Premier épisode | Épisode précédent
Quand il reprit contact par sms, trois jours après, ce fut en ces termes :
" - Dispo à 19h ?
- Oui.
- J'aurai une surprise. T'as intérêt à assurer.
- Oui.
- En pute.
- D'accord.
- T'es une pute.
- Oui.
- T'es ma pute ?
- Oui ! Soumise et obéissante.
- Ok. Assure. "
L'échange ne m'avais pas du tout alerté, j'étais chaud patate et voulais juste qu'il vienne me doser. Et c'est dans ma tenue sexy que je lui ouvris la porte.
Il n'était pas seul.
Il était accompagné d'un rebeu, mignon malgré sa peau grasse mais vraiment genre racaille, en survêtement Tacchini noir, casquette, rek1 et casque de walkman en collier.
" - Tiens, voilà c'est ma petite tepu, comme promis.
- Ouais, t'assures mec. Tain, c'est chanmé ! "
Le rebeu lui donna quelque chose et se tourna vers moi.
" - Aller ma chienne vient là. Fais pas ta pute ! " Il eut un rire gras.
Je jetai un oeil à l'autre qui me désigna le rebeu du menton. Je compris alors seulement pourquoi il avait insisté sur le côté " pute ".
Je me mis à genoux devant le gars, le coeur battant la chamade, et commençai à descendre son pantalon de survet.
Il portait un caleçon blanc.
Je jetais un regard un peu affolé à mon " copain " et il se contenta de dire : " Caleçon blanc... " Et il sourit cruellement.
Le rebeu voulait me baiser sans capote.
" - Tient c'est d'la bonne du bled ! " et il me colla sa bite sur le visage.
Je finis de descendre son pantalon et son caleçon. Il était musclé sec, imberbe, bien bronzé, circoncis et nettement mieux monté que " mon " pote. Je pris sa queue dans la bouche et je me mis à le sucer. Sa queue avait une odeur étrange. Il limait doucement ma bouche en me donnant le rythme de sa main. Il me lâcha à un moment pour tourner sa casquette en me regardant m'occuper de son membre. Je le regardai dans les yeux et il sembla apprécier.
J'accélérai le mouvement jusqu'à ce qu'il se retire brusquement et dise :
" - Ouah ! Calme pelo ! Je pas payé pour une pipe. " Et il me regarda le sourcil relevé avec cette mimique signifiant " tu vois ce que je veux dire ".
Je lui tendis alors mon tube de gel. Il releva son t-shirt derrière la tête, révélant un torse musculeux, fin et sec. Je vis qu'il devait faire du sport en boxer ou en short vu la marque de bronzage. Je me tournai pour venir coller mes fesses contre sa bite.
" - J'vais pas te crever le jean lopsa. "
Je commençais à baisser mon froc direct, lorsqu'il me dit : " Mieux qu'ça, faut du désir hein ! Faut qu'tu montres qu't'aime ça... Tu m'vends l'amour p'tite femelle! " Ajouta-t-il d'un ton rigolard.
Je repris alors mon mouvement, en veillant à ne descendre que mon froc et j'ondulai doucement sur sa queue tout en me penchant en avant. Il accompagna mon mouvement et me pris par les hanches pour guider lui-même le rythme. Un fois mon jean descendu, il tira sur mon string comme sur les rênes d'un cheval. Sans crier gare, il essaya de déchirer la ceinture mais n'y arriva pas. Alors il se contenta de le faire descendre.
Il me fit avancer et m'ordonna de rester penché en avant comme ça. Je pris appui sur mon radiateur et continuai à onduler : sa bite glissait sur mes fesses. Il l'enfonça dans ma raie et commença à mimer une sodo.
C'était agréable.
Il prit le gel et en mis sur sa queue. Il commença à me pénétrer. Il était très doux, contrairement à ce que je craignais, il pénétra lentement et régulièrement. Une fois dedans, il changea du tout au tout.
Il m'explosa le cul !
Il me donnait de violents coups de bassins que me faisaient avancer dans le mur. Il me forçait à me pencher d'avantage avec sa main droite. J'étais la gueule sur le radiateur et à chaque coup de bite je me cognais la tête contre le mur, en rythme. Je serrai les dents pour ne pas crier.
Cela dura un long moment. Il savait ralentir et alterner les vitesses. Les coups étaient toujours violents, mais parfois très rapprochés, parfois moins. Je n'en pus bientôt plus et commençai à haleter et gémir de douleur. Il appliqua sa main sur ma bouche et redoubla la violence de ses coups de queues. Les larmes me montaient aux yeux et mes gémissements étouffés semblaient l'exciter.
" -Aller, c'est bon ça. Je vais te féconder grosse chienne. "
Et il eut un râle profond, se plaqua contre moi et eut plusieurs spasmes consécutifs. Il prit quelques secondes pour reprendre sa respiration. Il se retira.
Je me retournai, pris la serviette que, cette fois, j'avais préparée et je la lui tendis.
" - Ton taf. " Dit-il.
Et il avança le bassin vers moi. Je me mis à genoux pour lui essuyer la queue et le ventre. C'est le moment que l'autre choisi pour s'approcher et ouvrir son jean.
Slip blanc.
Avec une énorme tache humide sur le gland.
Cela fit rire le rebeu. Je tentais de continuer mon travail de nettoyage alors que l'autre s'excitait sur ma bouche. Comme je le soupçonnais il ne mit même pas une minute à me tapisser la gorge de sperme.
Je finis donc d'essuyer le rebeu.
" -C'est vraiment d'la bonne pute ça. Ca valait le teuchi que je t'ai filé.
- Je te l'avais dit. C'est une pute. Regarde comme y se fringue. Et il se rase partout comme une femelle. C'est de la petite tapette bonne à baiser. Mon petit vide couille. Il m'adore. C'est lui qui m'a demandé de faire la pute. Mais je te le prête quand tu veux. Moyennant notre petit arrangement.
- Trop d'la balle. J'crois qu'on a un deal. J'connais un trottoir tranquille si tu veux.
- Ouais on verra. "
Et ils se tapèrent dans la main. Ils se rhabillèrent. Mon pote quitta l'appart suivi du rebeu sans un mot de remerciement. Le rebeu lui, me pointa de l'index avec un clin d'oeil et un petit claquement de langue.
Je restai là, cul à l'air, le sperme du rebeu dégoulinant sur mes cuisses. J'étais sonné. Je comprenais ce qui venait de se passer et n'arrivait pas à savoir comment réagir et pourquoi je ne m'étais pas rebellé...
Au moins pour la forme quoi...
Parce que j'avais kiffé !
C'était un de mes fantasmes d'être prêté comme ça, sans qu'on me demande mon avis. Mais en même temps j'avais imaginé qu'on me préviendrait ou bien qu'on se mettrait d'abord d'accord avant de passer aux actes. J'avais aussi imaginé des scénarii plus brutaux assorti de viol et de tournante.
Mais bon... J'avais vraiment aimé.
Je finis par me branler.
Et j'envoyai un petit sms à mon pote : " Merci. "
Je l'imaginais en train de recevoir le message et se branler à son tour.
Je n'attendais pas de réponse et ne fut pas déçu.
Deux jours plus tard, il vint seul, après le rituel du sms. J'étais habillé normalement, n'ayant pas reçu d'instruction.
Il se planta dans le salon comme toujours mais les mains dans le dos. J'imaginais qu'il était impatient que je découvre ce qu'il avait sous le jeans. Je me suis approché et voulu ouvrir son pantalon. Il me tendit alors un petit paquet cadeau.
C'était gros comme... un livre, mais léger. C'était une boite qui contenait quelque chose de léger. J'ouvris et vis immédiatement qu'il s'agissait un sous-vêtement Christian Andrew.
" - Pour moi ?
- Ouai... T'as bien mérité. "
Je sorti le cadeau : il s'agissait d'un jock-strap. Connaissant le bonhomme, je me relevai pour me déshabiller entièrement et je passai le jock. J'ajustai la ceinture sur mes hanches et me tournai pour lui laisser admirer mon cul, écartant les fesses au passage pour montrer ma rondelle épilée de frais. Il me regarda ensuite dans les yeux et les baissa sur sa braguette.
Je me mis à genoux et obéis aux directives du slip blanc. J'étais un peu déçu, j'aurais bien aimé qu'il m'encule avec ce beau jock. Pour ne pas faillir à ses habitudes, il partit avant que je n'ai le temps de me relever.
Ainsi vêtu, je bouillais de désir : je finis la soirée dans un sauna pas loin, déambulant avec mon jock je fus la reine de la nuit.
J'aurais pu me faire une paire de gant avec toutes les capotes utilisées en moi ce soir-là.
Le lendemain, je le retrouvai sur internet. Beaucoup plus bavard, il m'expliqua que le mec avait une copine mais avait toujours voulu se taper un mec, mais discrètement. Bla... Bla... Bla... Du coup, comme je ne le connaissais pas c'était nickel.
Il n'aborda pas la question de la rétribution mais je gardais en tête qu'il avait reçu du shit en échange de mon cul.
J'eu droit à mon lot de compliment sur ma prestation, que j'avais vraiment un esprit de salope, de pute, qu'il avait vu combien j'avais aimé me faire baiser, qu'il avait l'intention de renouveler l'expérience, que si j'étais une bonne gagneuse j'aurais droit à mon petit pourcentage, etc.
Aussi bizarre cela peut-il paraitre, je ne dis rien. J'étais plutôt satisfait de la situation. Dans les semaines qui suivirent, il me ramena quatre clients. Trois pour des pipes et un pour une sodo.
Pour être honnête, je me rappelle à peine d'eux. En fait je ne suis même pas sûr d'avoir regardé leurs visages. Il y avait eu un gros moche qui me juta sur le visage et me complimenta d'un " le bronzage ça te va bien " alors que son sperme dégoulinait sur ma bouche, un vieux qui avait mis un cockring pour arriver à bander assez longtemps et un chinois, un asiat en tout cas, qui devait faire entre 1mètre50 et qui éjacula en quelques secondes et que je dû sucer une deuxième fois.
Contrairement, à la première fois, mon petit camarade ne se fit pas sucer en présence de nos clients. Il se contenta d'empocher un billet ou deux. En revanche, il augmenta ses visites. Slip, boxer et caleçon en alternance. Il prit aussi l'habitude de me demander de le sucer deux fois de suite, me nourrissant ainsi de sa semence deux fois plus.
Le client pour mes fesses, ce fut autre chose...
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Yopi
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