Pour ceux qui ne le savent pas, les soirées étapes sont des packages que proposent la plupart des hôtels pour les gens en déplacement professionnel : la nuit, le petit déjeuner et un diner moins onéreux qu'à la carte.
Ce soir-là, j'étais arrivé tard, fatigué après une journée de boulot épouvantable. J'avais bazardé toutes mes affaires dans la chambre et étais redescendu au restau sans prendre le temps d'une douche. La salle était longue et étroite, assez impersonnelle, décorée dans des tons blanc, gris et " taupe ", tables vieillottes encadrant une sorte d'allée centrale et pour finir une moquette grise.
Bref, tout pour me déprimer un peu plus.
Je sursautai lorsque le garçon déposa le menu sur la table sans que je ne l'ai ni entendu ni vu venir.
" - Oh pardon monsieur. Je ne voulais pas vous faire peur.
- C'est pas grave, ne vous inquiétez pas, j'étais dans la lune.
- Prendrez-vous un apéritif ?
- Oui, un martini blanc avec citron et glace s'il vous plait.
- Je vous amène ça tout de suite. "
Il s'agissait d'un jeune serveur, stagiaire peut-être ou alors débutant tout juste. Il était très grand et maigre, il flottait un peu dans sa veste. Le visage juvénile, très pâle de ceux qui ne prennent jamais le soleil. Je n'eus pas le temps de noter d'autres détails, il était parti trop vite. De toute manière, ce n'était pas mon genre, je n'étais pas d'humeur à ça et j'étais fringué pour le boulot, pantalon de ville noir, chemise, veste : pas du tout sexy.
Du coup, je consultai la carte et choisis entre la viande et le poisson pour mon dîner. Je jetai un oeil aux autres clients, que des hommes, en déplacement comme moi probablement, mais j'étais le plus jeune et le plus mince : mauvais karma.
Mon esprit s'égara de nouveau dans les considérations professionnelles de l'après-midi. Mes yeux toutefois accrochèrent la boucle d'un ceinturon au loin. Hypnotisé par le mouvement du rectangle argenté, je me contentais de le suivre, le regard toujours dans le vague.
Je me fis la remarque que la braguette en dessous était sacrément enflée et que son propriétaire avait dû céder à la mode des boxer rembourrés, comme chez C. Andrew. Cela dura peut-être cinq ou dix secondes avant que je ne réalise que la boucle se dirigeait vers moi et qu'elle appartenait au jeune serveur.
Lorsque je croisai son regard il eut un discret sourire et ses yeux me semblèrent plus inquisiteurs. Il posa mon verre de martini et pris ma commande. Me demandant si j'étais en soirée étape, il me détailla le menu en se mettant tout à côté de moi, jusqu'à ce que sa cuisse touche mon épaule. Ce ne fut guère qu'un frôlement, mais j'étais certain que ce n'était pas un accident.
Etant arrivé un peu tard, les autres clients avaient déjà quasiment fini leur dîner lorsque mon entrée arriva. Le serveur avait un grand sourire qui me le rendait plus désirable qu'au premier abord. Mais surtout son regard avait changé et ne semblait plus du tout celui d'un jeune innocent. Je lui demandai donc où se trouvaient les toilettes. Il se proposa de m'accompagner car il y avait -soi-disant- des travaux.
Je le suivi donc dans un dédale de couloirs et nous arrivâmes aux toilettes. Je pus déceler sa nervosité à la manière dont ses mains tremblaient et qu'ils les ouvraient et fermaient.
" - C'est ici... " Me dit-il en ouvrant la porte en grand. Il tourna sur lui-même pour me laisser passer se retrouvant ainsi à l'intérieur de la pièce.
" - Merci " Dis-je avec un beau sourire, mes yeux planté dans le siens.
" - Tu as un moment ? " Ajoutai-je.
" - Pas trop non...
- Ca peut être rapide, j'ai juste envie de voir ce qu'il y la dessous... " Dis-je en désignant sa braguette.
De manière inattendue, il jeta un oeil dans le couloir et entra dans les toilettes. Je le suivis dans hésiter et je refermai la porte derrière moi. Il dégrafa son pantalon et le fit tomber sur ses chevilles.
Je ne pus me retenir : " - Nom de Dieu... "
Ce gamin avait la plus énorme queue que je n'avais jamais vue. Déjà à moitié bandée elle devait faire plus de vingt centimètres. Alors des TTBM j'en ai déjà rencontré sur les sites avec des 23, 24, 25 cm tout en sachant qu'ils ajoutent toujours quelques centimètres. Là, on était vraiment au-delà des 20 cm.
Il affichait l'air satisfait de celui qui sait ce qu'il a entre les jambes. Je me mis à genoux pour avaler ce morceau de roi. Le diamètre était en rapport avec la longueur mais sans excès toutefois car elle rentrait sans problème dans ma bouche.
Mes premières caresses buccales achevèrent de raidir son membre gigantesque. Je me retenais de lui demander combien elle mesurait. Je soupçonnais que mesurée du pubis au méat il y en avait pour 23 ou 24 bons centimètres de chair dure et chaude.
J'ai toujours été un excellent suceur (ou suceuse comme je l'ai parfois entendu dans des sex-clubs) et la taille ne m'impressionnait pas. Evidemment tout ne rentrait pas, pas dans cette position, mais je fis tout mon possible pour lui donner satisfaction et vite, car je le vis consulter sa montre, ce qui me vexa un peu.
Effectivement il lui fallut peu de temps pour jouir. Il se retira et pointa son gland dans la cuvette des toilettes et expulsa plusieurs jets puissants de sève blanche. A peine avait-il fini de se vider qu'il remballa son engin et sorti en me disant qu'il devait retourner bosser.
Je restais un peu surpris. Je me relevai et me lavai rapidement les mains. J'attendis un peu que mon pantalon reprenne une forme normale et je retournai à la salle de restaurant. Je mangeai donc mon entrée en surveillant du coin de l'oeil le serveur, qui ne daigna pas se montrer.
Il apparut comme par magie pour me débarrasser et apporter mon plat principal. Il ne souriait plus et évitait mon regard. Je me fis une raison et me dit que ce n'était pas si mal après tout. J'imagine qu'il avait déjà pris un sérieux risque en faisant cela avec un client de l'hôtel. En débarrassant mon plat de résistance, il semblait plus détendu. J'étais le dernier client.
" - Voudrez-vous un dessert ?
- Oui, un comme toi à emporter... " Répondis-je tout bas.
Il rougit. C'était mignon. J'ajoutai aussitôt :
" - Non merci pas de dessert, juste un petit café bien serré... comme moi. " Il rougit de plus belle.
Il m'apporta donc mon café avec l'addition. Je lui demandai de la mettre sur ma chambre et lui indiquai donc le numéro. Il regarda et me dit d'un air mystérieux :
" - Ah, une chambre du rez-de-chaussée. Faites attention de bien fermer les fenêtres, on a eu des effractions. "
Je pris le conseil en considération : entre l'ordi, la tablette, le tel et les costumes... Y'en a quand même pour des sous.
Je finis donc mon café et comme le serveur ne semblait pas pressé de débarrasser, je quittai la salle, en laissant un bon pourboire et regagnai ma chambre. J'avais deux trois choses à finir avant de me coucher, du coup je pris mon portable pour bosser en essayant de ne pas trop penser à ce plan foireux dans les toilettes.
Vers 23h, j'entendis un choc sourd contre ma fenêtre. Je ne réagis pas. Un second coup sur la fenêtre suivi d'un troisième. J'entrouvris les rideaux et eu la peur de ma vie en voyant le jeune serveur face à moi. Il me fit signe d'ouvrir la fenêtre. C'est ce que je fis et il entra.
" - Si on me voit, j'ai plus de boulot. " Dit-il en guise de salutation.
Je ne l'aurai sans doute pas reconnu, si ce n'est pas sa taille. Il portait un jean délavé, un blouson et un t-shirt : le tout noir. Il referma lui-même la fenêtre et ajouta :
" - J'ai de la chance que le service se soit fini si tôt aujourd'hui, des fois c'est une heure du mat'.
-Ah oui c'est vraiment cool ça. " Répondis-je bêtement.
Il ôta son blouson. Mettre du noir lui donnait un air maladif encore plus évident, pas une bonne idée. On aurait dit un de ces ados geek qui vivent reclus dans leur chambre devant leurs jeux en ligne. Je fis un pas vers lui et l'attirais vers moi par la hanche. Il se pencha immédiatement pour m'embrasser.
Trop vite, trop fort, trop bruyamment.
" - Doucement... Prends ton temps on a toute la nuit si on veut. " Lui dis-je.
Je le repoussai vers le lit sur lequel il s'allongea. Je voyais son Diesel habité par le monstre de tout à l'heure. Je me mis à califourchon sur lui pour lui ôter son t-shirt. Je me mis torse nu aussi. Je lui caressai la poitrine...
Il était imberbe, juste deux ou trois poils longs et noirs. Peu musclé, la peau était souple et malgré sa maigreur, il y avait un peu de gras. Ainsi juché sur ses hanches, je pouvais sentir sa queue raide. Il donnait -volontairement ou pas- des coups de pression que je sentais nettement.
Je me penchai pour l'embrasser. Il me laissa faire et décider des choses. Ce fut tendre et doux. Mais il était impatient et alors que je m'allongeai à ses côtés pour l'embrasser et le caresser, il ouvrit sa braguette et en sorti son sexe.
Bon... Message on ne peut plus clair.
Je pris donc sa queue à deux mains et commençais à suçoter le gland. Il se laissa aller et se contenta de quelques gémissements de contentement. J'avalai autant que possible son sexe tout en lui caressant les cuisses. Après un moment, il m'attira à lui pour m'embrasser mais il ne fit pas le moindre geste vers moi.
Je me levai donc et ôtai d'autorité mon pantalon et mon boxer pour lui montrer que j'étais moi aussi très excité. Il se pencha vers mon sexe et timidement commença à en lécher le gland. Je tirai mon prépuce à fond pour qu'il voit que tout était propre (c'était peut-être pour cela qu'il faisait le timide). Il finit par gober tout doucement ma queue mais pas entièrement. Il fit quelques aller-retour, mais seules ses lèvres touchaient ma verge, pas de langue. Mais pas de dents non plus en même temps.
Il me fallut peu de temps pour me lasser. Je lui demandai de s'allonger à nouveau. Je me remis à califourchon sur lui mais, cette fois, en lui tournant le dos. Je l'entendis respirer difficilement à cause de mon poids sur sa poitrine et me mis donc à 4 pattes comme pour un 69.
Je pris sa queue en bouche. Une fois un maximum avalé, je lui fis franchir le seuil de ma gorge. Je respirais profondément par le nez pour ne pas avoir de réflexe pénible. Et je fis rentrer toute sa queue dans ma gorge. Il gémissait de bonheur. J'avais à peine atteint ce point que tous les mecs adorent lorsque sa queue fit prise de plusieurs spasmes.
Il venait de lâcher sa purée.
" -Pardon !!! " Cria-t-il presque en se relevant à moitié, ce qui ne manqua pas de m'étrangler à moitié vu la situation de sa queue.
Je me retirai instantanément et me tournai vers lui :
" - Pas grave. T'es clean au moins ?
- Oui j'ai fait un test l'année dernière. "
Je levai les yeux au ciel.
" - Si tu prends des risques c'est pas du tout assez !
- Je prends pas de risques, vous inquiétez pas ! "
Le vouvoiement me fit l'effet d'une claque. Certes j'étais nettement plus vieux que lui mais quand même. Première fois qu'on me vouvoie pendant un plan.
" - C'est quoi ton prénom ?
- Christophe.
- Enchanté, moi c'est Yves. "
Je glissai mes mains dans son jean, sur ses cuisses et repris sa queue en bouche : un peu de sperme perlait au bout du gland, mais elle était restée bien rigide. Je recommençai donc à le sucer. Reprenant mes gorges profondes, il gémissait de plus en plus fort à mesure que son excitation montait.
" - Attention ! " Dit-il au moment où je perçus la toute première contraction.
Je pris alors son gland dans ma bouche grande ouverte et me pris quatre ou cinq jets jusqu'au fond de la gorge. Je me délectai de son jus alors que je le sentis s'effondrer complètement sur le lit.
Je m'allongeai à ses côté :
" - Tu n'as pas beaucoup d'expérience je crois.
- Non... pas trop.
- Tu aimes ?
- Oui.
- Tu as déjà sucé ?
- Deux fois oui.
- Et ?
- Ben c'est cool.
- Deux, avec ou sans moi ?
- Avec.
- Tu as essayé d'autres choses ?
- Non.
- Tu voudrais essayer ?
- Je crois pas que j'aimerais qu'on me... rentre dedans ?
- Et tu voudrais essayer de... quelqu'un ? " Nous avions échangé à voix basse et sa timidité ne semblait pas feinte. Je m'étonnais qu'il ait pris ce risque ce soir. Je m'attendais à quelqu'un de plus expérimenté.
" - Oui... Si c'est possible. Je sais pas si on peut avec... " Et il jeta un oeil vers son bas-ventre.
" - T'inquiète quand on veut on peut. ".
Je lui ôtai son jean, il était désormais nu sur mon lit. Sa queue était retombée mais je ne m'inquiétais pas trop sur ses capacités à " rebondir ".
Je pris du gel au silicone dans ma trousse de toilette et un préservatif. Je me mis sur ses jambes et tentai de lui poser la capote.
Impossible.
Ca ne rentrait pas, d'autant qu'il était à moitié mou.
" - Attendez... " Dit-il. Il s'allongea, ferma les yeux et commença à branler son chibre. En quelques instants son majestueux gourdin d'éleva à nouveau au-dessus de son ventre. Il prit la capote et, en introduisant deux doigts dedans, il l'élargi autant que possible. Son sexe pu ainsi rentrer. Il la déroula entièrement et il resta encore bien 5 ou 6 cm à nu.
Là, j'avoue avoir eu un instant de panique. Je ne savais pas si j'allais réussir à prendre " tout ça " et si le jeune serait suffisamment délicat pour ne pas m'envoyer à l'hôpital avec les intestins troués.
En essayant de cacher mon inquiétude, j'enduisis abondamment la matraque de mon jeune ami. Je pris aussi le temps de me lubrifier le passage et de le préparer avec les doigts.
Je choisis de contrôler au mieux la situation en me remettant à califourchon sur lui. La pensée qu'il était un peu fainéant celui-là me traversa l'esprit et me fit sourire.
Je posai alors mon anus sur son gland. Il tenta une poussée surprise. Je lui demandai de se calmer et de me laisser faire.
Je repris ma manoeuvre. Je fermai les yeux pour mieux percevoir les choses. Je m'empalai doucement sur son dard. Je sentis mon muscle anal se révolter contre une telle intrusion, je pouvais presque l'entendre me dire " trop c'est trop ! Mais combien sont-ils ??? ". Mais une fois le gland passé, je restai immobile et je laissai la douleur se répandre et s'évacuer en serrant légèrement les dents.
J'entrouvris les yeux pour constater qu'il me regardait avec inquiétude voire sollicitude. Son visage reflétait la douleur qu'il pensait que je ressentais.
Une fois la douleur estompée, je ressortis et ré-entrai mais cette fois je me laissai descendre le plus loin possible. Je m'attendais à sentir à tout instant une douleur provenant de l'intérieur de mon ventre mais tout ce que je sentais c'était une sorte de glissement. Je finis donc assis sur mon jeune serveur, son monstre entièrement en moi.
" - Respire ! "
Il avait retenu sa respiration durant toute ma descente. Il prit une bruyante inspiration. Je commençai alors à monter et descendre sur sa queue. Il commença à suivre le rythme de son puissant bassin. Je le guidai car il avait tendance à vouloir accélérer et je n'étais pas encore prêt.
Après quelques minutes, je me retirai complètement pour m'allonger sur le ventre et le laisser me pénétrer à son goût. Il entra maladroitement, après deux essais infructueux et douloureux. A la troisième il fit pénétrer les trois quart de sa queue avant de se rappeler d'être délicat. Ensuite il me prit doucement puis de plus en plus vite.
Deux ou trois fois je lui demandai de se calmer : la jeunesse !
Il continua ainsi pendant de longues minutes, sans chercher à changer de position. Je le laissai faire pour ne pas le stresser. Je finis par ne plus éprouver grand-chose, mon trou étant dilaté à mort. Il poussait des grognements très virils et soudain cela se transforma en une sorte d'extase avec une voix qui me rappela celle des adolescents en pleine mue.
Soudain je sentis que quelque chose n'allait pas : je perçu les jets de sperme en moi. Je ne dis rien mais restait en alerte. Lorsqu'il s'affala sur moi, je restai coincé (avec sa taille il devait bien faire dans les 90kg). Lorsqu'il se releva je me retournai immédiatement pour m'apercevoir que sa queue n'était plus revêtue de la capote.
Je lui adressai un sourire et le félicitai pour sa première. Toutefois je fonçai aux toilettes pour tenter de sortir le caoutchouc qui m'avait fait faux bond. La question réglée, je retournai vers mon amant.
Il semblait un peu perdu. Je me contentai de m'allonger à côté de lui pour le rassurer. Nous discutâmes un long moment de tout et de rien.
Vers les 4h du matin, il voulut partir :
" - Je dois rentrer chez moi pour me laver et me changer. Je peux pas arriver au restau direct de l'hôtel tu comprends ?
- Je comprends oui. Tu sais, je serai parti ce soir.
- Je sais. La prochaine fois alors ?
- Evidemment !" Répondis-je.
Lors de ma visite suivante, il y avait une jolie serveuse.
Je n'ai plus jamais revu cet étalon.
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Yopi
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