En déplacement chez un client en province, je travaillais tranquillement dans un bureau que l’on m’avait prêté quand je me suis dit qu’un petit tour sur une application de drague gay pourrait satisfaire ma curiosité. N’étant jamais venu dans ce coin de France, je voulais savoir quel était le style des mecs locaux.
Je lance l’application et les profils apparaissent : plutôt des mecs, la trentaine, se présentant comme bi. Je mate un peu et repose mon téléphone pour travailler un peu. Quelques minutes plus tard, je rafraîchis l’application et découvre qu’un mec est à 29 m de moi. Il est forcément dans l’immeuble où je me trouve, car je suis dans une zone d’activités où les immeubles sont très espacés.
Il a 29 ans, pas de photos, bi, mince et très actif. Sa description indique qu’il veut se faire sucer.
Je le contacte et les échanges commencent :
– Que cherches-tu ? Moi passif bien salope et gourmande.
– À me faire sucer
– On doit être très proche
– Oui, dans le même immeuble, certainement
– Je suis au rez-de-chaussée dans un bureau de passage
– Et moi au 3e, à mon bureau
– Compliqué alors ?
– Non, tu peux me sucer dans les chiottes du 1er, il n’y a plus personne à cette heure-là
Je suis trop excité, il me faut cette queue à sucer : il m’a envoyé une photo entretemps d’une belle bite circoncise en érection, longue, dure et assez fine.
Je monte à l’étage, trouve les toilettes et rentre dans la cabine tout au fond, selon ses indications.
Je tire la porte sans la fermer à clé et m’assieds sur les toilettes en me malaxant la queue par-dessus le pantalon.
Quelques minutes plus tard, j’entends quelqu’un entrer dans les toilettes et se diriger vers ma cabine.
Ce mec bien excitant dont je n’ai pas encore vu la tête ouvre la porte et là, catastrophe, c’est un des mecs avec lequel j’étais en réunion toute la matinée. J’avais bien remarqué cet informaticien, très mec hétéro d’apparence, en jean, pull et basket : un style un peu quelconque, mais un bomec. Je suis tout blême : s’il me dénonce, je vais me faire virer de chez le client. Je me rassure en le voyant entrer dans la cabine avec un sourire en coin : je vais l’avoir ma bonne bite. Et c’est là que je me rends compte, qu’il n’est pas seul : un petit jeune look racaille en survêt, polo et chaîne autour du cou le suit.
Le premier mec me dit qu’il est venu avec son stagiaire qui a les couilles lourdes et chargées. Quelle bande de queutards dans cette entreprise !
Sans attendre, les deux mâles baissent pantalon et shorty et s’approchent de ma tête.
Je me fais un devoir de commencer par le mec plus âgé et je le fais durcir avec ma bouche. La queue se déploie dans ma bouche : je creuse les joues pour bien l’aspirer et elle devient ferme et fine comme sur la photo. Je m’applique à bien la prendre en totalité : le mec soupire en m’appuyant sur la tête pour que je reste en gorge profonde. Il donne des coups de reins comme s’il voulait aller plus loin dans ma gorge. Quand il relâche ma tête, je me retire pour reprendre mon souffle et repars au travail sur la queue du mâle : je veux qu’il s’en souvienne de ma pipe. Le stagiaire commence à trouver le temps long, tout seul à se branler sans avoir accès à ma bouche. Il tape sur l’épaule de son maître de stage qui comprend et lui laisse la place. Sa queue à lui est épaisse, marbrée de veines saillantes, non circoncise avec un gland plus large que sa queue elle-même. Je commence par son gland, un vrai délice avec un parfum de mec, un peu musqué, chargé des sécrétions de la journée au fond de son slip. Je passe ma langue entre le prépuce et le gland et je le sens frémir sous la caresse. Je recommence puis m’empale la gueule sur sa queue. Les poils de son pubis viennent remplir mes narines. Je le pompe avec frénésie, je veux son jus. Le traitement est trop fort pour qu’il résiste : il me crache une bonne rasade dans la bouche : sa queue a des soubresauts qui correspondent à chaque giclée. Je me retire et ouvre la bouche pour lui montrer son bon jus sur ma langue. L’autre mec est complètement excité et me traite de salope qu’il va finir de remplir de jus. Sa bite vient s’emboîter dans ma bouche et baigner dans le jus de son stagiaire que je n’ai pas eu le temps d’avaler. Il ne fait que deux ou trois aller-retour avant de cracher à son tour. Je n’ai pas le choix : j’avale sans discuter, car ma bouche est pleine du jus de deux bonnes teubs.
Il est temps de retourner à son bureau : quand ils apprennent que je reviens dans 15 jours, ils me disent qu’ils veulent recommencer, mais cette fois-ci en s’occupant de ma chatte. Je n’avais pas mis ma lingerie de salope ni pris de capote, car je ne pensais pas soulager deux mâles lors de mon déplacement. Vivement dans deux semaines !
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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