1 | Le stand
Invité à un congrès professionnel, je décide d’arriver tôt pour ne pas louper les premières conférences et je rejoins le lieu en voiture. Le parc des expositions où se trouve la manifestation est en pleine banlieue avec différents halls d’expositions et des parkings partout.
Arrivant tôt, je vais me mettre au parking souterrain le plus proche de l’entrée. Comme c’est une journée professionnelle, je suis évidemment en costume, mais je n’ai pu résister à l’envie de mettre ma lingerie de femelle sous mes vêtements : sur mon corps, sous mon pantalon, glissent la soie et la dentelle. Je porte mon tanga noir, mes bas, mon porte-jarretelles ; sous ma chemise bleue, une nuisette en soie sauvage à bretelles de couleur chair. À chaque pas, je sens ces attributs de femelle frôler ma peau et m’exciter.
Je me dépêche d’aller écouter la première conférence. Ma journée se déroule entre visite de stands et conférences. Vers 16 h, je m’arrête sur un stand qui propose des prestations qui m’intéressent. Je me plonge dans les dépliants et rapidement un employé de l’exposant vient me parler. C’est un jeune mec d’environ trente ans, brun, yeux verts, athlétiques sous son costume noir ajusté. Pour finir, une chemise blanche près du corps et généreusement ouverte sur un torse où je devine un tatouage tribal. Il me semble qu’il se rase le torse. Ce latino bien sexe me parle boulot. J’essaie tant bien que mal de me concentrer sur son discours, mais mes yeux louchent sur la bosse bien garnie de son pantalon moulant. À première vue, il doit être bien doté, mais je me raisonne : il a l’air hétéro et je suis dans un contexte professionnel. Il continue à dérouler son argumentaire commercial, mais je n’arrive pas à me concentrer sur ses propos et le mate effrontément. Il me tend un fascicule que je fais tomber sans le vouloir. Je me penche alors pour le ramasser et je sens ma veste glisser et ma chemise sortir de mon pantalon : je ne vois pas son visage, mais il doit forcément voir ma nuisette et mon porte-jarretelles au minimum.
Je me relève précipitamment en tirant sur ma chemise et là, il me regarde ironiquement :
« - je comprends mieux pourquoi tu avais les yeux scotchés sur mon entrecuisse, en fait, tu es une petite femelle qui vient se faire sauter sur le salon. En plus, tu as l’air d’avoir une bonne bouche de suceuse. Regarde mon pantalon est encore plus serré qu’avant. »
J’essaie de démentir, de dire qu’il s’agit d’un malentendu, mais il continue :
« - j’ai encore quelques dépliants dans la réserve derrière le stand, viens avec moi, je vais t’en donner…
– Je vous attends ici, tentai-je pour ne pas le suivre
– Non, tu viens, tu pourras choisir ce dont tu as besoin », dit-il avec un sourire qui m’indique qu’il ne parle pas de dépliants publicitaires
Je le suis dans le placard derrière le stand et il referme la porte derrière moi. Il me colle une main au cul immédiatement en m’intimant de tomber mon pantalon. Il souhaite voir ma tenue de salope. Lorsqu’il voit mon tanga, mes bas et mon porte-jarretelles, il siffle et vient effleurer ma raie du bout des doigts. Je me cambre immédiatement : il suffit de me toucher la chatte pour que je m’offre.
« - salope, tu cherches de la bite, tiens, sens ce que tu vas avoir bientôt dans le cul »
Il vient coller son bassin contre mes fesses et je sens son barreau bien dur s’emboiter dans ma raie.
« - retire ta chemise, j’ai cru apercevoir une jolie petite nuisette. »
Je m’exécute et il en profite pour descendre mon tanga et ouvrir son pantalon.
« – Je n’ai pas beaucoup de temps, mais ce serait dommage de laisser passer une salope comme toi, penche-toi et écarte tes fesses. “
Il me crache sur la raie et saisit sa queue pour l’appuyer sur ma chatte, je n’ai pas vu sa bite, mais son gland me semble imposant. Je lui demande juste une minute pour prendre du poppers pour m’ouvrir. Je suis en train de finir mon deuxième sniff de poppers qu’il commence déjà à me perforer la chatte. Il est gros et il n’est pas tendre, je vais morfler si je ne reprends pas du poppers.
Je me gaze sans discontinuer pendant qu’il me déboite la chatte. Ses mains passent sous mes bras et vont chercher mes tétons qu’il martyrise en rythme avec ses coups de boutoirs.
Sous l’effet de la douleur dans mes tétons, je contracte mon cul sur sa queue :
‘- Ah salope, tu cherches à me tirer le jus avec ta chatte serrée ? me chuchote-t-il à l’oreille
– hum, oui, engrosse-moi comme la femelle que je suis
– Pas encore, sale chienne, j’ai envie de profiter de ton cul.’
Il accélère en mode marteau-pilon, puis ralentit pour me faire sentir toute la puissance de sa queue qui me visite. Il me baise sur tous les modes pendant 15 minutes avant de me souffler à l’oreille :
‘- ça y est, tu vas l’avoir ta dose, mais je vais me finir en te détruisant la chatte’.
J’ai compris le message : je me regaze au poppers avant qu’il ne repasse en mode marteau pilon.
Il se déchaîne dans ma chatte : toujours plus vite, toujours plus fort avec son mandrin dur comme de l’acier. Il recommence à me faire les seins et, là, je ne peux plus me contenir, je me mets à couiner de plus en plus fort.
Il me met une main sur la bouche pour me bâillonner et vient loger sa queue au fond de mon cul : je la sens grossir et se gorger de bon jus de mâle. Ses jets me tapissent la chatte : je sens sa chaleur de mâle m’envahir, je suis sa pute, sa femelle bien fécondée et je jouis sans me toucher sur la paroi devant moi.
Il se déboite de moi en respirant bruyamment et commence à se rhabiller.
‘- Putain ton cul est meilleur que la chatte de ma copine, je garde ta carte de visite, tu auras de mes nouvelles quand j’aurai les couilles pleines. Je dois y retourner, je te laisse reprendre tes esprits et tu sors discrètement ? OK ?
- Bien sûr, je fais gaffe et merci pour la dose’ lui dis-je en lui malaxant les couilles au travers du pantalon”
Quelques minutes plus tard, je sors le plus discrètement possible et quitte le stand : mon baiseur me fait un clin d’œil. Direction les toilettes pour me rafraîchir un peu après une telle chevauchée.
Femelle à baiser en lingerie
salopeabaiser@live.fr
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