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Initiation
Oups... côté risques, c'était plus chaud que prévu. Mais c'était trop tard. Je pris mon partenaire dans les bras, ma queue toujours profondément plantée en lui, le sperme du blond dégoulinant entre son dos et ma poitrine, nous échangeâmes un baiser de contorsionniste.
Puis je le rallongeai, sur le côté cette fois, une de ses jambes sur le lit, l'autre relevé et je repris un pilonnage en règle mais avec douceur malgré la puissance de mes assauts.
Il gémissait, ponctuait mes saillies de " oui, vas-y, continue, encore etc." ce qui ne manquait pas de m'exciter et m'encourager.
Je senti le plaisir monter à nouveau. Il le comprit et me dit : " - Vas-y, tu peux lâcher... dedans. "
Ce n'était pas très classe, me prit un peu de court, mais c'était très clair. J'accélérai donc et commençai moi-même à haleter bruyamment. Le gémissement de mon petit ami s'amplifia en même temps que moi.
Brusquement toutes mes tensions se relâchèrent et un flot de sperme se déversa dans le jeune homme qui l'accompagna d'un long "ouiiiiiiii" aigu.
Je restai ainsi alors qu'il me regardait, la bouche grande ouverte, reprenant avec peine sa respiration. Je sortis délicatement mon sexe hyper sensible de son cul. Je pris une serviette que j'avais disposée sur la tablette de nuit pour m'essuyer et la tendis ensuite au jeune.
Malgré l'évacuation de mes tensions sexuelles, il restait toujours aussi beau et désirable. A ma surprise je le vis s'essuyer l'entre-jambe. En regardant plus attentivement je vis une large tache de sperme sur le couvre lit que ni le blond, ni moi, n'avions pu faire.
Me voyant ainsi examiner la tache, le petit brun me regarda avec un sourire coupable, un petit haussement d'épaule et un clin d'oeil.
Son air candide me fit fondre et je le fis se rallonger, sur le dos cette fois. Je pris son sexe encore humide en bouche. Il fit un geste pour m'en empêcher mais je repoussai sa main et la lui reposai sur son ventre. J'avais envie de lui procurer autant de plaisir que j'en avais pris en le pénétrant.
Et donc j'entamai une belle séance de suce, lui sur le dos, moi sur le ventre. En même temps que je lui suçais le gland, je lui caressais les cuisses et le ventre. Nos mains s'effleuraient de temps en temps. Il ne lui fallut pas longtemps pour redevenir dur et droit dans ma bouche. Sa queue était délicieuse, bien proportionnée, avec une saveur excitante.
J'alternais le léchage et la suce, sur sa queue, ses couilles et la peau entre ses jambes, avec descente jusqu'au périnée. Bien que plus discret cette fois, il gémit au rythme de mes caresses buccales. Il se tortillait doucement.
Une fois de plus le blond se rappela à mon bon souvenir en s'asseyant à côté de moi sur le lit. Il me caressa doucement le dos et les fesses. Je fis onduler les deux pour marquer mon appréciation. Continuant ses caresses, il tenta à deux reprises de guider le rythme de ma suce de la main. Je m'opposai fermement.
Il aventura un de ses doigts dans la raie de mes fesses. Mais cela ne dû pas lui plaire car il n'alla pas plus loin.
Avec mon beau brun, j'arrivai au stade où il me fallait prendre garde à bien ralentir régulièrement pour éviter une éjaculation précoce. C'est le moment que choisi le blond pour se lever et présenter sa queue à hauteur de mes yeux.
Je portai ma bouche à sa queue, par réflexe. Toujours aussi ferme malgré ses deux éjaculations récentes.
Mon petit ami brun soupira de dépit... Du coup, je repris son sexe dans ma bouche et me contentai de branler distraitement le blond ce qui ne sembla pas le contrarier plus que cela.
Je m'appliquai donc à faire ressentir le plus de sensations possible à mon jeune " puceau ", jusqu'à lui mordiller le prépuce, tout en masturbant honorablement son ami.
Vint le moment où les gémissements du jeune homme s'amplifièrent. Je lâchai la queue du blond pour me concentrer exclusivement sur mon petit brun. J'intensifiai la pression et le rythme de mon massage sur la base de son gland. De mes deux pouces je massais son périnée. Il se décontracta complètement, je le senti se laisser aller à mes caresses.
Seul son sexe restait rigide. Je maintins le rythme de mes caresses et ce fut l'apothéose : il fut pris d'un spasme violent, son gland augmenta encore de volume et soudain une véritable fontaine de sperme se répandit dans ma bouche. Au moment de jouir il voulut vaguement repousser ma tête de sa main mais je la lui pris, nous mêlâmes alors nos doigts et il me sera très fort.
Une fois calmé, je retirai ma bouche de son sexe en conservant son sperme. Avec un sourire il me vit l'avaler sans hésiter. Du coin de l'oeil je vis le blond qui se branlait à toute vitesse et qui commençait à gémir. Il se tourna vers moi et présenta son gland à mes lèvres : j'ouvris en grand ma bouche et il jouit de nouveau lâchant une dernière petite quantité de sperme chaud qui rejoignit aussitôt celui du brun dans mon estomac.
Nous nous retrouvâmes tous trois sur le lit, nus, en sueur, et nos ardeurs calmées. Instinctivement, les deux jeunes hommes se calèrent contre moi, l'un à droite, l'autre à gauche. Nous passâmes sous les draps. Ils s'endormirent très vite.
Je restai un long moment à les regarder tout en me demandant à quelle heure ils devaient se lever. La chaleur de ces deux garçons, leurs odeurs mêlées, la vague senteur de sperme qui flottait me rendit tout soudainement ma vigueur et je vis le drap se soulever. Je n'avais toutefois aucune envie de briser la magie de l'instant et donc je me gardai bien de bouger.
Je finis par les rejoindre dans les bras de Morphée.
Au petit matin, je me réveillai le premier émergeant d'un demi-sommeil où je réalisais les fantasmes les plus érotiques avec mes deux partenaires de la veille. Je bandais comme un taureau et le drap sur mon sexe était humide sans pour autant qu'il s'agisse d'une pollution nocturne.
Mes deux compères s'étaient retrouvés, je ne sais comment, l'un en travers du pied du lit et l'autre tout au bord du matelas, un bras dans le vide, les jambes repliées.
Je ne pus m'empêcher de les contempler à nouveau, nus et désirables, ce qui ne fit rien pour calmer mon érection matinale.
Je m'attardais en particulier sur les fesses du petit blond qui prenaient, sous la lumière rasante passant au travers du store mal fermé, une teinte de miel doré renforcée par l'éclat d'or des courts poils blonds qui les recouvraient.
J'avais une furieuse envie de le baiser. Une envie sauvage, violente, irrationnelle. Je voulais sentir ma queue dans son cul, le sentir se contracter et s'humidifier de plaisir à mesure que je lui limerai sa petite chatte de soi-disant hétéro.
J'étais tellement excité que je commençais à avoir les mains tremblantes. Je pris le tube de gel que j'avais utilisé avec mon petit brun. J'en pris une sérieuse quantité et le réparti sur tout mon membre, accentuant encore la violence de mon érection.
Je m'allongeai alors sur l'adorable blondinet.
Avant qu'il ne se réveille complètement, j'avais glissé mon sexe au plus profond de la raie de ses fesses.
" - Qu'est-ce tu fais ? " Demanda-t-il d'une voix pâteuse.
"- Rien, t'inquiète..." Répondis-je tout bas.
Je fis délicatement coulisser mon sexe dans le sillon pour augmenter encore -si c'était possible- la rigidité de ma queue. Il fit vaguement un mouvement que je contrariai de manière à le conserver bien coincé sous moi, mes jambes bloquant les siennes.
Comme il ne semblait ne plus vouloir bouger, je repérai son anus de ma main gauche et y présentai mon gland. Sans plus de cérémonie je le fis pénétrer d'un ou deux centimètres en lui.
Il ne dit rien mais contracta le plus fort possible ses fesses comme pour m'empêcher d'aller plus loin.
Cela m'excita bien plus que cela ne m'arrêta.
Millimètres par millimètres, je forçai le barrage de ses muscles. Le gel me permettait de glisser dans son cul ma queue plus dure que l'acier. C'est une fois planté à fond, sans qu'il ne dise un mot, n'oppose d'autre résistance que la contraction de ses muscles ou émette la moindre plainte que je me détendis sur son dos. Je lui embrassai la nuque doucement.
"- Je veux pas. " Murmura-t-il.
"- Tu es sûr ? " Répondis-je ? Et je me risquais à un minuscule va et vient sur deux ou trois centimètres, lent et doux.
"- C'est du viol. " Ajouta-t-il sans être vraiment menaçant.
"- Tu as mal ? " Demandai-je tout en continuant à coulisser en lui.
"- C'est du viol. Arrête ! " Il avait à peine élevé la voix. Je me demandais s'il ne craignait pas d'être vu par son copain.
Comme il ne bougeait toujours pas, je continuai à aller et venir entre ses fesses avec une toute petite amplitude.
"- T'as mis une capote au moins ? " Demanda-t-il.
" - Non.
- Fais chier. Te lâche pas dedans. Arrête... S'il te plait... "
Au moment même où il me demandait -gentiment- d'arrêter, je sentis mon sexe se raidir et avoir un spasme très fort, pour tenter de faire diversion je lui dis un peu plus fort à l'oreille tout en bougeant légèrement :
" - Tu veux vraiment pas ? Le plus dur est fait tu sais...
- Arrête s'il te plait. Je veux pas.
- Tant pis alors..." Et je me retirai.
Je me rendis rapidement dans la salle de bain avant qu'il ne bouge et m'essuyai la bite en veillant à ce qu'il n'y ait plus de sperme dessus.
Je retournai ensuite sur le lit pour lui essuyer les fesses.
" - Je suis désolé, je pensais que tu aimerais essayer.
- Ben non. J'suis pas gay j't'ai dit. "
Je déposais alors un baiser au creux de ses reins... Il se retourna alors et je découvris, malgré son refus, son sexe bandé.
Sans qu'il ne demande rien, je le pris en bouche et lui fit une pipe d'anthologie. Il ne fut vraiment pas long à venir et j'accueillis sa semence avec plaisir.
" - T'es le premier qui... " Il ne termina pas sa phrase.
" - Qui ?
- Ben qui... avale...
- Ah oui ?
- Oui.
- Ben, j'espère que ça t'a plu. Et... Ton copain là ?
- Il suce mais y prend pas dans la bouche.
- C'est quoi vos noms au fait ?
- Moi c'est Fabien et lui c'est Maxime. Et toi ?
- Yves. "
Maxime dormait toujours, je me penchai sur lui et commençais alors à lui baiser la poitrine et le ventre. Il bougea un peu. Je tirai le drap qui recouvrait ses jambes pour découvrir que lui aussi était en pleine forme.
Comme pour Fabien, je me penchai sur son sexe pour commencer à le sucer. Après quelques secondes, il se redressa brusquement et regarda autour de lui d'un air affolé. Il constata d'abord que son sexe était dans ma bouche puis que Fabien nous regardait et enfin il aperçut l'heure sur le radio-réveil.
Il se détendit et se laissa faire. Là encore, il ne fallut guère de temps pour qu'il jouisse.
Après cela, il voulut prendre ma queue dans sa bouche. Je ne l'empêchai pas, moi debout, lui assis au bord du lit. Lorsqu'il eut prise entièrement il se retira, sembla gouter quelque chose dans sa bouche et se tourna vers Fabien d'un air surpris.
Fabien piqua un fard monumental. Et revenant à mon sexe, Maxime repris sa suce enthousiaste. Il me regardait avec les yeux pétillants de malice. Je crois qu'il avait compris ce qui s'était passé... Plus ou moins. Je mis un long moment à venir mais cela ne découragea pas Maxime qui déploya des trésors de patience et de caresses.
Lorsque je sentis l'extase arriver, je le lui dis. A ma grande surprise, il ne se retira pas. Il accueilli ma semence dans sa bouche avec la grimace de ceux qui n'en connaissent pas encore le gout.
Je m'agenouillai alors face à lui et le remerciai car je savais ce que cela signifiait pour lui.
Nous nous embrassâmes.
Leurs portables sonnèrent : l'heure de se préparer pour le tournoi.
[Merci pour vos mails qui me sont toujours très précieux. Si vous souhaitez connaître la suite, n'hésitez pas à me le faire savoir... Je réponds toujours.]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
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