J'ai raconté, sur ce site, mon premier contact au sauna avec les plaisirs homosexuels. J'ai continué, parfois, au gré de mes désirs ou de mes pulsions, à retourner au sauna. J'ai même raconté une aventure survenue à, la plage.
Tout autre est l'histoire que je vais raconter maintenant et qui est véridique. Je puis dire clairement que je suis passé désormais à l'homosexualité ou pour être plus précis à la bisexualité car je ne rejette pas un sexe de fille.
Un jour ou mes pulsions l'ont emporté sur ma raison, je suis retourné au sauna. A présent, sans dire que je suis un familier, je connais bien les lieux et vais directement là où je trouve la plus grande excitation : le Hammam.
Je ne tâtonne plus comme la première fois, mais la différence de lumière nécessite toujours un temps d'adaptation. C'est pour cela que je m'installe directement à l'entrée. Je commençais à m'habituer à l'obscurité quand une main se posa sur mon sein droit. Je trouvais cela curieux car en générale c'est sur la cuisse voir directement sur le sexe que les mains se posent.
Mon partenaire avait trouvé la manière de titiller légèrement mon téton et une émotion faisait vibrer tout mon corps. Je sentis son visage se rapprocher du mien et il me prit le lobe de l'oreille dans sa bouche.
Veux-tu venir dans une cabine me souffla-t-il comme un murmure, je m'appelle Patrick.. J'étais un peu décontenancé par la rapidité de l'invitation mais ouvert à tout ce qui aurait pu mettre mon sexe en émoi. J'étais là pour ça. Je le suivis donc dans une cabine. Je m'attendais à un assaut de sa part sur mon corps, point de tout çà.
Il me dit Veux- tu venir chez moi ?
Devant ma perplexité il ajouta, J'ai chez moi un donjon je te propose de venir, tu te déshabille et tu entres nu et masqué. Je t'assure qu'il n'y aura aucune violence physique.
Que vas-tu me faire lui dis- je. ?
Moi rien, mais j'ai des copains qui viendront s'occuper de toi. C'est une belle partie de sexe débridée. Si tu es d'accord tu me le dis, je passe mes coups de fil, tu m'attends ici et nous partons chez moi.
Devant mon hésitation il ajouta : si tu aimes le sexe, tu ne le regretteras pas.
C'est clair que mon désir monté mais que l'inconnu de la situation me poussait à accepter.
Il le comprit car il se rapprocha de moi me caressa la bite qui demandait qu'à bander, me pris les lèvres. Nos langues se mélangeaient et sous l'effet j'étais totalement raide. C'est le moment qu'il choisit pour me dire tu verras tu en redemanderas, tu vas t'éclater. OK lui dis- je t'attends.
Il sortit passer ses coups de fils et déjà je me sentais impatient.
Très vite on s'est retrouvé dehors, lui souriant détendu, moi un peu anxieux mais impatient il me dit qu'il loué un studio à deux pas du sauna et que nous pouvions très bien nous t rendre à pied.
Il me parla tout le long du chemin. Moi je n'écoutais pas, j'étais ailleurs avec mon angoisse et mon désir. Il s'arrêta devant un vieil immeuble on pénétra dans le couloir et au fond, sur la droite une porte. Il sortit une clé et ouvra. Il me fit passer le premier et derrière moi il appuya sur l'interrupteur.
Nous étions dans une grande salle, manifestement un ancien garage d'environ 50 m², les murs étaient peints en noir. Il y avait peu d'éclairage mais je remarquais scellée dans le mur une croix de st André.
Tu te déshabilles me dit-il et tu te mets ce bandeau sur les yeux. Il ajouta : tu es toujours d'accord ?
Je ne sais pas trop ce que je lui ai répondu, j'avais la gorge serrée le ventre noué, mais une forte envie de connaître de nouvelles choses. En mon for intérieur, je me disais : tu es vraiment en train de devenir homo. Je m'exécutais, accrochais mes vêtements à un cintre pendu à cet effet. Vint alors le moment de me mettre le bandeau.
Il m'aida à bien le fixer derrière ma tête, puis il me guida au centre de la pièce. Je sentis sa main me caresser les fesses puis ma. Ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue s'introduit dans ma bouche. Il me dit à l'oreille : tu vas aimer je reviens tout à l'heure.
J'entendis du bruit, dans le noir je ne savais plus de repère. Je ne savais pas s'il avait quitté les lieux ou si une nouvelle personne était entrée. Je percevais des frottements, des murmures.
Des mains saisirent mes épaules et me guidèrent dans ce que je crois être le coin opposé elles me retournèrent et une voix m'ordonna de m'assoir. Les mains me guidèrent et je sentis sous les fesses une espèce de balançoire ou de hamac. Des mains me prirent les jambes et me fixèrent les talons dans des étriers. Comme ce geste fut synchrone j'en déduisis qu'il y avait deux personnes à mes côtés J'en eu vite la certitude car des mains se posèrent sur mes seins alors que d'autres me caressaient les couilles et la bite. Une troisième personne devait être là car des mains me prirent les bras pour les élever par-dessus ma tête et me les fixer solidement à l'aide d'une corde.
Une bouche avait engloutie ma bite, une autre me sucer les seins et enfin une troisième me prit les lèvres. J'avais raison ils étaient trois. Mon angoisse s'était envolé, je bandais comme un cerf. Un droit s'introduit dans mon anus, puis un deuxième. Ils étaient lubrifiés car je ne sentais aucune souffrance. Un petit va et vient commença en parfaite synchronisation avec les mouvements sur ma bite. Un troisième doigt entra dans mon intimité alors qu'une bite était posée sur mes lèvres. Je devenais fou, j'étais devenu une bête de sexe. Je n'étais plus qu'un sexe totalement donné à sa jouissance. J'avais englouti la bite qui avait pris ma bouche pour orifice alors que les doigts qui avaient fouillés mon anus se retirèrent pour être remplacer par un sexe qui m'arracha un grognement.
Pour la première fois de ma vie, j'étais en train de me faire enculer et j'aimais çà. Je ne me reconnaissais plus, j'avais perdu tout contrôle. Je voulais de la bite par tous les orifices, je voulais que l'on me prenne comme une bête Je dis : encore c'est bon,
Tu aimes çà hein me dit une voix. Tu la sens bien ma bite hein salope.
Je grognais des oui et encore des oui, oui, plus fort!! Ma bite était dressée comme un poteau, je ne me souviens plus avoir eu une érection pareille, ou alors c'était dans ma jeunesse.
L'homme qui était en moi éjacula et je sentis à travers le préservatif la chaleur de son sperme. A peine sortie, une autre bite me pénétra. Elle devait sans doute être moins grosse mais plus longue, les va et vient recommencèrent. J'adorais les caresses que la bite faisait à ma prostate ce qui me faisait couler un peu de liquide spermatique.
On le détache et on l'allonge dit une voix.
Aussitôt dit aussitôt fait ; j'étais à présent allongé sur un matelas en mousse. Une bouche me suçait avec ardeur, une autre me tétait les seins et enfin je sentis quelqu'un enjamber ma tête pour offrir son anus à ma langue. Lèche m'ordonna une voix. Ma langue trouva vite le chemin je le léchais avec ardeur et vite je pris du plaisir. Ma bite commença à vibrer. Je vais jouir dis- je.
La bouche avala totalement mon sexe une voix me dit : Vas- y, éjacule dans sa bouche. Une première saccade suivie d'une seconde, j'étais aux anges.
L'homme assis sur ma bouche s'en alla rapidement et des lèvres se posèrent sur ma bouche ; s'était mon suceur car il me recracha dans la bouche tout le sperme que je venais de lui donner. J'avais déjà connu çà précédemment au sauna, j'avais aimé mais depuis je n'avais pas eu l'occasion de recommencer.
Des mains courraient sur mon corps me caressaient lentement, me frôlaient comme pour m'apaiser, me calmer. Elles étaient douces, légères, virevoltant autour de mon pubis et de mon sexe, sans jamais se poser. Puis une bouche vint me lécher doucement pour recueillir les dernières gouttes qui s'écoulaient de ma bite. Cela dura un certain temps et ce petit jeu porta ses fruits j'avais de nouveau le désir qui inondait mon bas ventre. Les caresses se firent plus fermes et ma bite banda de nouveau.
Tu aimes ce qu'on te fait me dit une voix. Tu veux être notre petite salope ? Je me surprends à dire Oui ! Faites de moi ce que vous voulez. Subitement je sens deux mains accrocher mes chevilles et me remonter les jambes vers le visage. A peine le temps de réaliser l'action que je sens entrer dans mon corps une bite chaude et épaisse.
C'est le troisième me dis- je. Il commençait doucement à me pistonner lorsque des lèvres se posent à nouveau sur ma bouche. Cette fois j'ai vraiment à faire à un fouilleur. Sa langue me pénètre, joue avec la mienne, j'en bave de plaisir alors que l'autre commence à aller en moi de plus en plus vite. Branlez- moi dis- je, branlez-moi !!
Une main prend et serre fortement ma bite. Elle m'astique vigoureusement en alternant pression et caresse.
Je suis ailleurs, je suis une bête de sexe qui n'a plus qu'une envie s'est d'être défoncée et jouir encore jouir, toujours jouir. J'éclate dans les doigts de mon partenaire et je sens en moi que l'autre homme emplit le préservatif.
Ensuite nous sommes calmés je suis resté étendu un moment, peut- être même me suis-je endormi.
Une main me retire le bandeau c'est Patrick, il m'embrasse. Ta bouche a le gout de sperme me dit-il. Tu as aimé ? Je lui dis oui de la tête. Alors on recommencera j'ai beaucoup d'amis qui te plairont !
Je me suis rhabillé, nous sommes sortis ensemble. Sur le pas de la porte il m'a tendu un papier avec son numéro de portable, et chacun est parti de son côté,
Tout en regagnant mon domicile je pensais déjà au téléphone que j'avais dans la main et à la manière de m'en servir et ça ne tardera pas !!!
Eric
ericgirod34@gmail.com
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