Eh bien voilà, Patrick avait retrouvé, depuis notre dernière aventure, son influence sur moi. Les contacts avaient repris de plus belle et nous ne passions pas une semaine sans nous contacter même nous voir. Un jour je me réveillais avec un mal aux dents. Je refusais une rencontre avec Patrick en prétextant mes douleurs dentaires lorsque celui-ci m'interrompit en me disant qu'il avait un ami dentiste formidable. Si tu veux, je l'appelle et je te prends rendez-vous, c'est un type super.
Ne pouvant rien refuser à Patrick j'acceptais en pensant tout de même que je me mettais peut être encore dans une galère ! Cinq minutes après J'avais la réponse de Patrick : Il t'attend à 13 h 30 aujourd'hui. Je n'ai pas donné ton nom tu dis que tu viens de ma part. En plaisantant je lui demandais si il pouvait m'obtenir aussi rapidement des places de spectacle .Parfois oui, me dit-il d'une voix entendu. !!
Après avoir bien noté le nom et l'adresse, je me présentais à l'heure au rendez-vous. C'était un cabinet banal, sonnez et entrez était inscrit sur la porte, salle d'attente classique où l 'on retrouve les mêmes revues éditées.... il y a plus de deux ans. bref, banal.
Je n'ai même pas eu le temps de m'assoir que le dentiste venait me chercher. Bel homme dans une blouse bleue fermée par derrière.
Vous êtes l'ami de Patrick, me dit-il en me tendant la main. Son regard était franc, sa poignée de main ferme, Je le suivais dans son cabinet. Après avoir accompli les formalités d'usage, il m'invita à m'allonger sur le fauteuil. . J'eu droit au traditionnel : " alors qu'est- ce qui vous arrive " ?
Je souffre d'une molaire en haut à gauche. Je sentis le fauteuil partir en arrière, et j'obéis à l'injonction : ouvrez grand.
En quelques minutes, le praticien m'avait nettoyé la dent, posé une résine, me fit rincer plusieurs fois la bouche. Le travail fini, il se déplaça jusqu'à son bureau, moi toujours allongé sur le fauteuil la tête légèrement levé. C'est alors, en le suivant du regard, que je vis qu'il était nu sous sa blouse. Celle-ci, serrée par derrière, laissait voir ses fesses, de très jolies fesses bien galbées, bronzées, très plaisantes au regard. Il n'en fallait pas plus pour que je ressente monter immédiatement le gout et les prémices du désir au fond de mes entrailles. Je pensais à Patrick et à sa perversité. Ce type n'est pas que dentiste pensais-je
Le praticien revint près de moi et, se plaçant par derrière, introduit de nouveau ses doigts dans ma bouche. Cette fois avec aucun instrument il massa ma langue, mes joues, ses doigts virevoltaient dans ma bouche. C'était étrange comme sensation mais pas désagréable. Je dois reconnaitre que jamais personne ne m'avait fait de pareil massage !
Brusquement je sentis le fauteuil descendre encore d'avantage en arrière. J'avais à présent la tête presque retournée et, je ne voyais plus que sa blouse. Il se retourna. Cette fois, j'avais un gros plan sur ses fesses et je pouvais conforter mon premier jugement : elles étaient sublimes. Il se saisit de quelque chose que je ne voyais pas, mais je compris vite de quoi il s'agissait lorsqu'il m'introduisit l'objet dans la bouche.
Un gode avait donc remplacé ses doigts. Cette fois il n'y avait plus d'ambiguïté sur ses nouvelles intentions. Il activa l'objet lentement dans ma bouche et je me mis à lécher ce gode. Très vite je vis sa blouse remonter et c''est son sexe, bien tendu, qui remplaça le gode. Il était bon, légèrement salé, j'adorais la saveur de son liquide prostatique. Je le suçais à présent avec à la fois ardeur et délicatesse. Il devait aimer car je le sentais se raidir de plus en plus dans ma bouche. Le dentiste s'activa de plus en plus. Il me limait véritablement la bouche .J'avais ouvert ma braguette, sorti mon sexe et à présent, tout en suçant cette belle bite, je me branlais.
Sans doute attendit-il qu'elle soit bien raide car quelques instants après il se coucha sur mon corps et enfourna ma bite dans sa bouche. Ce contact doux et chaud l'a fit raidir d'avantage. Nous étions en train de réaliser un 69 mémorable, pleine bouche chacun, s'avalant l'un l'autre dans un bruit de succion érotique.
Cela dura un bon moment, chacun retardant l'éjaculation pour mieux savourer l'instant. Il se redressa soudainement et ôtant sa bite de ma bouche, qui pourtant en demandait encore, il vint se placer à cheval sur ma bite me tournant le dos, offrant ses belles fesses à mon regard.
Il devait savoir qu'il avait un joli cul, car les poses semblaient étudiées.
Lubrifiée par sa salive, ma queue entra directement dans les profondeurs de son rectum. Sans préservatif, il me faisait accomplir un geste que je redoute habituellement, étant d'ordinaire très précautionneux
Il du comprendre ma réticence car il me dit, rassurant, tu ne risques absolument rien ! Venant de quelqu'un d'une profession de santé je me sentis plus en confiance et je mis plus d'ardeur à le pistonner. Il s'était assis sur moi de manière à ce que je vois ses fesses et ma bite entrer et sortir de son anus. C'était un pro ; Il s'avait ce que c'était que de jouir et faire jouir. Ses fesses s'agitaient sur moi, tantôt se contractant, galbant leurs courbes, tantôt se relâchant pour venir engloutir mon sexe. Au bout d'un bon moment de ce jeu langoureux et terriblement excitant, je pris ses hanches et en m'accrochant à lui, je me mis à le bourrer énergiquement et de plus n plus vite jusqu'au moment où j'éjaculais en lui en courtes saccades.
Ce type, prévenu par Patrick, avait dû méditer son coup et avait dû faire une toilette intime minutieuse car il se retira de moi et aussitôt prit ma bite dans sa bouche et commença un nettoyage de ma verge à pleine bouche. Quelques instants après Il se redressa, me sourit et me dit : tu as aimé ?
Tu ne l'as pas senti lui dis- je en guise de réponse. Je me redressai, et le regardai ; sa blouse était à moitié défaite, son sexe bandait toujours il se rapprocha et commença une énergique masturbation approchant de plus en plus son sexe de mon visage. Sa première décharge me traversa le visage et vint me fermer un oeil La seconde s'écrasa sur ma lèvre supérieure. La troisième tomba sur mon menton et dans le cou. Aussitôt ; il commença à me lécher, nettoyant, avec appétit, son sperme en léchant mon visage. Il finit sur ma bouche, la suçant avec gourmandise. Ma langue se mélangeant à la sienne acheva ces instants particulièrement agréables. Je pensais à Patrick et à ses incroyables ressources.
En me quittant, il me dit : tu reviens quand tu veux. ! Je répondis en faisant de l'humour,
Oui si j'ai encore mal dedans !!!
Eric
ericgirod34@gmail.com
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