Premier épisode | Épisode précédent
Cyrillo :
Donc j’ai commencé ma journée avec Pasteur Romain et je la finis avec une trainée de fourgonnette...
Et ce diner... J’ai halluciné...
En bout de table, j’avais tout loisir d’observer la diversité des genres, et comment ceux-là communiquent ensemble.
En face, mon cher Oncle Sainte-Rita des causes perdues, emmitouflé dans un peignoir de cachemire, le verre Saint-Louis virevoltant à chaque grossièreté exclamées par les deux boulets déménageurs.
Et des grossièretés, ils ne savent dire que cela.
Autant c’est marrant dans un gangbang, autant à 21h00 dans un diner en ville, et qui plus est, après une journée à déménager, là, c’est un peu too much pour moi.
Et puis je les hais. J’ai des flashs imaginaires de ce qu’il s’est surement passé à l’arrière du camion, juste avant que Romain en dégringole, tout ruisselant et débraillé.
Je hais Romain. Je me hais d’aimer Romain.
Ce n’est pas qu’il ne sache pas se tenir à table, mais là, il a besoin de poser ses coudes sur la table comme si la fourchette pesait 3 kilos par dent.
Il a la tête penchée au-dessus de l’assiette pleine de bourguignon fumant… il a des moments d’immobilité la bouche ouverte... je me demande s’il ne va pas vomir dans le bourguignon en fait ? Ou alors… il se fait un sauna facial pour décoller tout le foutre de Fred incrusté dans ses pores.
Ah nan… Il somnole.
Raoul, la bouche pleine de viande gélatineuse, raconte comment il s’y prend pour fister un cul jusqu’au coude. Tonton est fasciné, ses yeux brillent comme deux gros clous vulgaires de chez Swarovski.
Surenchère d’écœurement, Fred te lance qu’il pourrait te faire ça la prochaine fois si ça te dis !
Dans un sursaut de réveil, sans avoir entendu la question - je l’espère tellement - tu réponds "ouais".
Forcément je n’ai plus faim et c’est surement moi qui vais dégobiller dans la porcelaine de Limoges si ça continue.
J’ai toujours ces maudits flash imaginaires, je ne sais pas si je suis excité ou dégoûté.
C’est clair qu’il y a plusieurs voix en moi qui gueulent à l’unisson des choses contradictoires.
J’ai envie de me lever et synthétiser ces voix par un rageur :
"Allez tous vous faire enculer !"
... et de quitter l’appartement.
Je m’abstiens de ce conseil auquel vous auriez certainement tous répondu en cœur "encore" ou "t'as des adresses ?"
Alors je déclare sans effet de genre que je rentre chez moi.
Tu me suis, j’ai un walking-dead sur les talons.
Tu tombes dans le lit tout fringué. Je t’enlève les vêtements qui puent ton crime, mon gros tapin.
J’ai envie de te recouvrir complètement du drap comme dans une morgue et pourtant...
Mon corps est plus fort que moi, et je te caresse, t’embrasse sur la joue. Tu es si beau.
Ça fait un moment que je suis réveillé, j’ai une putain de gaule, l’histoire de la fourgonnette a dû me faire mouiller toute la nuit.
J’ai comme envie de profiter de ton joli cul découvert pour m’y loger, mais ton ange gardien à du intervenir pour protéger tes entrailles, car tu le recouvres, ce beau fessier musclé.
C’est là que surgisse Raoul et Fred qui chante "on n’est pas fatigué", quand l’autre sautille en disant qu’il a faim à bouffer d'la chatte !
Je me lève, la poutre en l’air et d’une rigidité qui ne permet même pas un balancement vertical ou latéral.
Les deux molosses font les fillettes en première chaleur hormonale et me courent après en piallant.
Je conduis, ou ma bite plutôt, conduit tout de monde à la cuisine, quand toi tu restes au lit et tortille comme un chat au soleil.
J'ai vraiment envie de t'enculer.
Les brutes se bagarrent pour attraper la queue maousse-costaude du Mickey, quand moi je tente de remplir le réservoir de la Nespresso.
Je finis par tout poser, me caler le cul contre le plan de travail en leur disant :
- Videz-moi ça !
Illico les frères Pierre-à-Feu se jettent à genoux et se partagent le big gourdin du matin.
Dans une danse bien chorégraphiée, ils passent chacun leur tour de mes couilles à ma bite sans se heurter.
Tout ce matos 3 pièces disparait bien au chaud de leur bouche.
J’ai quand même besoin d’en tirer un par les cheveux pour qu’il se recule et ravale ma bite, du gland jusqu'aux couilles, au fond, dans la gorge.
- Vas-y gueule, je m’en fous ! ou passe à ton voisin.
Raoul lève la tête et propose : Poppers ?
Je soupire et dis : Non pas à 9h... mais ferme ta gueule... et pompe, on n'va pas y passer la journée !
Une petite baffe et il se remet au boulot le suce-boule.
C’est bon, mais j’ai vraiment envie de cracher & maintenant !
Je leur retire le gourdin de la bouche et me paluche sévèrement.
- Ouvrez vos gueules et tirez-moi vos putains de langue ! Voilà comme ça… gros bâtards... J’vais grave vous doser…
Ce que je fais.
Il y en a assez pour tout le monde, trois giclées épaisses chacun, au fond de vos bouches, une petite dernière sur la langue de Fred. Pour finir, J’essuie la dernière goutte de foutre sur le pif de Raoul.
Ils se mélangent cette grosse omelette de blanc d’couilles en se roulant un patin, se lèchent la gueule pendant que je reprends la préparation du p’tit-déj.
Je me vois tellement leur poser une gamelle en inox pleine de croquettes par terre...
Bon prince, je les installe sur le balcon avec des œufs au bacon, des œufs aux cochons, pour ne pas trop les perturber, et retourne dans la chambre me coucher auprès de toi.
- Ça va mieux ?
- C’est à toi qu’il faut demander ça !
- J'parle de tes couilles, dis-tu d’un ton sec !
- J’aurais adoré te réserver cela, mais il semble que ton voyage en Traffic t’ait bien fatigué. Un point partout Romain, encaisse !
- Et donc ? On va matcher longtemps comme ça Cyril ?
- Nan...
Tu te lèves, je sens bien que je t’agace avec mon Nan.
Avant de quitter la chambre, tu me demandes : "il se passe quoi avec les deux teubés ? Tu les gardes en confinement entre nous ?"
Ce à quoi je réponds :
- Moi non… mais en revanche... Sainte-Rita a surement envie de le passer avec un bras dans le cul !
Tu râles contre mon humour de merde, et pars à la salle de bain.
Je vais prendre un deuxième café sur le balcon, les teubés, comme tu dis, sifflent des mecs dans la rue, leur faisant signe de monter.
Je regarde les autres fenêtres de l’immeuble, il y a du monde... la honte...
- Bon les mecs ça suffit là !
- Rhoooo t’es pas drôle !
- Vous faites quoi now ?
- Hein ??
- Vous bougez où ? Vous rentrez chez vous ? Faut vous décider avant midi !
J’ai deux regards bovins en retour...
- Donc ?
Là ils parlent entre eux, débattent. Une chose est sûre, ils ne veulent pas se séparer, mais ils ont chacun un studio de merde, comme ils disent. Ils ne savent lequel choisir.
Je les vois déjà faire des claquettes avec leurs gros sabots, alors j’annonce tout de suite qu’ici… ça ne va pas être possible.
Ils font le tour de leur carnet d’adresses, à savoir toutes les Lopes de Panam, que je connais aussi toutes… il me faut bien l’avouer...
Comme un cygne, dans son homewear de luxe blanc, et semblant glisser sur la noble pierre grise du balcon, Alexandre chante que c’est grand chez lui...
Bon prince, mais tellement dépité, je fais un geste impérial pour diriger les regards vers Alexandre, et ordonne aux teubés de filer chez le parrain des SDF.
Comme moi, il y a quelques mois... ces points communs en cascade ne font que m’énerver davantage.
Retour à la salle de bain avec deux nouveaux cafés, et je te découvre au milieu d’un nuage de mousse.
Ta belle gueule, auréolée de se beau cumulus blanc, me fait fondre, et c’est littéralement que je vais me fondre dedans, avec toi.
C’est fulgurant, j’ai envie de ta bouche, de te vider de ta salive, de te sucer entier, que tu coules en moi.
On en a bien des saloperies à se jeter à la gueule et à travers le cœur, mais pour l’heure, nous ne sommes plus qu’un dans ce bain.
C’est de la passion qui nous remue et c’est à celui qui ouvrira la bouche la plus grande pour avaler l’autre. On s’agite comme des singes excités et la flotte, la mousse dégoulinent de partout. C’est moins d’eau et nos bites émergent des vagues.
Nous en rions et nous nous battons pour être le premier à s’emparer de la bite de l’autre pour la mettre en bouche.
Je me retrouve tête coincée entre tes cuisses, en apnée, et tu dévores mes fesses.
Je sens d’abord tes dents, puis la douceur chaude de ta langue.
Avant d’être noyé, tu me redresses et me reprends en bouche-à-bouche.
Pas besoin de massage cardiaque, mon cœur bat si fort que je l’entends et le sens dans les tempes.
On lutte encore dans l’eau qu’il reste, on se chahute pour s’empaler sur la queue de l’autre... Moi d’abord !
Ça glisse trop, on se cogne les articulations, la flotte gicle encore, mais on ne glisse pas l’un dans l’autre... on veut tous les deux se remplir de l’autre.
Il y a quand même un moment ou l’on voit l’ampleur des dégâts, de la mousse se balade sur le parquet du couloir, comme une île flottante.
Alors on saute hors de la baignoire avec des piles de serviettes-éponges pour absorber, écoper le navire !
Mais ça ne manque pas... Ça sonne à la porte !
Romain :
Mais c’est pas vrai ça !!! V’là que j’entends des couinements porcins provenant de la cuisine ! Deux choses l’une : soit les deux loubards raffolent à outrance des Corn Flakes Kellogg's, soit ils sont en train de bouffer la grosse bite de Cyrillo. J’opterais plutôt pour la seconde formule… !
C’est quoi ces manières ? Le foutre de MON mec me revient de droit !!!
Faut reconnaître que je n’ai pas été bien sage hier dans le Trafic. OK c’est vrai… mais j’avais quand même des excuses, quoi ! Cyrillo, il n’arrête pas de vouloir faire le chef. Et il faut faire comme ceci et il faut faire comme cela et patati et patata… moi, au bout d’un moment ça me gonfle !
C’est un dirigiste ce mec. Depuis que je le connais, je jouis à la commande… c’est-à-dire quand Monsieur l’ordonne !
Mais voilà pas que j'entends Cyrillo gueuler :
- Ouvrez vos gueules et tirez-moi vos putains de langue ! Voilà comme ça… gros bâtards... J’vais grave vous doser…
Un silence s’ensuit, juste ponctué de claquements de langue et de grognements de phacochères. Fred et Raoul ont fait leur plein de protéines pour la journée. Je suis écœuré.
Précédé par une bonne odeur de café, tu rentres dans la chambre, l’air innocent, en ignorant les mitraillettes que j’ai dans les yeux. T’as même pas eu l’idée de m’apporter une tasse de café. Enfoiré. Nous échangeons évidemment quelques mots acides. Bon OK, c’est la réponse du berger à la bergère et je préfère fermer ma gueule mais j’ose quand même te questionner :
- On va matcher encore longtemps comme ça, Cyril ?
Sans te retourner, tu réponds « nan ! » Certainement pour me punir encore davantage. Tu sais combien tu m’agaces avec tes « nan » !?!
Tandis que tu enfiles un futal, je regarde jouer les muscles de ton dos. J’aimerais embrasser ta nuque inclinée et poser mes mains sur tes flancs.
Pourquoi sommes-nous toujours en guéguerre ? Ne serait-il pas plus simple que nous nous aimions bêtement comme tout le monde ?
Nous sommes deux orgueilleux dominateurs. Nous sommes presque aussi incompatibles que l’huile et l’eau. Bien sûr, en agitant fort, on obtient une émulsion mais très vite les deux éléments reprennent leur place en se dissociant. Comme si tu m’entendais penser, tu me lances un regard par-dessus ton épaule. Le regard d’un homme qui regarde un autre homme sans autre formalité que l’acceptation. Acceptation de l’existence humaine de l’autre et l’une des plus belles choses qui soient. Surpris par ce regard, je te souris stupidement.
Incorrigible, il faut que tu casses ce moment magique en persiflant que Tonton Alexandre fantasme grave sur le fistage depuis hier soir et qu’il est fort possible qu’il héberge Fred et Raoul pendant la période de confinement. Cyril, mon grand, arrête de me mettre dans ton triangle dramatique dès qu’il s’agit d’Alexandre. Tu me mets mal à l’aise et tu le sais bien. Je me lève pour aller prendre ma douche. J’ai besoin de me « laver » le corps et l’esprit. Mais peut-être prendrai-je plutôt un bain, ta salle de bain est si accueillante.
Je n’y ai pas été de main morte avec les sels de bains et je suis maintenant enseveli sous une montagne de mousse odorante. Que je suis bien dans cette eau tiède qui dénoue mes muscles. Je ronronne d’aise et quand j’ouvre les yeux tu es debout au-dessus de moi une tasse à café dans chaque main. Ah, quand même, tu as pensé à moi !
Je savoure l’arabica avec de gros soupirs. Pas le temps d’avaler la dernière gorgée que tu es déjà avec moi dans la baignoire. Finie la relaxation. J’aurais préféré un ring pour régler nos petits comptes, mais puisque nous sommes dans une baignoire, faisons avec. Je suis persuadé qu’il y a autant d’amour et de colère dans mes yeux que dans les tiens. Le désir nous emporte. Tu veux me dévorer, je veux te bouffer. Nos baisers sont féroces mais nos étreintes sont glissantes. C’est quasi de la lutte à l’huile. À ce jeu, je suis le plus fort. Je te coince la tête entre mes cuisses pour te dévorer le cul pendant que je te noie. Je prends mon temps pour t’enfoncer la langue dans ta rosette qui palpite de détresse. Vu ton coffre tu dois avoir du souffle ? Tu dois être capable de tenir encore quelques minutes de plus, la tête sous l’eau ? Je me régale. Nos queues sont en fer.
Si tu peux enfin respirer, c’est qu’il n’y a plus d’eau dans la baignoire. Nos ébats nautiques ont inondé le sol de la salle de bain et maintenant l’eau déferle dans le couloir. Merde !!! Le voisin du dessous ne va pas tarder à rappliquer avec son fusil de chasse !!!
Titubants comme sur une patinoire, nous nous emparons de toutes les piles de serviettes de bain pour éponger le désastre. Mais à ce stade, il faudrait une pompe ! « Ding-dong » fait la sonnerie avec beaucoup d’à-propos. C’était vraiment le moment le mieux choisi pour nous rendre visite…
- Va ouvrir s’il te plaît, Romain ! Moi, je vais chercher des balais dans la cuisine ! Me demandes-tu en t’éloignant dans une glissade.
Je me ceinture les reins d’une serviette détrempée et je trottine vers la porte d’entrée. Sur le palier, je découvre Bobby, le mignon de Cyrillo. Ou plutôt devrais-je dire l’un des multiples minous de Cyrillo. Svelte et perché sur de longues jambes, il porte un énorme sac à dos. Il est beau gosse le Bobby avec ses grands yeux bleus et sa grosse touffe de cheveux en bataille. Il ne doit pas avoir encore 20 ans et il a une peau de bébé.
- Salut Romain, est-ce que je peux voir Cyrillo, s’il te plaît… bafouille-t-il
L’esprit humain est méandreux et se permet de faire des corrélations qui échappent à toute logique. Tiens ! Me dis-je. Voici exactement le genre de spécimen qu’il faudrait à Fred pour qu’il exerce ses talents de fisteur…
- Ah, tu tombes bien toi ! Prends-moi ce balai et nettoie-moi tout ce bordel ! Ordonne Cyrillo qui vient de surgir derrière moi.
Tu as vraiment l’âme d’un chef, Cyril ! Une fois encore, j’admire ton pragmatisme et ton esprit de décision. Tu saisis Bobby par le bras pour le projeter dans le couloir et lui désigner le lac qui clapote sur le parquet. Des îlots de mousse se promènent de-ci de-là.
Belle machine de servilité, le jeune homme, vif comme l’éclair, laisse tomber son sac à dos, se déchausse et se fout torse nu pour se mettre au travail. Il a de la technique et essore efficacement les serviettes au-dessus d’un seau qu’il vide ensuite dans la baignoire. Bien que très mince, il est bien gaulé le Bobby. Sous sa peau fine, sinuent des muscles longs et bien dessinés. Son torse est parsemé d’hématomes qui prouvent qu’il se fait cogner très fort. Campé au-dessus de lui, les mains sur les hanches, tu relèves un sourcil interrogateur :
- Qu’est-ce que tu viens foutre ici, Bobby ? Interroge-tu d’une voix feulante.
- Mon paternel m’a encore foutu une torgnole cette nuit. Si je reste avec lui, il va finir par me tuer. Je ne sais pas où aller, Maître. J’ai pas un rond et avec le confinement, je pourrais même pas tapiner pour pouvoir bouffer. Je suis dans la mouise, grave. Bredouille le jeune visiteur sans interrompre son travail d’épongeur.
- Bon, on verra ça après. Pour le moment, nettoie-moi ça correctement. Je veux que ça brille ! Ordonnes-tu impérialement.
Débarrassés de cette rude corvée domestique, nous nous dirigeons vers ta chambre pour reprendre notre corps à corps interrompu. Je te balance sur le lit pour t’écraser de tout mon poids. Je prends ta bouche pour te rouler une pelle cannibale. Je te retourne comme une crêpe et entreprends de te gifler les fesses à tour de bras. Comme tu relèves ton cul sans protester, j’en profite pour te caler les deux oreillers sous le ventre. Tu es à présent en excellente position pour une profonde pénétration.
Je me glisse en toi avec une lenteur de serpent python. Tu m’acceptes en poussant un long grondement étouffé. De suite, je tombe pile-poil sur le point le plus sensible de tes tripes. No mercy ! Je vais Vous détruire, Votre Majesté ! Cramponnez-Vous et Mordez fort le drap, ça ne fait que commencer…
Quelle jouissance que de pilonner le petit cul d’un grand chef ! Je me régale du spectacle de tes dorsaux qui se nouent et se dénouent sous ta peau à présent luisante de sueur. Je veux te la mener longue et je prends garde de ne pas jouir. Alors j’arrête la cadence par moments pour bien respirer à fond. Je te laisse reprendre espoir pour mieux te défoncer à nouveau. Dans deux minutes, je te le garantis, tu ne sauras plus si tu dois me supplier d’arrêter ou de continuer…
Ce que tu ne sais pas encore, arrogant dominateur Cyrillo, c’est que je peux jouir à la commande. Cela demande un long apprentissage mais cela permet ensuite de prolonger indéfiniment la baise tout en conservant ses forces vives. Ce matin, je peux te dire que tu t’en prends plein le cul pour pas un rond. J’admets que tu tiens bien le coup… Alors je glisse une main sous ta hanche pour saisir ton gourdin et l’astiquer.
Je ne sais pas où tu vas le chercher, mais malgré la grosse dose de foutre que tu as déjà offert à Fred et à Raoul, tu parviens à m’en cracher encore un énorme paquet. Ça doit faire mal de se faire sécher comme ça. Pas vrai, grand chef ?
J’ai même pas le temps de savourer mon triomphe que ce putain carillon remet ça : « Ding-dong !!! »
Cyrillo & Romain