Si c'était à refaire ? Je le referais volontiers.... car mes tripes en gardent un souvenir impérissable !
Bon, commençons par le... commencement !
Depuis plusieurs années, mi-avril et fin septembre, je fuis mon village pour passer deux semaines de rêve, toujours au même hôtel familial, dans une jolie station balnéaire à l'étranger. Et oui, à force de bourlinguer, on finit un jour par s'assagir... du moins pour les voyages !!!
C'est surtout lors du deuxième séjour que les habitués se retrouvent afin de profiter de l'été indien et du soleil encore si généreux avant les froidures de l'hiver. En plus, les tarifs étant bien plus bas qu'en haute saison, plusieurs compagnies de cars amènent un nombre toujours croissant de clients. Et c'est dans un de ces contingents que Marc et Bruno, pacsés, viennent me rejoindre.
La presque trentaine, tous deux arrivent essentiellement pour des sorties en boîtes qui ne manquent pas. Leur endroit de prédilection où ils passent la majeure partie de la nuit est le " Bahou-Bahou baratatas bréchan ". Oui, c'est un code. Le voici donc déchiffré : un bar à tatas branché ! Quant à moi, je suis plutôt du genre à m'asseoir sur un des nombreux bancs de la Digue et regarder passer les bateaux touristiques avec mes jumelles... mais pas que... ! Hélas, ici, c'est la tolérance zéro et le moindre écart de conduite sur la voie publique peut coûter très cher.
Alors je m'invente des histoires car, face à la Méditerranée, l'imagination ne tombe jamais... à l'eau !
Et voilà qu'après un repas de midi... servi à 13 heures, Bruno se dirige vers ma table : " Ça te dit de passer dans notre chambre, la 312, pour discuter entre mecs ? "
" Bien volontiers car depuis longtemps on se connaît sans se connaître vraiment. Vers quelle heure ? "
" Disons dans quinze minutes ? "
" D'accord "
Et chacun s'en retourne de son côté.
Je remonte, sans vouloir " construire des châteaux en Espagne " ou, mieux, vouloir prendre " ma vessie pour des lanternes ", mais le ton sensuel employé " m'invite " plutôt à me refaire une beauté dans la salle de bains.
C'est l'heure. Je frappe trois petits coups, la porte s'ouvre et ils m'accueillent vêtus du même T-shirt échancré et d'un shorty sexy quoique très correct.... Mais est-ce une tenue pour recevoir ???
Bien sûr, les lits jumeaux ne font plus qu'un, aussi, et je m'installe entre eux deux.
Le dialogue débute par des propos sans grande originalité, simplement afin de découvrir nos autres points communs et, tout en bavardant, je mets mon bras autour de leur cou en plaçant ma main sous le maillot en coton.
Hasardeux, risqué mais... BINGO, ils se jettent un petit regard tandis que moi, trouvant mon attitude normale et amicale, je poursuis la conversation.
La main de Bruno se pose sur mon genou, celle de Marc quasi près de l'aine. Je commence à éprouver quelques difficultés de concentration mais, en vieux loup de mer, je maintiens le cap de la discussion qui n'est plus à bâtons rompus... bien plutôt à bâtons tendus !
J'ai bien l'impression que nous sommes partis pour une partie carrée... à trois !
Et voilà que mes deux gaillards jouent au funiculaire. Bruno monte, Marc descend. Ils s'arrêtent en se croisant à mi cuisse et poursuivent le trajet. On remet ça en sens inverse en y ajoutant des frôlements et des zigzags. Stop au croisement. Mais cette fois Bruno attend la remontée de Marc. Revenu quasi au point de départ, leurs doigts glissent dans mon short. Bruno l'expédie dans la chambre et ils continuent leur ascension vers le sommet du Pic du " Doigt sans Ongle " qui culmine à une hauteur digne de l'Everest ! A peine vantard !!!
Les paroles se transforment en borborygmes et en gémissements.
Mon érection est si forte que Marc, pourtant habitué aux gros calibres, doit s'y reprendre à deux fois pour dégager le gland et m'offrir une pipe à juter sur le champ... euh non, dans sa gorge. Bruno le rejoint et, lentement, la langue de l'un descend sur ma pine alors que l'autre la remonte pour goûter mon liquide séminal qui s'écoule, s'écoule, s'écoule.
Puis, sans bouger, Marc garde le bâton de réglisse en bouche tandis que les doigts de Bruno écartent mes fesses pour introduire la langue dans ma caverne l'inondant de salive... qui dégouline.
Futé le coco. Il utilise le trop plein pour pétrir mes cochonnets avant d'enfiler une capote et d'ajuster le tir. Il me pénètre et s'incline pour pomper Marc. Par ses coups de reins, la fellation se transforme en trayeuse automatique ! La vache !
Le seul moyen pour éviter de juter est de serrer les sphincters. Du coup, le marteau piqueur se coince. Et tout s'arrête ! Enfin, le temps aux deux lascars d'échanger leur place en prenant les précautions d'usage !
Après avoir été la tranche de jambon, me voici celle au fromage. Un vrai " croque-monsieur " aux autos tamponneuses. Marche avant. Boum ! Marche arrière ! Boum ! Et Marc n'y va pas par le dos de la cuillère. J'avais déjà constaté depuis longtemps son côté dominant. Boum ! Tiens prends ça ! En tout cas, je parviens à mieux gérer mon orgasme. Au fond.... s'il m'est permis de m'exprimer ainsi ?, je n'ai qu'à profiter de ce tour de manège... enchanté de réaliser mon fantasme. Pourtant, j'aimerais vraiment aussi les sucer et les pilonner car, en trio, c'est ma première fois.
Puis, Marc me tend une capote. En voiture Simone pour la sculpture humaine et à la queue leu leu ! Il n'y a plus qu'à assurer et satisfaire ses compagnons de jeu. Toujours poussé dans le dos par Marc, je percute le fion de Bruno. L'ennui, nous sommes en pleine heure de sieste et il faut respecter le repos des autres clients de l'Hôtel. Dur, dur... dans tous les sens du terme.
Purée que c'est... Boum ! Un coup de derrière.
Ce que nous ignorons c'est la présence, du garçon d'étage entré dans la chambre à l'improviste. Il nous mate sûrement déjà depuis un bon moment.
Marc donne le signal pour changer à nouveau de position. Et je retrouve sur le dos. Bruno introduit ma pine dans son fion, Marc en fait de même et, tout à coup, une troisième bite s'intercale entre nos deux queues. C'est le steward de service, qui plonge... n'ayons pas peur des mots !, sur cette belle opportunité. Comme il est fier de défoncer le cul bien chaud de trois clients de l'Hôtel. Nous avons d'ailleurs l'intime conviction qu'il n'en est pas à son " galop d'essai ". Il doit certainement posséder un remarquable tableau de chasse. Quel cavalier. Comme il maîtrise bien les montures, s'amusant même à dodeliner du bassin.
Soudain, je m'aperçois que le zob de Bruno montre des signes de faiblesse ! Je lui saisis la hampe, pendant que le visiteur clandestin continue à coulisser entre nos deux phallus bien durs pour ouvrir encore davantage le cul de Bruno. Ce n'est pas difficile, son compagnon en a " largement " facilité l'accès. Et ce n'est pas pour lui déplaire car il transpire tellement que mon torse est trempé.
Une chose est sûre, à trois dans un trou de balle... quelle expérience inédite et jouissive. Mais il faut continuer à serrer les fesses car l'orgasme est de plus en plus intense. Marc et le quatrième larron, quant à eux, poursuivent les ondulations de leur ceinture pelvienne.
Bruno au lieu de mordre sur sa chique à trouver la parade afin d'atténuer le feu qui brûle dans sa grotte. Il se penche vers moi et m'embrasse en pinçant ma langue et en glissant le long de mon cou pour le couvrir de suçons.
Mais les va-et-vient de notre invité surprise qui accélère, ralentit, s'arrête, redémarre, freine, bloque à nouveau agacent notre Maître de Cérémonie.
Une nouvelle fois, Bruno et moi on " remarque que Marc marque " son empreinte dominatrice.
Il empoigne la bite de Bruno et impose le rythme, la cadence, le tempo. Bref ! C'est lui qui mène le bal de ce jeu de balles !
Et un, deux, trois, et un deux, trois, et un deux, trois tout en augmentant les coups de reins qui obligent le garçon d'étage à s'accrocher aux hanches de Marc pour ne pas perdre le contact.
Des jets puissants inondent mon buste et le module se sépare.
D'un commun accord nous gardons nos capotes sauf Bruno qui est déclaré hors concours, malgré ses protestations. On se réinstalle donc confortablement.
Marc me pince les tétons tandis que son compère reprend " les choses en mains ", tenant absolument à me branler de la main droite tout en se faisant ressauter les joyeuses de la main gauche.
Quelques minutes plus tard, quelle tempête, quelle déferlante, quel raz-de-marée général.
On compare le contenu de nos réservoirs et, bien sûr, le grand vainqueur de ce lancer de foutre, une future discipline olympique ?, est incontestablement... Marc. Le contraire m'aurait étonné d'autant qu'il est très mauvais perdant. Toutefois, notre saisonnier n'est pas en reste non plus.
Alors, si c'était à refaire, pourquoi pas une revanche et la belle aussi tant qu'on y est !....
On verra cela aux prochaines vacances !
Scapadal
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