Premier épisode
2 | Les toilettes
Après m’être fait baiser comme une reine à l’arrière d’un stand, je ressens le besoin de me rafraîchir (cf histoire précédente) et je me dirige vers les toilettes les plus proches. Je sens comme une présence derrière moi et me retourne : il y a un mec qui marche derrière moi, mais je ne fais pas attention et continue mon chemin.
J’entre dans les toilettes où se trouvent plusieurs mecs et me dirige vers une cabine qui ferme. Le mec qui me suivait va se coller devant un urinoir… je me suis fait des idées. Je rentre dans la cabine, baisse mon tanga et comme une femme, je m’assieds pour faire pipi. Je dilate ma chatte avec les doigts et sens le jus de ma précédente baise couler. Je soupire en allant chercher le sperme avec mes doigts et je porte mes doigts à la bouche pour goûter le jus de l’étalon qui vient de me baiser. Je rebande en avalant cette bonne crème de mâle quand j’entends quelqu’un taper à la porte :
« - ouvre salope, je t’ai entendu te faire baiser sur le stand derrière le mien et j’ai besoin de me vider les couilles
– … (je n’ose rien répondre)
– Allez sale pute, j’ai une bonne queue pour toi, tu vas kiffer »
Le mec insiste et je cède, j’ai encore envie de queue. Je déverrouille la porte et le mec entre en refermant derrière lui.
C’est un mec de cinquante ans, blond avec les cheveux courts genre ex-bidasse, yeux bleus, une mâchoire carrée, un costume gris clair avec une chemise bleue et une cravate bleu marine, une alliance au doigt. Un bon hétéro pur teint d’apparence.
« - alors salope, tu croyais être discrète quand tu te faisais ramoner ? Je t’ai bien entendu couiner et tu m’as filé la trique. Maintenant, il faut que tu répares ce que tu as causé… »
Ce mec est trop excitant avec son côté macho directif. Je le regarde descendre sa braguette et sortir sa queue. Sans hésitation, je plonge la tête sur sa queue. Elle est dure et non circoncise, environ 18 cm. Je repousse le prépuce avec mes lèvres pour découvrir le gland. Il a une belle forme de champignon, bien rose. Ma langue s’enroule autour du gland et je le sens se tortiller sous l’effet de mes caresses. Je commence à aspirer le gland en faisant tournoyer ma langue autour.
« - Ah, bitch, tu sais y faire avec ta langue, prends la bien à fond salope. »
J’obéis et descend ma bouche sur sa queue sans m’arrêter jusqu’à sentir les poils de son pubis me chatouiller le nez et son gland m’élargir la gorge. Il me bloque la tête quelques instants et je me retire pour reprendre ma respiration. Il a l’air d’aimer mes gorges profondes.
Je recommence et alterne sucette de gland et gorge profonde. Il râle de plaisir. Je lâche sa queue et me penche encore un peu plus pour gober ses couilles l’une après l’autre.
En faisant cela, mon cul se cambre et il voit ma chatte rasée et lisse dans laquelle il met un doigt.
Il le ressort en me disant :
« - mais tu as le cul plein du foutre, petite salope
– oui, c’est le mec qui m’a baisé sur le stand, il m’a engrossé comme une femelle et j’ai encore envie vu ta queue
– Suce d’abord, on verra, je n’aime pas passer après quelqu’un d’autre. »
Je reprends ses couilles en bouche en le masturbant et le décalottant bien.
Je veux absolument lui donner l’envie de me faire le cul et je pompe comme si ma vie en dépendait. Il tremble sur ses jambes sous mes coups de langue et se maintient avec les mains sur les parois.
Quand il est sur le point de jouir, je me relève et me tourne pour lui présenter ma chatte.
« - ah connasse, j’étais sur le point de te remplir la bouche ! tu vas me le payer »
Il se cale derrière moi et m’enfile d’un coup sa queue dans ma chatte bien graissée. Il me baise comme un bourrin et tasse bien le jus de mon premier baiseur. J’entends le clapotis de sa queue qui baigne dans le jus de l’autre mec. Il me saisit par les hanches et se bloque au fond de mon cul. Je le sens se vider en plusieurs secousses.
Il sort de mon cul et m’ordonne de lui nettoyer la queue. Je me rassieds sur les toilettes et reprends sa queue en bouche : elle a un goût délicieux, son sperme et celui du premier baiseur se sont mélangés et je déguste sa tige comme une friandise. Je l’avale, l’aspire, la nettoie pendant plusieurs minutes jusqu’à ce qu’il me la retire en me disant :
« - c’est fini la salope, j’ai bien compris que tu pouvais continuer des heures, mais ma queue est propre et je dois retourner travailler. En tout cas, merci pour tes talents de suceuse et pour ton cul accueillant. Mieux qu’une chatte. »
Il se rhabille et me laisse seul dans la cabine. Je rassemble mes esprits comme je le peux : je suis en train d’exploser mes records, deux mecs différents en une heure…
Je regarde l’heure : il est déjà 18 h 30 et je dois partir, un régulier doit me baiser chez lui ce soir, sa femme est partie en déplacement. Il va pouvoir me baiser sans forcer vu comment je suis dilaté.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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