Cette histoire s'adresse à chacun mais plus particulièrement aux Rois de la Gaffe... comme le titre l'indique.
Voici deux exemples qui me reviennent en mémoire... Mais cela me rassure de savoir que ces bourdes ont aussi été commises par d'autres !
Ce matin il fait un temps superbe... Non, je ne me suis pas assis sur l'herbe et Félicie aussi ! Non, aujourd'hui c'est mon examen pour l'obtention du permis de conduire. Afin de mieux maîtriser mon stress, j'utilise toujours une méthode infaillible, celle de l'humour avec tous les dérapages incontrôlés que cela peut provoquer (malgré le port de la ceinture!). Après la réussite des manoeuvres, le feu vert m'est donné de sortir du Centre pour un test grandeur nature... en ville. Très concentré, je m'applique. STOP. Arrêt du véhicule. Passage piétons. Léger freinage pour les laisser traverser. Vitesse à 30, à 50. Un oeil sur le compteur. Tourner à droite. Clignoteur. Tourner à gauche. Clignoteur. Un rond-point. OK... Et là, c'est mon cerveau qui effectue le sens giratoire : " Regardez, l'éclairage public n'est pas éteint. Il faut donc allumer les phares ? ". " Et pourquoi pas le feu antibrouillard, tant que vous y êtes ! " Ouf !, l'examinateur a de la répartie et je suis reparti (sans " E ") avec le précieux sésame.
L'autre anecdote a lieu durant une quinzaine de jours en stage obligatoire. Dès le début ils me pèsent, tout comme l'éloignement de mon petit ami, d'1,80 m. Et l'absence de complicité avec ma grand-mère. Je profite donc d'une pause pour filer chez un jeune photographe du quartier. Et là, une idée saugrenue me traverse l'esprit ; celle de me faire tirer le portrait... à poil. Inimaginable !, il accepte. Tant mieux car, en ce temps-là, on ignore tout de la formidable technologie moderne. De retour, je coupe le cliché en deux et rédige les enveloppes. Juste au même moment, il faut rejoindre la salle de Conférence. Vous devinez, bien sûr, la suite. Mon compagnon reçoit le haut et Mamy... la " tchirlipite " Lui rendant visite j'ai droit à une belle remontrance : " C'est bien toi... Toujours la cravate de travers. "
Mais la pire m'est arrivée lors d'une Réception.
Pourquoi ai-je complètement oublié que certains médicaments ne se marient pas avec l'alcool dans le corps ?, surtout au niveau cérébral !
On me présente un plateau de mignardises : " Donnez-moi cet éclair au chocolat "
" Ça, monsieur ? C'est mon doigt " et, levant les yeux je réalise que c'est un africain.
Et, au lieu de me décontenancer : " Kif ! Kif ! Bourricot. Ça se suce aussi ! "
Volte-face du serveur.
Un ami, qui me connaît bien, n'a rien raté de la scène et s'approche de moi : " Viens avec moi aux toilettes " Je l'accompagne " Tu n'en rates pas une ! Bon. Asperge-toi copieusement le visage et ne revient dans la salle qu'une fois dégrisé. J'espère que ce brave homme t'excusera. "
Et il vient juste d'entrer : " Laissez. Je m'occupe de lui. "
On se retrouve donc tous les deux. Collé à moi, son bras musclé me tient par le torse pendant qu'il bouche le lavabo, ouvre le robinet, m'empoigne par les cheveux et plonge ma tête dans l'eau froide. Oh !, dis donc, ça fait des bulles... et pas de champagne !
Remontée vers la surface, plongée en apnée.
Inutile de me débattre. Son étreinte est puissante... mais je commence à reprendre conscience. On dirait que sa grosse bite veut se frayer un passage... à travers le pantalon. Compte dessus et bois de l'eau claire... Oui, enfin, c'est moi qui avale la tasse !!!
Retour à l'air libre. Et plouf dans la petite profondeur.
La pression sur le thorax diminue. Suis-je en train de me noyer. Ce n'est plus le même état second.
Ma tête refait surface et il me pousse vers le bas. Ma bouche est à hauteur d'une queue de taille et de grosseur gigantesques.
" Vas-y. Suce, Kif Kif Bourricot. Et pompe-moi bien ces couilles trop lourdes. Vide-les à fond. "
Là, je suis dégrisé... mais grisé par cette alléchante invitation. Finalement, y a qu'à demander !!! Les fellations, c'est ma spécialité... et rien qu'avec la langue. Je n'ai que deux craintes : l'entrée fortuite d'un convive ou, pire, qu'il se mette à gueuler. Il va jouir au fond de ma gorge mais seulement quand j'aurai envie de boire son nectar !
Pour l'instant, je découvre les moindres petits recoins de ce membre des plus appétissants, très propre et... parfumé.
Ah !, voilà son gland décalotté, le frein, la couronne. Ne descendons pas trop vite. Ce sucre d'orge est d'une dimension tellement exceptionnelle qu'il faut le déguster couche après couche. Vais-je seulement pouvoir l'introduire entièrement dans ma caverne buccale ?
" Putain, salope. Tu m'astiques mieux que ma gonzesse. Continue "
C'est bien mon intention car cet éclair au chocolat est suave et un peu de crème coule à l'entrée du méat. Je la récolte et m'en sert pour humidifié sa bite. Et le résultat de mon massage lingual " languissant " ne se fait pas attendre. La fontaine passe en mode automatique. Elle se déverse à flot, ça déborde, encore et encore. Cela lui apprendra d'avoir voulu noyer le poisson ! Petite pause, le temps de ne pas perdre la moindre goutte de sa mouille.
Chaque fois qu'il est prêt à décharger, ayant enfin décidé de me lâcher le cuir chevelu, je joue avec son prépuce. Mes lèvres le ramènent vers le haut et mes dents mordillent l'excès de peau, ma langue la titille puis lent retour vers le bas.
Pourquoi n'a-t-il pas sorti ses burnes? Je glisse la main dans son froc et vais les lui chercher. Aucune réaction. Il me donne carte blanche.
Oh, purée ! C'est vrai qu'elles sont pesantes et volumineuses. Pas moyen de les gober toutes les deux en même temps. Dommage ! Alors, prenons la première que je fais semblant d'avaler. On gémit à l'étage supérieur. Essayons avec l'autre. Sa couine davantage. Je voudrais tout de même bien les ingurgiter ensemble. YES ! Que c'est bon, pas trop poilues, bien chaudes, croustillantes, viriles. Il me fait tellement bander que je sors ma trique pour me branler...
" Non, laisse ta queue tranquille. C'est pas mon problème. Suce ! "
Incroyable ! Il me tient à sa merci, à son " service " Quel idiot d'avoir oublié cette réception et pourtant, ce type est d'une qualité exceptionnelle ! Du pur, du vrai, de l'exotique érotique.
Alors continuons sans vraiment savoir ce qui pourrait augmenter davantage son orgasme. Et ses gémissements sont-ils sincères ou provocateurs ? En tout cas, ce n'est pas une de mes situations préférées. Un tel rapport s'apparente plutôt au plan " hors... sexe ! "
Espèce de gland ! Le soi-disant professionnel des jeux de langue, l'engages-tu vers le chemin éjaculatoire ou pas ? O.K.
Avec les lèvres, je glisse le prépuce vers le bas et recroqueville la langue de manière à former une fine pointe. Les parties charnues de ma bouche écartent le méat et mon sodurètre naturel s'y introduit avec une facilité déconcertante bien agréable. Tu ne perds rien pour attendre !
Je règle la cadence des va-et-vient et sa hampe durcit de plus en plus. L'explosion approche. La déflagration risque même d'être importante à entendre les feulements. Mais puisque nous ne sommes toujours pas déranger et que personne n'est inquiet de notre absence... autant poursuivre !
Comment vais-je me relever après cette position inconfortable d'être resté incliné sur ce manche à balai ? C'est bien le moment de penser à cela. On verra ! Je reprends donc la chose en langue et redresse cette tige qui semble montrer quelques signes d'assouplissement.
Le serveur me coince la tête entre ses grosses mains pour rythmer les allers-retours.
Je lèche le frein, encercle la couronne et reçois au fond de la gorge plusieurs jets puissants de foutre. Je marque un temps d'arrêt.
" Suce. Il en reste "
J'obéis. Quelle quantité abondante de sa semence est à nouveau déchargée. Tout avaler d'un coup est même difficile.
Tiré par les cheveux me revoilà debout, la queue en semi-érection.
" File-moi tes coordonnées. T'en as pas fini avec moi. Ma laiterie fonctionne à plein régime et, prochainement, je voudrais vider la citerne dans ton petit cul de femelle. "
Pendant que je les note dans un petit carnet, il me fait pivoter au-dessus du lavabo et me saisit la bite frénétiquement. Je ne tarde pas à expédier ma sauce qui se mélange à l'eau... devenue tiède.
Il se dirige vers l'urinoir : " C'est la première fois que je fais juter un mec et, finalement, Kif Kif Bourricot, ça me plaît. Alors, tu y auras droit après chaque rencontre. Bon, maintenant, tire le bouchon, nettoie-moi tout ça et ne remonte que dans cinq minutes. OK ma poule ! "
Je n'ai jamais rappelé !
Scapadal
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