Patrick, exerce une étrange fascination sur moi, je le redoute et je le recherche. Lorsque je crois me libérer de son emprise, il revient brusquement dans mes désirs, mes pulsions. J'aspire à ce qu'il me pervertisse, et je crains toujours le non-retour. Il m'avait appelé pour me demander de passer le voir, sans autre but que de parler et d'échanger un peu. C'est vrai que ça faisait quelques mois que je ne l'avais pas rencontré.
Je ne peux m'empêcher de penser qu'à chaque fois un piège se cache derrière ses invitations où derrière ses propos. Cette fois j'étais plutôt confiant.
Il m'accueillit avec chaleur. Pour Patrick, accueillir avec chaleur c'est, pleine bouche, avec la langue et la main sur le sexe. J'en suis habitué, je ne me formalise plus. A la limite j'aime ça, ces baisers me font bander. Il me fait rentrer dans son salon et là, je sens le piège. Deux mecs, jeunes, la trentaine, ( j'en ai maintenant 69 ) sont sur le canapé. Le premier ne porte qu'un tee shirt, l'autre est en bas et porte jarretelles. C'est la première fois que Patrick me réserve ce genre de surprise. Les hommes en bas et porte jarretelles, ce n'est d'ordinaire pas son truc. Patrick fait les présentations. Je suis toujours dans l'étonnement et ne comprends pas bien ce qu'il me réserve aujourd'hui. Je suis encore debout que Patrick est déjà à poil. Je ne l'ai jamais vu comme çà, il est comme dans un état second, il se jette quasiment sur l'homme en jarretelles l'embrasse, pleine bouche et le branle énergiquement. Je vois que son copain, qui regarde la scène, bande également. Je suis le seul habillé, debout, l'air idiot, ne sachant pas si je dois participer ou décamper. Le jeune en tee shirt (il s'appelle Robert, je le sais maintenant) s'est emparé de la bite de Pat et se l'ai enfournée dans la bouche .J'ai devant mois trois bites superbes de bonnes tailles, bien raides qui ne demandent qu'à cracher leur semence.
C'est alors que je compris les intentions de Patrick. Ils se retournèrent dans ma direction, et tous les trois se jetèrent sur moi. En quelques secondes j'étais dépouillé, allongé sur la table basse, les bites venaient alternativement se poser sur et dans ma bouche. Il fallait sucer, lécher, gober, biberonner, ses superbes dards tendus. Il est évident que je n'étais pas resté insensible et que mon sexe pointait avec ardeur en direction du plafond, cela dans l'indifférence générale car personne ne s'occupait de lui. Point de caresses, point de fellation. Ils ne s'intéressaient qu'à ma bouche dans laquelle leurs bites entraient et sortaient à tour de rôle. Je sentais mon sexe de plus en plus dur, de plus en plus raide. J'avais vraiment envie que l'on s'en occupe. Rien, nada, ils continuaient imperturbables leur petit jeu " entrée -sortie ". J'avais des préférences et je dois reconnaître que l'homme en jarretelles avait une bite merveilleuse, c'était un plaisir de l'avoir en bouche. Je fini par comprendre que le jeu pervers de Patrick était cette fois de me laisser avec mon désir. D'attendre que je hurle que j'implore que l'on me caresse que l'on me suce que l'on me branle !! Ce jeu dura longtemps, je succombais de désir, jamais je n'avais vécu ça, mon sexe me faisait mal tant il était dur, gorgé de sang et de désir.
Je reçu une première éjaculation en bouche, puis ce fut le tour de Patrick d'éjaculer sur mon visage. Robert acheva la ronde par une éjaculation puissante et abondante au travers de mon visage. Sans que personne n'ait touché à mon sexe, j'éjaculais moi aussi, pendant que les trois me léchaient le visage la bouche et absorbaient tout le sperme qu'ils avaient craché. Un peu KO par l'intensité de ce plaisir, j'apercevais Patrick et Robert qui s'embrassaient, leur bouche encore humide de sperme.
Toujours à poil, mais calmé, Patrick annonça le pot de l'amitié.
C'est cela un après-midi chez Patrick !!!.
Eric
ericgirod34@gmail.com
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