J’étais en chaleur et je trainais sur un site de rencontres internet pour bisexuels. Il faisait gris dehors et je n’avais qu’une envie, rester au chaud et être fourrée à la queue.
Ce matin de novembre, j’ai envie de bite et rien à l’horizon, pas un seul de mes baiseurs habituels n’est disponible pour me limer la chatte. Pour tuer le temps, j’ouvre le colis qui contient mes derniers achats sur internet : un ensemble rouge vif en dentelle, des culottes, des bas, un porte-jarretelle.
Après une bonne douche et un coup de rasoir sur ma chatte, j’essaie mes nouveaux atours et satisfait de leur effet sur mon corps, je décide de les garder sur moi. J’enfile un jean et quelques vêtements pour descendre faire des courses. Un dernier coup d’œil au site de rencontres : pas de messages.
De retour, une heure après, je vois l’écran qui clignote : j’ouvre les messages et, après du tri très sélectif, je ne garde que le message d’un rebeu de 43 ans, assez directif dans ses échanges. Il est marié, taille moyenne, bonne pine qui fourre gueule et cul, il a une tète virile bien que quelconque et cherche une putain pour le satisfaire en journée. Il veut me baiser comme il ne peut le faire avec sa femme et ses propos crus & vulgaires m’excitent au plus haut point. Nous échangeons quelques photos et lui demande de préciser ce qu’il entend par putain. Il s’agit bien du sens premier du terme : il veut louer ma chatte à des mecs mariés qui cherchent à se vider les couilles.
Sa proposition me fait mouiller de la chatte anale, c’est un de mes fantasmes inavoués. Nous nous mettons d’accord sur le fait qu’il va d’abord venir me baiser et que si ça marche, il rabattra des mâles pour mes trous. Il me promet d’être là dans une heure, le temps pour moi de compléter ma lingerie avec une nuisette et des escarpins rouges à paillette de pute. Je me lave profondément la chatte et commence à me doigter la rondelle en attendant son arrivée. A l’heure dite, il sonne à ma porte et je me dépêche de lui ouvrir : il entre et me tort immédiatement un téton à travers la nuisette. Sous la douleur, je plie les genoux et me trouve par terre en face de la bosse qui déforme son jean.
Il met sa main derrière ma nuque et en me tenant par les cheveux, il vient coller ma tête sur son paquet. Je commence à le manger à travers le tissu. Il m’écarte en tirant mes cheveux en arrière, le temps d’ouvrir sa braguette, de sortir sa queue et de me la caler en bouche. Je fais mon travail de salope et commence à le pomper rapidement en fond de gorge. Il me donne un coup de pied dans les couilles en me disant :
- Tu suces doucement pour me faire bander, salope ! tu vas faire exactement ce que je te demande, pour moi et pour mes clients qui viendront ensuite.
Je le lèche doucement, sa queue prend du volume dans ma bouche, elle durcit et s’allonge jusqu’à atteindre un honorable 21cm. Au bout de 15mn, il me relève et me dit :
- Montre-moi ta chatte, en levrette
Je m’installe sur le canapé et tends mon cul. Pendant que je sniffe du poppers, pensant être fourré direct, je sens une langue parcourir ma raie. Il me broute la chatte avec talents, mordillant mes petites lèvres boursouflées de désir. Il darde la pointe de sa langue dans mon trou pour défroisser les plis de ma rondelle et assouplir mon anneau rectal. Sa langue va loin dans ma chatte et je l’aide en écartant mes fesses à pleines mains. Au bout d’un temps certain, ma chatte ruisselle d’excitation. Lorsque sa bouche quitte ma raie, je sens un vent frais sur ma rondelle qui me fait frissonner mais rapidement son gland vient prendre position dans ma raie et se frayer un chemin entre mes lèvres anales. Il m’a tellement bien bouffé le cul que ses 21 cm entrent sans difficultés dans mon cul. Je me dilate au maximum pour lui faciliter la tâche et la demi-heure qui suit est une enculade ininterrompue avec sa queue infatigable dans mon trou. A mi temps, il me fait pivoter sans retirer sa bite de ma chatte, prends mes jambes gainées de rouge et les pose sur ses épaules. Il recommence à me bourriner en caressant mes jambes soyeuses et en me triturant les tétons.
Avec un tel traitement, je ne résiste pas longtemps à la jouissance : je me mets à crier, allant dans les aigus comme une femelle, jusqu’au moment où ma jouissance me fait serrer ma chatte et provoque son éjaculation. Il reste sans bouger dans mon cul pour laisser sa queue se vider. Il recommence seulement à me limer pour me tasser son bon jus d’arabe dans ma chatte de femelle offerte.
Il sort de mon cul, s’abandonne sur mon canapé et immédiatement se saisit de son téléphone :
- Je dois publier les photos de toi, ma petite pute, travaillant sur ma bite avec ta bouche et ton cul si je veux attirer des clients
Je me rends alors compte qu’il a pris des photos de moi sans que je m’en rende compte et qu’il compte me mettre au tapin dans la foulée de notre baise, le tout sans me demander mon avis.
J’émets une faible protestation, qui me vaut une claque :
- Ta gueule, tu le savais que j’allais te baiser et ensuite me faire du fric avec ta chatte, c’est bien ce qu’on s’est dit, non ?
- … (je reste sans voix)
- En attendant que je te trouve ton premier client, suce moi pour me nettoyer la queue du parfum de ton cul et fais-moi rebander
Ce mec me fascine et j’obéis. Je le suce sans oser m’interrompre ou me relever jusqu’à ce que je l’entende me dire :
- Ça y est, j’ai ton premier client, il veut bien donner 60€ pour ta chatte
- …
- Il a 60 ans et sa femme ne veut plus baiser, il cherche un trou dans lequel cracher
Ses propos m’excitent, j’ai envie de me livrer à pleins de mecs, leur servir de vide-couilles sous la protection de mon tout nouveau mac.
- Va te laver le cul, il arrive dans 15mn, moi je vais chercher le suivant
Après une rapide toilette, je reprends place en levrette sur le canapé, et peu de temps après, j’entends la sonnette de la porte. Je n’arrive pas à réaliser que je fais la pute et que c’est mon premier client qui vient d’arriver.
Je l’entends discuter avec mon mac rebeu et lui donner l’argent. La suite est sans image, je n’ai pas le droit de le regarder, je l’entends ouvrir sa braguette. Il pose tout de suite sa queue sur mon trou et s’enfonce. Heureusement que je suis bien ouverte de la baise précédente. Il me lime sans imagination et rapidement viens ajouter son jus à celui de mon mac. En 5mn, il s’est vidé et repars, laissant la place au suivant. Je ne connais ni son âge, ni son physique, il me cale sa bite dans le cul, sans se préoccuper de moi. Il en sera ainsi de la dizaine de mecs qui ont défilé chez moi ce jour là. ils me baisent tous à la chaîne et je jouis deux fois sans me toucher sous leurs coups de boutoirs. J’ai l’impression que cela ne s’arrêtera jamais jusqu’à ce que mon mac trouve que j’avais gagné assez d’argent pour la journée. Il raccompagne mon dernier client et vient agiter la liasse de billet sous mon nez :
-850 euros pour une première, tu es une bonne pute, tu vas souvent me voir ma chérie. D’ailleurs, on se revoie dans deux jours, je t’emmène faire un tour dans un foyer de travailleurs immigrés où tu vas faire merveille.
Il part en me laissant étalée sur le canapé, sans force après tant de bites.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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