Un soir très tard, je traîne sur le réseau pour trouver un mâle qui me remplira la chatte. Je cherche un mec viril, macho et bon baiseur qui me fourre la chatte et m’engrosse comme une femelle en plan ultra-direct. Après ½ h à trier et zapper les mecs inintéressants et les mythos, je continue à discuter avec un rebeu de 38 ans, petit, sec et râblé, le cheveu et l’œil noir, la peau brune, le rebeu dans toute sa splendeur. Il cherche un cul à remplir, sans blabla ni préliminaire. Il est un peu loin, mais sa dégaine un peu wesh et sa queue circoncise me décident à bouger. Le temps de rajuster ma tenue de salope (culotte fendue, bas, porte-jarretelles, corset), de me graisser la chatte, car je n’aurai pas de préliminaire et de mettre un jean et un pull sur ma tenue de salope, je descends prendre ma voiture. En route, je lui envoie des pics de ma chatte pour le chauffer.
Arrivé sur place, je trouve une place juste devant la porte de l’immeuble et je l’appelle : il veut me sauter dans le hall de son immeuble.
Il me donne le code et m’ordonne de virer mes fringues, de ne garder que ma lingerie, de me mettre à quatre pattes face à la porte d’entrée, le cul tourné vers l’escalier de l’immeuble et de bien me gazer au poppers. Quand je suis en position, je dois lui envoyer un sms et il descendra me baiser. En attendant qu’il descende, je flippe un peu : il est 2 h du matin, mais si un voisin entre ou si la concierge se montre curieuse, je vais avoir la honte de ma vie au minimum.
Je l’entends descendre l’escalier, arriver derrière moi et siffler en tâtant mon cul. Je devine qu’il baisse son fut et juste après son gland appuie sur ma rosette : il est déjà dur et, en me prenant par les hanches, il me perfore la chatte d’un seul coup. Je bondis en avant sous la douleur et plonge la tête la première dans le paillasson du hall d’immeuble. Ma position me bloque et lui permets de commencer à me limer sans pitié. Sa queue me brûle le conduit anal, mes genoux rappent le paillasson, je morfle sous ses coups de bite.
Je lui demande de s’arrêter un instant pour reprendre du poppers : ma chatte se détend sous l’effet de la potion magique. Il recommence à me démonter et là je commence à prendre mon pied : ma chatte mouille et je recule mon cul pour aller chercher sa bite avec mes fesses. Il sort de ma chatte et rentre dans de longues et profondes enculades. Je couine de plaisir et me prends une claque derrière la tête : « ta gueule connasse, tu vas réveiller tout l’immeuble ».
Je me mets à jouir sous ses coups de bite : ma bite crache toute seule sans me toucher et je tapisse le paillasson de mon jus. Mon cul se contracte sous l’effet de ma jouissance et provoque son éjaculation :
« Oh putain salope, tu me tires le jus avec ton trou, tiens prend ça, je vais t’engrosser femelle, je vais te faire un petit rebeu dans le vagin, serre encore tes fesses et essore moi bien la queue avec ton trou béant. »
Il se dégage de mon cul et me dit de me tirer dès qu’il sera remonté chez lui.
Je repars tant bien que mal sans me rhabiller et retourne à ma voiture : je m’assieds et reprends mon souffle, je suis complètement sonné par cette baise bestiale. Je sens le jus du mec couler de mon cul et maculer le siège de la voiture. Je pue le sperme à 100 m, il est temps de rentrer.
Femelle à baiser en lingerie
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