Cela faisait plus de 6 mois que je n'avais pas eu de nouvelles de Patrick. De mon côté j'étais heureux d'avoir un peu quitté son emprise. Je vivais ma sexualité à mon rythme. Les saunas étaient désormais mon habitude et je m'y trouvais de plus en plus à l'aise, multipliant les aventures, parfois moyennes, souvent excellentes. Je crois que j'étais devenu une bête de sexe, et il me fallait ma dose hebdomadaire d'aventures et de jouissance. Moi qui n'éprouvais que peu de sensations à la sodomie, je me surprenais à aimer cela de plus en plus et mon anus avait " testé " pas mal de calibres !!
C'est alors que je suis tombé dans un piège. Je fréquentais un sauna où j'avais plus mes habitudes qu'ailleurs. Celui près de chez moi, celui- là même qui m'avait fait gouter à mon premier rapport avec un homme.
Un jour dans le hammam, je suis approché par un mec qui me caresse, me fait bander et me suce. Il suçait divinement bien, avec douceur, mélangeant et alternant sa bouche, sa langue et ses doigts. C'est moi qui, n'y pouvant plus, lui demande de venir dans une cabine.
Il est d'accord et me suis. Je découvre alors à la lumière, un homme d'une cinquantaine d'années, tempes grisonnantes, bel homme, musclé, et nous passons ensemble un moment merveilleux. Tellement merveilleux que je lui demande s' il souhaite me revoir... . Nous échangeons nos téléphones et quittons le sauna.
J'avais un peu oublié ce type dont je ne connaissais même pas le prénom quand, alors que je ne m'y attendais plus, je reçu un appel.
- Salut, tu te souviens de moi, nous avons échangé nos téléphones au sauna
- Ah oui, je me rappelle, comment vas-tu ?
- Je t'appelle parce que je souhaitais te proposer un truc avec plusieurs copains dans une cave dans l'Ecusson (vieux Montpellier)
- C'est quoi ton truc ? Tu sais j'ai déjà fait ce genre de chose, je ne découvre plus. Je suis maintenant pénard avec mes désirs
- Ecoute tu ne regretteras pas, c'est super et j'ai la chance de pouvoir y aller en emmenant un copain et j'ai pensé à toi. Tu sais c'est privé.
Je me rappelais tout ce que Patrick m'avait fait faire, comment il avait su révéler ma sexualité, mes désirs les plus enfouis. C'est en pensant à tout cela que j'acceptais, pour voir, comme çà, à l'intuition.
- Si ça ne me plait pas, tu es d'accord pour que je reparte, c'est la règle du jeu, pas de contrainte. Rien ne se fait sans le consentement.
- Oui, pas de problème, c'est la règle.
Nous nous fixâmes un rendez-vous la semaine suivante et de là nous devions nous rendre à pied dans cette cave qui, à présent, commençait à éveiller ma curiosité.
Le jour J, j'étais à l'heure, mon ami (il s'appelle André, je le sais maintenant) était lui aussi à l'heure.
Il m'amena à travers les petites ruelles de l'Ecusson face à une maison qui curieusement, avait deux portes.
Une, avait plusieurs sonnettes, l'autre n'en avait qu'une mais on apercevait nettement au-dessus une caméra
La porte s'ouvrit très vite, elle donnait sur une espèce de SAS où il fallait demander une nouvelle fois l'ouverture. Derrière cette porte un escalier pas très éclairé nous emmenait vers les profondeurs de l'immeuble. Je trouvais la descente longue et au fur et à mesure, je ressentais la fraicheur qui contrastait avec la forte chaleur de l'extérieur, qui me prouvait que l'on descendait vraiment dans des profondeurs.
Au bas des marches nous fûmes accueillis par un mec, bien foutu, entièrement nu. Il nous fit rentrer dans une sorte de vestiaire, où, comme au sauna , était disposé quelques casiers.
- Mettez-vous à poil et ensuite vous passez cette porte.
Nous ne prîmes que peu de temps pour nous déshabiller, nous étions en été, donc peu de fringues.
Mon coeur commençait à, battre devant l'inconnu de ce que nous allions découvrir derrière cette porte.
Avant d'entrer, je me retournais vers André et trouvais de nouveau, par son corps et son allure sportive, qu'il avait beaucoup de charme. Il me poussa vers la porte en me caressant les fesses.
Nous entrâmes dans une grande pièce, comme d'habitude totalement peinte en noir. Par ci par là, quelques spots étaient destinés à éclairer des endroits particuliers où se trouvait du matériel. Il n'y avait pas beaucoup de monde 4 ou 5 personnes Un grand gars s'approcha de moi, sourit à André et passant sa main derrière ma tête m'embrassa goulument.
Son haleine était fraîche et sa langue tortillée savamment dans ma bouche. De l'autre main il caressa mon téton. Ce type me fit bander illico. En quelques secondes, j'étais planté là, au milieu de ces hommes la queue raide. En ouvrant les yeux, je vis qu'André était déjà occupé par deux mecs qui commençaient à le caresser.
L'homme qui m'embrassait me guida dans un coin vers un pouf noir, posé sur le sol. Il me demanda de m'allonger sur le ventre sur ce pouf et me guida dans mon action. Sous les genoux je ressentais une sorte de mousse qui manifestement était là pour éviter les douleurs de la position. J'observais aussi devant moi et rivés au sol deux crochets. N'étant à présent plus novice, je compris vite à quoi servaient ces crochets.
Soudain des mains s'emparèrent de mes cuisses et les forcèrent à s'ouvrir. J'étais, allongé sur ce pouf, les fesses en l'air cuisses écartées et je ressentis sur mes mollets et mes chevilles d'autres mains s'activaient. En fait, mes chevilles et mes mollets venaient d'être emprisonnés par des sangles. En quelques minutes ce fut au tour de mes bras qui furent enserrés dans des bracelets de cuir et attachés aux anneaux que j'avais vu sur le sol.
Je m'attendis, dans cette position à des assauts multiples. Cette position m'excitait et je continuais à bander. Je ne pouvais voir les personnes qui étaient derrière moi et je redoutais un peu le nombre d'assaut que j'aurais à subir.
Pour l'instant, une main me caressait les fesses et me masser l'anus délicatement. A cette instant une bite se présenta devant ma bouche, je redressais la tête et qu'elle ne fut pas ma surprise de reconnaitre Patrick
La bouche pleine, je ne pouvais parler, seulement émettre quelques sons sourds. Patrick compris que je voulais parler et retira sa bite de ma bouche.
- Que fais- tu là, lui dis- je stupidement.
- La même chose que toi Eric. Je suis ici pour jouir.
- Mais tu ne m'appelais plus ?
- Parce que j'avais compris que tu ne viendrais plus, que tu voulais te libérer de mon influence. Alors j'ai manigancé ce stratagème.
- Tu veux dire qu'André était au courant ?
- Oui parfaitement et les choses se sont déroulées exactement comme je pensais qu'elles se passeraient Il me restait une épreuve à te faire passer
- Laquelle ? J'ai tout fait avec toi, tu m'as entrainé partout ; que me reste t- il encore à découvrir ?
- Calme, doucement, tu vas voir.
Il se tourna vers André et lui dit encule le. Ayant dit cela il me remit sa bite dans la bouche. Elle était beaucoup plus molle, mais très vite je sentis que ma langue faisait son effet. Pendant ce temps je sentais la bite d'André qui commençait à me pénétrer. Il avait abondamment enduit mon anus de lubrifiant et il entra en moi sans souffrance. Je le sentais s'activer dans mon rectum et ça me donnait de l'ardeur pour sucer Patrick. J'aimais la bite de Patrick. C'est vrai que depuis des mois elle me manquait et peu à peu, comme toujours dans ce cas je ressentais le moment ou ma raison s'efface et ou je deviens une bête de sexe qui ne demande que du sexe, encore et encore.
Je reçu la totalité de l'éjaculation de Patrick au fond de ma gorge. André était toujours en moi et il se retira sans jouir. Une autre queue avait pris sa place dans mon ventre. Qui me tringlait comme ça avec ardeur Un petit mec très musclé des cuisses se plaça devant moi et pris la place de Patrick.
Deuxième service pensais je dans ma tête !! Cette fois c'était différent l'homme jouit très vite en moi. Cela devait être un éjaculateur précoce ou alors ça faisait un moment qu'il devait s'activer dans un autre corps. C'est à ce moment- là que j'entendis Patrick crier : Ray ! Je ressentis la présence d'une nouvelle personne derrière moi et vite je compris que ce que je présupposais : je serais labouré une nouvelle fois. Un énorme noir tourna autour de moi, comme pour m'inspecter. Il faisait bien deux mètres et J'étais fasciné par la grosseur et la longueur de sa bite. Il s'arrêta sur mes fesses et je sentis sa langue humide me lécher l'anus.- Non Patrick, pas ça, je ne veux pas me faire défoncer par une aussi grosse bite
- Ne crains rien on lui met un préservatif
- Non, son sexe est trop gros, c'est bestial
Patrick n'écouta absolument pas mes réserves
Vas y Ray dit Patrick, ramone le bien. L'homme obéit illico et je sentis sa langue travailler partout sur mes fesses ; Par derrière Il me léchait les couilles, l'anus, le gland.
Cette langue me procurait des sensations inconnues. Patrick en profita pour se replacer devant moi et m'offrit son sexe. Je le happais à nouveau avec délice.
Ne pouvant pas bouger, il commença des va et vient, tantôt sortant presque de ma bouche et d'autres fois entrant son sexe jusqu'au fond de ma gorge. Je retrouvais le plaisir que j'avais à le sucer. J'aimais sa bite et il le savait parfaitement. Je sentais que son emprise sur moi reprenais J'avais envie de sa bite de son sperme dans ma bouche. C'est à ce moment qu'il dit prends le Ray.
J'attendis un moment avant qu'il réagisse et subitement je sentis ses deux mains sur mes hanches et les coups de boutoir de son sexe qui tentait de pénétrer mon intimité. Je ne savais plus ou j'étais, partagé entre mon désir du sexe de Patrick dans ma bouche et la hantise de me faire pénétrer par ce monstre.
Au bout de quelques instants je sentis que Ray avait parfaitement trouvé son chemin. Son sexe énorme était en moi sans que je ne ressenties aucune douleur. Il besognait plus rapidement et J'avais l'impression qu'il allait m'éclater l'anus. C'est le moment que Patrick choisit pour jouir dans ma bouche. Plusieurs giclées de sperme finirent par me faire oublier mon a priori. Je crois que Ray aussi joui de son côté car je sentis un peu plus de chaleur dans mon rectum.
Ray resta en moi un long moment. Je ressentais son énorme queue vibrer de temps en temps et J'entendais son souffle haletant. André s'était présenté devant moi et, se branlant, il me déchargea sur le visage un sperme épais et odorant dont une des giclées me ferma l'oeil.
Les autres hommes présents quant à eux, excités par la scène, me tournèrent autour tout en se branlant.
La scène était étrange. Moi attaché, sur mon pouf, Ray toujours en moi et une quantité d'homme, qui comme des abeilles virevoltaient autour de moi.
Je compris pourquoi Ray était resté en moi car je sentis son sexe gonfler de nouveau et très vite il s'activa pour la seconde fois. En même temps j'étais devenu la source du plaisir des participants qui étaient à présent nombreux. C'est à ce moment, et à ce moment seulement que je compris, que tout cela avait été organisé, qu'ils n'étaient là que pour ça. En fait J'avais été invité pour servir de spectacle.
Le terrible de la chose c'est qu'une fois encore, malgré le " piège " tendu, la situation m'avait excité. Patrick avait eu raison. Tous ces hommes nus devant moi, la bite à la main en train de se branler, m'avaient donné une trique d'enfer et j'implorais que l'on me libérât. Ray jouit une seconde fois. Je pensais que l'on me libérerait, mais Ray, comme tout à l'heure resta en moi, Le même scénario se reproduisit, au moment où je sentais sa queue se ramollir et enfin être libre de mes liens, c'est le contraire qui se produisit. Je sentis le sexe de Ray durcir une troisième fois et cette fois il y mit une ardeur incroyable. Il me pistonnait comme une bête en poussant des cris et des râles. J'avais l'impression qu'un centaure me labourer l'anus, son long sexe me pénétrait jusqu'au intestins et ses coups de reins me poussaient à chaque fois fortement en avant. Comme j'étais toujours attaché, j'avais l'impression que j'allais être broyé, mais je ressentais une jouissance tellement forte dans le rectum que j'éjaculais. A ce moment, pour la troisième fois consécutive je sentis dans mon ventre les giclées de Ray. Je pensais : cet homme c'est un étalon. Une fois nos sens repris, on m'ôta mes liens et, me redressant je puis faire face à Ray qui s'agenouilla et me pris la bite dégoulinante en pleine bouche. Je pouvais voir son sexe pendre et me rendis compte qu'il lui descendait plus que jusqu'à mis cuisse. La scène dont j'avais été la vedette m'avait tellement mis en appétit que je ne mis pas longtemps pour bander de nouveau et je déchargeais très vite dans la bouche de Ray, lui ayant offert ma queue comme un biberon. Chacun retrouva son calme Si je remerciais Patrick de m'avoir amené dans ce piège, je lui faisais le reproche de ne pas m'avoir averti avant. Je me sentais une nouvelle fois manipulé. Quant à André, il en prit aussi pour son grade.
J'espère, leur dis- je en partant, que tout cela n'a pas été monnayé et que les participants n'étaient pas là en payant Je les quittais sèchement et c'est là toute l'ambiguïté de ma personne car je n'étais pas déçu de cette nouvelle expérience, même si mon anus me faisait mal at que je n'avais pas envie de recommencer. Dehors la chaleur me plomba par rapport à la fraîcheur de la cave Je regagnais mon domicile à pied en sentant, à chaque pas, la pesanteur de mon rectum.
Eric