de Sopalin et le tend à Mourad. Puis à moi. J'essuie le sperme, le mien et celui des Arabes, partout sur mon corps. Il me faudrait une bonne douche. Mourad me dit que je peux dormir ici, avec Mehdi, son lit est un peu plus large. Lui, Mourad quitte notre couche et va s'allonger sur l'autre lit. Je me retrouve comme ça, à poil, allongé avec Mehdi, le garçon le plus beau des deux.
Très vite on entend le souffle sonore de Mourad : il s'est endormi. Je n'arrive pas à fermer l'oeil, pensant à cette nuit de sexe que je viens de vivre. Mehdi non plus ne dort pas. Je sens sa main qui prend ma tête, la rapproche de la sienne. Sa bouche se colle à la mienne, sa langue se glisse entre mes lèvres. Tout en m'embrassant goulûment ses mains parcourent mon corps en tous sens. Je le caresse aussi, me délectant de la douceur de sa peau, de ses tétons, de ses bras aux biceps bien durs, de ses pectoraux. Quel corps sublime ! Mes mains descendent jusqu'à son ventre, plat et bosselé de ses abdos. Elles atteignent son sexe : il bande à nouveau ! Avec une dextérité incroyable, Mehdi se retourne, se place face à mon pénis, lui aussi redevenu raide et dur. Il le prend en bouche. Commence alors un 69 endiablé, Mehdi avalant tout entier mon membre, gobant mes testicules, léchant de haut en bas mon sexe qu'il n'avait que très rapidement masturbé lors de nos ébats à trois. Je fais à Mehdi toutes les gâteries qu'il me prodigue. Il m'apparaît très clairement maintenant que Mehdi n'est pas que seulemnt actif... Du moins, qu'il est prêt à changer de rôle... Je passe une main derrière lui, glisse un doigt entre ses fesses, puis l'enfonce dans son trou. Le jeune Arabe frémit de plaisir, son corps se tord d'excitation. Je lui chuchote à l'oreille : "Tourne-toi... j'ai envie de te prendre..." Mehdi me répond : "Fais gaffe!... ne fais pas de bruit... je ne me suis jamais fait niquer... vas-y doucement.." J'ai pendant un bon moment écarté les parois de son trou; il m'a semblé qu'il n'était pas trop étroit. Peut-être que Mourad, ou quelqu'un d'autre..., a déjà visité sa belle petite caverne. Toujours est-il que quand j'ai enfoncé ma verge dans son fion, avec seulement un peu de salive pour la lubrifier, j'ai pu pénétrer Mehdi sans grande difficulté. Le jeune Arabe m'a semblé heureux d'être empalé sur ma queue, et pendant que je ramone son cul, il se branle à toute vitesse. Je l'ai enculé une dizaine de minutes. Et l'ai averti quand j'allais jouir. Il m'a dit : "Arrête, jouis-moi dans la bouche !" C'est ce que j'ai fait, je lui donne tout le jus qui me reste, une liqueur mâle qu'il m'a paru apprécier tout particulièrement... Est-ce la première fois qu'il en goûte ? Puis nous nous sommes roulé une longue pelle, au goût de sperme, avant de nous endormir nos deux corps nus, collés l'un à l'autre.
C'est moi qui me suis reveillé le premier. J'étais encore un peu préoccupé, il faut dire. Puis Mourad a ouvert l'oeil, m'a regardé et a souri. Il s'est levé, est allé dans une autre pièce, la cuisine peut-être. Il a parlé en arabe avec quelqu'un, sans doute le "patron" des lieux. Puis il est revenu et m'a fait signe de me lever. J'ai rapidement passé mon pantalon et l'ai suivi. Il m'a présenté à son ami. Un beau mec, baraqué, d'une quarantaine d'années. Je lui ai serré la main et lui ai dit que ses amis étaient très gentils et m'avaient invité. " Je vais préparer le café et tu viens le boire après" . Je suis retourné avec Mourad dans la chambre. Mehdi dormait toujours. Mourad m'a expliqué : "Tu devrais passer un moment avec lui, en parlant du "patron", il aime se faire sucer... et il en a une grosse ! Un vrai zeb d'Arabe !" Pendant que je buvais le café, Mourad est allé se doucher. Le patron s'est approché de moi ; il se caresse la queue. J'ai tout de suite vu, à la taille de la bosse, qu'il a un super gros calibre. Il a ouvert sa braguette et sorti un énorme chibre très foncé, très long. Un de ces braquemarts qui décrochent les mâchoires. Bien que la nuit passée m'avait donné des satisfactions inespérées, je me suis jeté sur la bête et l'ai littéralement dévorée. Elle était propre et avait un goût délicieux. Tout en le suçant je masturbe son bel engin, de couleur brune. Il sort ses couilles de son slip et me demande de les lui sucer aussi. C'est vraiment un trois-pièces de dimensions exceptionnelles. Je me souviens, une fois, dans un glory-hole de sex-shop j'ai déjà bouffé un engin de ces dimensions. Celui d'un Black qui à la fin avait lâché une quantité incroyable de jus ! Avec cette queue d'Arabe, j'allais être tout aussi gâté. Il ne lui a pas fallu beaucoup de temps pour que des deux mains il retienne ma tête contre sa queue, m'empêchant de sortir son chibre de ma bouche. Du sperme chaud coule dans ma gorge pendant une dizaine de secondes au moins. Un véritable robinet à sperme ! Et quel foutre ! A coup sûr, il n'avait pas joui depuis un bon bout de temps. Alors que je lèche le méat du "vieux" pour récupérer jusqu'à la dernière goutte, Mehdi entre dans la cuisine. Il paraît gêné de voir cette scène. Le patron sur un ton de reproche en arabe, puis en français : "Quand vous avez des amis comme lui, il faut me le dire à l'avance..." Mehdi sourit et annonce : "Puisque tu es d'accord, on l'invite samedi prochain !". Je suis obligé de préciser : "Samedi prochain, malheureusement je ne serai plus là... mes vacances seront finies..." Mehdi : "C'est dommage..." A sa mine déçue, j'ai compris que Mehdi regrettait de ne pouvoir explorer plus à fond son autre penchant...
Je crois qu'à mon retour, chez moi, je vais remercier chaleureusement mon ami de m'avoir conseillé d'aller faire un tour sur le port.
Rafael
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