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Sérieux clients
Le gars qu'il me ramena pour la sodo, en revanche, m'a vraiment marqué.
Il était jeune, grand et musclé. Vêtu à la dernière mode, il portait un pull rouge très léger (Boss? Armani ?) et un diesel bleu brut, avec de petits trous sur ses cuisses qui étaient diablement bien moulées dedans. Sa tête ne m'était pas inconnue, mais pas moyen de mettre un nom dessus.
Habillé en pute comme toujours, je minaudai un peu devant l'adonis excitant qui souhaitait mes services (je l'aurai pourtant payé cher pour qu'il me baise !!!). Je passais ma main sur mon abdomen en relevant mon t-shirt pour qu'il puisse mieux voir la ceinture de mon jock strap. Je fis un petit tour sur moi-même pour qu'il voie la naissance de la raie de mes fesses entre les ceintures du jock et du jean. Appréciateur, je l'entendis émettre un petit " mmm " de connaisseur satisfait.
J'étais un peu surpris d'avoir un mec comme ça, vu qu'il pouvait sûrement avoir tout ce qu'il voulait : du minet vierge au vieux blindé de tune.
Du coup, j'étais content.
Je me mis à genoux devant lui. Je caressais ses cuisses de sportif, impossible qu'il en soit autrement, et j'ouvris son jeans.
Il portait un shorty rouge.
Grosse déception.
Je dégageai donc sa queue , non sans approcher mon nez pour la sentir et passer un petit coup de langue sur son gland.
Je lui mis une capote et lui enduisis le membre de gel. Lorsque ce fut fait, il me tendit la main pour m'aider à me relever.
Gentleman avec ça.
Surprise supplémentaire, il commença à m'embrasser : nul ne m'avait embrassé depuis mes premières rencontre avec mon " souteneur ". Il déboutonna mon jeans, le baissa et fini par me tourner, pour placer mon cul devant lui. Il me fit m'approcher de la table du coin cuisine et me pencha dessus.
C'est donc le torse et la queue sur la toile cirée de ma grand-mère que je fus pénétré.
Il fut doux et prit son temps. Cela dura au moins vingt minutes. Je n'en perdais pas la plus petite seconde. Il avait certes une grosse queue qui m'avait fait mal au début, mais une fois bien dilaté, ce n'était plus que du plaisir...
Et il savait ce qu'il faisait le salaud. Je bandais et mouillais comme une chienne. Je sentais ma mouille sur mon ventre, la toile cirée devait en être couverte. Je finis par glisser en rythme tellement j'avais lubrifié la table.
Au bout d'un moment il ralenti le mouvement, je cru qu'il allait abandonner car cela faisait tellement longtemps qu'il était en moi que je commençais à croire qu'il n'arriverait pas à jouir.
De mon côté j'avais failli éjaculer à cause du frottement de ma queue sur la table. Et c'est-là qu'il juta avec un petit râle discret. Il s'effondra sur moi en m'étouffant à moitié. Après un petit moment il se releva et se retira. Je restai encore un peu en position, pour graver la sensation de sa queue en moi. La capote, incroyablement remplie, atterrit près de mon visage avec un petit noeud.
Vraiment plein d'attention ce client.
Je me relevai sans toucher à mon jean, j'avais la conviction que les mecs aimaient ce détail : me voir à moitié nu et souillé après leurs exploits. La toile cirée, effectivement, luisait de ma mouille et mon jock-strap était une véritable serpillère.
Ce magnifique client était déjà rhabillé. Sa queue encore épaisse se voyait sous son jeans. Il me regardait. Il voyait bien que je matais sa queue. Il eut un sourire doux, s'approcha de moi et commença à me caresser la queue au travers de mon jock... Pour mon plus grand bonheur.
Il ne me fallut que quelques secondes pour éjaculer. Le sperme traversa le tissu et se répandit un peu sur sa main. Il la regarda, je crus qu'il allait lécher le sperme mais, en fait, il la tendit vers moi. Je la lui léchai pour nettoyer le jus qui commençait à goutter par terre. Je finis en déposant un baiser dans sa paume de sa main désormais propre.
Il jeta un oeil à mon pote et ils partirent.
J'avais trop trop aimé !!!
Bien qu'il me l'ait traite, ma bite refusait de débander. Mon jean sur les chevilles, mon cul dilaté dégoulinant, mon jock imbibé de sperme qui commençait à couler sur mes jambes, mon t-shirt rose trempé de mouille, je restai un moment appuyé sur la table.
Je vivais un méga pied.
Dans un coin de ma tête, mon sens moral hurlait que je devais me reprendre, que ce n'était pas comme ça que je trouverais quelqu'un de bien, que j'allais finir sur le trottoir avec toutes les maladies possibles.
Dans un autre coin, je rêvais qu'une équipe de foot au grand complet débarque et me déboite le cul, là, tout de suite, maintenant.
Ma main tomba sur la capote usagée.
Je songeais à son propriétaire et à sa queue. Toujours le cul à l'air et le jean sur les chevilles, je pris une paire de ciseaux. Je fis descendre le sperme au niveau du noeud de la capote. Une incision de quelques millimètres au niveau du réservoir.
Je pris la capote, penchai ma tête en arrière et amenai le réservoir au-dessus de ma bouche. Il se vida, un peu trop vite, et tout le sperme se retrouva dans ma gorge. Je le fis rouler avec ma langue et pris le soin de goutter et faire durer le plaisir. Je finis par avaler.
Pris d'une frénésie perverse, j'incisai la capote sur toute sa longueur et l'étalai sur la table. Je me mis à la lécher pour récupérer jusqu'à la dernière trace du sperme, mélangée à la saveur du lubrifiant, de ce magnifique mec, je continuai avec ma mouille sur la toile cirée.
Je bandai à nouveau. M'installant sur la table, jambes pliées et écartées, deux doigts dans le fion, je me branlai sans ôter mon jock. Seconde éjaculation dans le sous-vêtement et divine sensation de sperme s'accumulant sur ma queue et mes couilles.
J'adorais me sentir souillé de sperme.
Je restais là, sans bouger, à ressentir l'humidité du sperme sur moi, la saveur du sperme dans ma bouche et les sensations de mon anus maltraité (enfin, pas si maltraité que ça).
Mon téléphone sonne.
SMS.
Mon " pote ", comme j'avais mis dans mon carnet de contact, écrit : " C'est moi. ".
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Yopi
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