J'étais assis dans mon salon lorsque je senti mon téléphone vibrer dans ma poche..
C'était un texto de mon mentor ( voir rencontre au Sauna ) : Si tu veux vivre de nouvelles aventures, rendez-vous devant le Sauna demain 17 heures Patrick
Me voilà de nouveau confronté à un dilemme. Celui de la raison qui m'incitait à la sagesse et le désir et l'émotion de cet appel à une aventure qui ne pouvait être que sexuelle. Rien qu'à cette pensée je ressentais mon bas ventre se contracter et des ondes de frissons m'envahir jusqu'à submerger mon esprit, ma raison.
J'avais le mobile dans la main la respiration qui s'amplifiait, le coeur aussi dont je ressentais les battements dans la poitrine. Devais- je répondre à Patrick ? Céder à mes pulsions ?
En fait, mon addiction au sexe est tellement importante que très vite mes doigts sur le clavier virevoltaient pour donner à Patrick une réponse positive.
J'ai vécu une journée d'enfer, nerveux, impatient, La nuit de fût pas meilleure, impossible de trouver le sommeil tant les questions tournaient dans ma tête.
De quelle aventure me parle- t-il ?
Quels seront ces nouveaux plaisirs ?
Ai-je eu raison d'accepter ce rendez-vous ?
Plusieurs fois dans la nuit je me suis levé ne pouvant plus calmer mon émotion et les interrogations de mon esprit. Le lendemain se fut encore pire, les heures ne passaient pas. A plusieurs reprises ma femme s'étonna de ma nervosité.
Il fallait maintenant que j'invente une course, un rendez-vous, ou quoi que ce soit pour pouvoir m'absenter en toute clarté.
J'avais acheté quelques jours auparavant un petit lecteur audio. Je n'en avais pas encore parlé et j'eu l'idée de choisir un achat à la FNAC pour excuse.
A 16 heures, je n'en pouvais plus, J'avais pris un livre pour me donner une contenance. Mes yeux parcouraient les lignes, d'une manière mécanique. Mon esprit lui était ailleurs il pensait aux caresses, aux bites tendues, aux fesses écartées, aux langues qui se mélangent...
J'annonçais enfin l'objet de ma course et me préparais. Petit passage à la salle de bain, car je n'aime pas ce qui est crade. A 16 heures, n'en pouvant plus d'attendre et au comble de mon impatience, j'étais dehors. J'avais bien sur pris soin d'emporter mon achat pour mon alibi du retour .A 17 heures cela faisait déjà 10 minutes que j'attendais et Patrick n'était toujours pas là. Il arriva d'un pas nonchalant aux alentours de 17 h 15.... J'étais fou d'impatience et je me demande, a posteriori, s'il ne l'avait pas fait intentionnellement
Après avoir roulé une bonne demie- heure, nous nous sommes arrêtés, un peu à l'écart de la route, devant une bâtisse imposante. ;
En haut de quelques marches une porte entrouverte que poussa Patrick. Il me précéda dans une pièce sombre au fond de laquelle se trouvait un escalier qui devait conduire au sous- sol d'où montait un peu de lumière .
Patrick m'indiqua un porte manteau et me dis de me mettre nu. Comme j'étais un peu réticent, il s'approcha de moi et pris mes lèvres. Sa langue fouillait ma bouche avec gourmandise et je m'abandonnais vite à la douceur de se baiser. Tout en laissant sa bouche vissée à la mienne il ôta ma chemise et ses mains vinrent effleurer mes seins. Elles furent vite remplacées par sa bouche et le titillement de sa langue. J'ai déjà conté les plaisirs que Patrick m'avait fait découvrir au sauna en s'occupant de mes seins. Je retrouvais ses sensations avec plaisir et je sentais ma queue bien raide dans mon pantalon.
Je n'avais pas mis de sous- vêtements et l'on pouvait voir clairement l'état de ma verge
Patrick m'aida à me débarrasser de ce dernier rempart et je me trouvais face à lui, la bite pointée.
Il déposa sur mes épaules une cape noire qui comportait une capuche et renversa celle-ci sur ma tête. Je me trouvais ainsi complétement nu mais dissimulé sous cet accoutrement.
Il me prit la main et me guida vers l'escalier du fond .La lumière se faisait plus intense au fur et à mesure de la descente
En bas une très grande pièce. Tout au fond, éclairé par un projecteur, une femme était accrochée à une croix de St André et un homme lui appliquait sur le sexe un vibromasseur. Elle était entièrement nue et portait un bandeau noir sur les yeux. Un cheval d'arçon se trouvait à sa droite. Un homme y était attaché, les jambes liées aux pieds du cheval il était penché en avant et ses poignets étaient également attachés à l'avant. Un homme qui portait une cape comme la mienne lui administrait une fessée qui semblait donner du plaisir aussi bien à celui qui l'administrait qu'à celui qui la subissait.
A chaque claque, je voyais son corps se cambrer ses reins se creuser et il émettait un grognement dont on ne savait pas très bien si était par plaisir ou par douleur
Patrick continua de m'accompagner ; plus à droite une porte il me précéda dans ce passage et j'entrais à mon tour dans une pièce plus sombre, éclairée par des chandeliers. Une dizaine de personne se trouvait dans cette pièce. Elles étaient toutes revêtues de la même cape, capuche baissée. On ne distinguait que le bas de leur visage. Frères dit Patrick, je vous présente Eric que je recommande à vos soins. Ces mots sont à peine prononcés que Patrick disparait. Je commence un peu à m'angoisser et je me demande s'il ne m'a pas entraîné dans un piège.
Une personne s'adresse à moi d'un ton solennel : ". Jures- tu de ne te consacrer avec nous qu'aux plaisirs du sexe "
Je vais au bout de mes désirs je m'entends dire : Je le jure
Jures- tu d'accepter nos bites, sur et dans ton corps, comme nous accepterons la tienne ? Je le jure, dis-je à nouveau
A cet instant, les capuches sont abaissées. Surprise, il n'y a pas que des hommes Il y a deux blondes et une brune. Le groupe s'approche de moi et m'entraine au fond de la salle. Un grand rideau noir s'ouvre et laisse apparaître une petite pièce qui en dit long sur ce qu'il peut s'y passer.
Toujours entouré par le groupe on me conduit devant un trou dans le mur du fond dans lequel on me demande de passer la tête. De chaque côté de ce trou deux autres ouvertures d'un plus petit diamètre où l'on m'introduit les mains.
De l'autre côté de ce mur je devine dans la pénombre un homme nu qui m'enferme les poignets dans des bracelets Je suis donc, à presque 90 °, prisonnier de ce mur, offrant mes fesses à l'assistance.
Face à moi tout un coup un écran s'allume et je vois les images de mes fesses offertes. Un des participants s'approche et me force à écarter les jambes. Mes chevilles sont immédiatement emprisonnées également dans le même genre de bracelets J'assiste ainsi en direct au spectacle qu'offre mes fesses tendues. Sur l'écran je vois une des blondes s'approcher. Elle est nue et porte une ceinture gode autour de la taille. De l'autre côté du mur une ombre s'approche et enfourne sa bite dans ma bouche. Je suis surpris mais cette bite est légèrement salée, je la suce avec délicatesse alors que sur l'écran je vois le gode ceinture s'approcher de mes fesses. Heureusement qu'il est lubrifié car la femme d'un coup de rein me l'enfonce profondément.
Voilà mon rectum et ma bouche remplis de plaisir !!
Cela dure quelques minutes et une autre bite remplace la précédente ; Sur l'écran je vois la blonde sortir son gode de mes entrailles. Un homme s'approche alors en achevant de placer un préservatif et prend dans mes fesses la place laissée libre. Après quelques minutes j'ai droit à un nouveau changement. Je commence à comprendre leur jeu. Ils passent se faires sucer d'un côté du mur et ensuite ils m'enculent. Je deviens de plus en plus excité. Je bande dur et je prends goût à ces bites qui entrent en moi par la bouche et par l'anus.
Mon coeur éclate dans ma poitrine, je deviens complétement fou de sexe, de bite, je veux prendre des bites dans mon cul. Je ne contrôle plus ni mon corps ni mes sens ni mes paroles. J'hurle, je leur demande de me prendre comme une pute Je veux du sperme dans ma bouche . La position devient de plus en plus excitante subir sans pouvoir agir. N'avoir que les lèvres et la langue. Je contracte très fort mon rectum pour mieux sentir les bites en moi.
J'ai perdu toutes notions de temps. Mon érection finit par me faire mal. .
Je ne sais s'ils l'ont compris car sur l'écran je vois un homme se glisser sous moi et en s'adossant au mur il avale ma bite. C'est un expert, il est doux et maitrise les caresses avec sa langue. Je ne peux plus me contenir. Je ne sais combien j'ai eu de bites ou de godes dans les fesses. Je ne sais combien j'ai sucé de bite. J'éclate dans la bouche de mon suceur. Pas longtemps car, faisant le tour il vient recracher dans ma bouche toute ma semence !!!
Alors je me sens à la fois sur un nuage et je ressens une grande fatigue. Mon anus me brule et j'ai l'impression qu'il est grand ouvert.
On me détache, heureusement car je ne sais pas si j'aurais pu subir de nouveaux assauts.
Une voix, la même que tout a l'heure, proclame : " Il est des nôtres, il fait partie de nos frères ".
Je reviens de mes émotions, pour être franc, je me sens honteux, je n'ai plus qu'une hâte c'est de quitter les lieux. Tout à coup ma raison reprend le dessus. Intérieurement je me dis plus jamais çà . !!.
Je retrouve Patrick à l'étage. Je suis incapable de lui parler. Je me rhabille. Il ne me dit rien. Ce n'est que dans la voiture qu'il me demande si j'ai aimé. Je reste silencieux J'ai l'impression d'avoir touché le fond.
Tu sais me dit Patrick, c'est toujours pareil. Après une telle séance on a honte, on se dit que l'on ne recommencera plus, puis le temps passe et les sens reprennent le dessus, l'envie revient, visser au ventre et on se trouve en manque de sexe, on recommence et on jouit encore et encore ; Tu as juré devant les frères. Tu ne vas pas être renégat. ?
On s'est rapproché de l'endroit où il doit me laisser, Il gare la voiture, et se tournant vers moi il m'embrasse.
Je sens sa langue se tortiller avec la mienne Je sens mon désir se raviver. C'est vrai que j'ai moins honte.
Il me laisse sortir en me disant Salut Eric, à une autre fois.
Eric
ericgirod34@gmail.com
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