J’avais rencontré ce mec de cinquante-cinq ans quelques semaines plus tôt : c’était un mâle libanais bien velu et très macho. Il m’avait déjà baisé à plusieurs reprises dans son penthouse du 7e arrondissement et je jouissais toujours autant à chaque fois qu’il me fourrait. Nous nous étions donné nos n° de téléphone respectifs pour nous contacter discrètement par sms si l’un d’entre nous était en manque de sexe.
Un matin, vers 11 h, mon amant m’envoie un sms pour me dire qu’il a besoin de se vider les couilles au plus vite. J’annule mon déjeuner et lui réponds que je serai chez lui vers 12h30. Ma chatte se met à chauffer toute seule à l’idée de ce qu’elle va encore prendre…
Quelques minutes, je reçois un sms m’indiquant qu’il me recevra dans une de ses boutiques dans le quartier de Saint-Germain des prés. Il me donne l’adresse et m’indique que je devrais le soulager dans un magasin de chaussures pour femmes. La situation m’excite au plus haut point et j’ai du mal à rester tranquille sur ma chaise. À 12h, je pars comme une fusée pour arriver le plus tôt possible et m’occuper de cette bonne queue noueuse et velue.
Je passe une fois devant la boutique : il y est seul. Je reviens sur mes pas et entre. Il lève la tête et un petit sourire ironique éclaire son visage : sa salope vient d’arriver. Il me fait signe de le rejoindre derrière le comptoir. Je fais semblant de m’intéresser à un catalogue et je sens sa grande main virile me peloter les fesses. Je lui palpe la queue à travers le pantalon et je le sens durcir. Je commence à mouiller de la chatte, mais je me vois mal commencer notre baise, maintenant, à la vue des passants dans la rue.
Il me montre alors derrière le comptoir un escalier en colimaçon qui descend vers une cave probablement. Je commence à descendre les marches, mais il m’arrête : je me retourne et me rends compte que ma bouche est maintenant à la hauteur de sa braguette. Je suis caché du regard des passants et juste devant mon biberon préféré : j’ouvre son pantalon et vais chercher sa grosse sucette. Je m’applique et avale d’un trait sa queue, je le suce à grands coups de tête, je sais qu’il aime cela. Il tend son bassin vers moi : s’il pouvait rentrer sa bite et ses couilles dans ma bouche, il le ferait.
Au bout que quelques minutes de suce frénétique, il me retire son bâton. Je lève les yeux, interrogatif : « il est 12h30 et je vais fermer le magasin pour m’occuper de ta chatte, descend dans la réserve et prépare-toi pendant que je baisse le rideau ».
Bien excité, je me dépêche de descendre et de me mettre en tenue : je jette mes vêtements à la volée et rajuste mon string ficelle dans ma raie. Je lisse mes bas et refixe bien les attaches du porte-jarretelles. Je finis de me préparer en sniffant une bonne dose de poppers.
Il descend, s’approche et me met une claque magistrale sur le cul : il sait qu’il doit me chauffer le cul avec des fessées pour que je m’ouvre bien pour sa queue très large. Mes fesses sont rouges. Il se colle derrière moi, la bite tendue vers ma raie. Il positionne son gland sur ma rondelle et ses mains viennent attraper mes tétons. Il les tord brutalement : je pousse un cri mêlé de douleur et de surprise, il en profite pour me mettre sa queue au fond de la chatte d’un seul coup. Je suis embroché jusqu’à la garde. J’ai le souffle coupé. Il s’arrête et m’intime l’ordre de reprendre du poppers. Je me gaze à fond.
Il me dit qu’il va me baiser comme une truie, je vais bien lui tirer le jus de ses couilles de taureau avec mon conduit de salope, qu’il va me crémer mon vagin de mâle et m’engrosser de son bon jus de libanais.
Je jouis sans limites sous ses insultes et ses coups de boutoirs. Ma queue lâche son jus trop vite et mon cul se resserre à cause de mon éjaculation. Ça le rend fou et il accélère : ce mec est un véritable boxeur, mais c’est avec sa bite qu’il boxe et son punchingball est ma chatte. Chacun de ses coups de bite me fait avancer de quelques centimètres dans la réserve et je suis bientôt coincé contre les cartons de marchandises, la tête dans un colis d’escarpins. C’est fini, il jouit en hurlant et je sens sa queue se gonfler et se vider dans mon cul détruit.
Il sort enfin de mon cul : il est pressé et doit remonter rouvrir le magasin. J’ai chaud et suis en nage, je prends le temps de me rafraîchir et de me revêtir. Quand je remonte, il me remercie et me doigte le cul au travers du pantalon. C’est alors qu’il m’offre une paire d’escarpins vernis noirs avec des talons de 10cm pour me remercier de bien le vider.
Je le remercie en palpant ses couilles et repars pressé de pouvoir essayer mes premiers talons aiguilles. Je les porte à chaque fois que je me fais baiser depuis.
Femelle à baiser en lingerie
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