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Substitution
Je poussai un soupir de désappointement.
Bon, en même temps ce n'était pas si mal, il aimait embrasser et caresser... Et il le faisait très bien. Et sa queue était plus qu'agréable en bouche. Je pris sur moi, tournai mon visage vers le sien et lui fit un sourire tout en lui caressant le visage.
" - Dommage. " murmurai-je.
" - Tu veux plus ?
- J'aurais bien aimé oui... mais je comprends...
- Y te plaisait mon pote à table ? "
Là, j'étais perdu. Qu'est-ce que le brun venait faire là-dedans ?
" - Ben oui... mais moins que toi évidemment.
- Lui il est gay. D'habitude, c'est lui qui... ".
Ah je compris alors le regard que son " pote " m'avait jeté lorsque le blond était allé aux toilettes. Le genre de copain gay amoureux et jaloux de son copain hétéro qui se sert de lui comme vide-couilles en attendant de le larguer pour une nana.
J'ai déjà connu.
" - Et ? " demandai-je.
" - Si tu veux, je le fais venir. Il te trouve à son goût.
- C'est vrai qu'il est très mignon aussi ton petit copain.
- C'est pas mon petit copain ! Juste un ami. Avec... des extras.
- Ouais je vois ce que tu veux dire. Et tu veux mater ?
- Ca te dérange ?
- Non... au contraire. "
Il se leva alors, pris son portable et s'assis contre la tablette de la chambre. Dans la pénombre, le portable illuminait son visage. J'étais toujours allongé sur le lit, le visage à quelques centimètres en dessous de sa queue qui était toujours bandée.
Je me mis sur le ventre au bord du lit et repris le membre de mon petit hétéro en bouche. Il ne cessa pas de taper son message. Je lui caressai les abdos et la poitrine. Je prenais son membre plus loin encore dans ma gorge. Il ne put retenir un grognement de plaisir. Il continuait à rédiger son texte, mais avec une grande lenteur.
Je continuai à lui faire du bien, je passai à ses couilles. C'est là qu'il envoya le message. Il écarta un peu plus les jambes, posa ses deux mains sur le rebord de la tablette et se pencha en arrière.
Je repris la lèche et suce.
Je sentis ses couilles remonter dans sa bourse... Il n'était plus très loin de jouir. J'avais confusément envie qu'il jouisse avant que son copain n'arrive.
Son téléphone vibra, il jeta un oeil rapide en haletant toujours.
" - C'est bon, il vient. " me dit-il.
" - Et moi aussi " ajouta-t-il dans un souffle.
Je ralenti alors le rythme en insistant sur son gland et son frein avec ma langue.
Spasme.
Spasme.
Goût amer dans ma bouche.
Puis six ou sept giclées de plus qui remplirent ma bouche de son nectaré. Son jus était un peu plus amer que la moyenne mais je n'en perdis pas une goutte. J'avais fermé les yeux pour goûter à son sperme délicieux, en les rouvrant je le vis en train de me regarder avec plaisir mais aussi un petit côté " macho-dominateur-satisfait ".
Cela me frappa car, normalement, c'est moi qui regarde mon suceur ainsi.
On frappa alors à la porte. Par le judas, je vis que le petit brun était là. J'ouvris la porte.
Tout bas, il me dit avec un sourire :
" - Alors comme ça je suis très mignon ? "
Je ne pus m'empêcher de rougir.
Il passa la porte en frôlant mon sexe qui débordait de mon mini-slip. Il se rapprocha de moi et ajouta :
" - Bravo... Il adore se faire sucer en étant sur skype. "
Là, je rougis des orteils à la pointe des oreilles. L'autre avait décrit la scène, un sexto en temps réel. J'étais outré ! Je restai quelques instants interdit alors que mon nouveau visiteur entrait dans la chambre.
Je me suis alors retourné mais lorsque je les vis s'embrasser tous les deux, toute ma colère disparu d'un coup. Je trouvais le tableau délicieusement romantique et pornographique à la fois.
Le blond nu, le gland rouge et humide, le bras gauche sur la taille du brun pelotonné contre lui. Il l'embrassait avec douceur et tendresse. La main droite que le petit brun avait posée sur le cou du blond glissa en une lente caresse depuis l'épaule puis sur la poitrine, le téton, le côté droit des abdos de l'adonis pour finir sur son sexe.
Il caressa le membre qui n'était plus dur comme l'acier mais encore gonflé d'excitation, caressa les bourses de mon hétéro et pinça doucement entre le pouce et l'index l'extrémité du gland pour en extraire une ou deux goutte de sperme qu'il porta à ses narines pour le humer tout en m'adressant un regard empli de concupiscence.
J'ôtai lentement mon slip dont la ceinture commençait à me faire mal, ma queue étant sortie à moitié. Le jeune hétéro pris son copain par les hanches et le tourna vers moi. Le beau brun pris un air alangui en se laissant aller contre son copain. Le blond me regarda avec un sourire qui voulait dire " tient, je le prête, amuse toi bien ".
Je me plantai devant le brun, mon sexe glissa sur sa braguette qui était déformée par une forme elle aussi prometteuse. Je me saisis de ses mains qu'il avait laissées sur les cuisses de son ami. Je les attirai à ma poitrine, le jeune homme se redressa et suivi mon mouvement. Je me laissai tomber en arrière sur le lit et il s'affala sur moi.
Nous nous regardâmes un long moment, je le trouvais désirable et excitant. Il avait un visage doux et timide même si je devinais un côté très sexuel en lui.
Nous unîmes nos lèvres. Un simple bisou d'abord. Suivi d'un second, d'un troisième et la quatrième fois nos bouches s'ouvrirent à l'unisson pour un baiser long et doux.
Je commençai à lui caresser les épaules, le dos puis les fesses : le contact du tissu laqué était agréable. De son côté il caressait mes cheveux et ma hanche droite. Après quelques instants je le fis basculer sur le côté : les boutons de son jeans s'enfonçaient douloureusement dans ma verge bandée.
Je commençai à ouvrir son gilet pour glisser ma main sous son t-shirt noir. Il avait une petite toison douce sur les abdominaux et des pectoraux plus puissants que ceux de son copain. Je ne pus m'empêcher d'émettre un petit grognement de contentement. Je le mis à genoux et lui ôtai rapidement gilet et t-shirt.
Lui se débarrassa de ses chaussures. J'attirai sa tête contre mon ventre pour lui caresser les cheveux et les joues.
Lui me prodigua de douces caresses dans le creux des reins. Je pouvais sentir ma queue coincée sous son menton parfaitement rasé. L'idée me frappa l'esprit : il s'était préparé pour moi : il venait de se raser. La peau de son visage était douce et il restait un peu de l'odeur de la mousse à raser.
Quelle étrange idée de se préparer à faire l'amour à quelqu'un alors que son copain/meilleur ami/amant est déjà en train de baiser avec cette même personne. Peut-être lui avais-je vraiment tapé dans l'oeil alors.
J'étais plongé dans cette réflexion étrange lorsqu'une chaleur intense et humide enveloppa ma queue. Il venait de l'avaler au plus profond de sa gorge. Il était parvenu à la prendre en entier...
Il se retira presque aussi vite avec un bruit de déglutition peu sexy, mais il avait essayé.
Il entama alors une séance de suce délicieuse. Je le laissai faire en admirant son beau visage planté sur ma bite raide, pleine de désirs et de la frustration de n'avoir pas joui avec le blond. Ce petit suceur était concentré sur ma queue et prenait un plaisir visible à alterner suce et léchage de mon gland. Je le surpris à deux reprises à regarder le blond, qui était toujours sur assis sur la tablette, pour lui adresser un sourire indéchiffrable.
Je senti mon plaisir s'intensifier de manière difficilement contrôlable. Je me retirai de sa bouche et me penchai pour l'embrasser goulument. Sa bouche avait à présent un peu de ma saveur.
J'admirai un instant son corps à peine sorti de l'adolescence, ce beau torse et ce jean bien coupé qui ne cachait rien de l'excitation du jeune homme.
Avec une lenteur calculée, je lui ôtai sa ceinture, puis ouvrit les boutons un à un, en prenant bien soin d'appuyer à chaque fois que le morceau de bois qui garnissait son boxer. Il portait un shorty Aussiebum noir, luisant de liquide séminal. Le pantalon ainsi ouvert, je m'allongeais à son côté pour reprendre caresses et baisers.
Cette fois, je me concentrais sur son ventre... La fine toison qui le recouvrait renforçait le dessin de ses tablettes de chocolats. Je pris un malin plaisir à le caresser en suivant la ceinture de son boxer glissant ma main dans son pantalon pour aller sur ses cuisses, alternativement. Dans le même temps, je léchai délicatement son téton me risquant même à le mordiller légèrement.
Il commença à gémir de plaisir, de désir ou de frustration. Sa tête bascula ostensiblement en arrière. Je finis par accéder à son envie et commençai à caresser son boxer au niveau du sexe. Ses gémissements s'intensifièrent. Je repassai sur son ventre jusqu'au nombril dont je fis trois fois le tour du bout des doigts.
Au troisième tour, je fis descendre ma main dont seule l'extrémité de l'index glissait sur ses muscles tendus, jusqu'à la ceinture de son boxer. Une petite pression sur la peau fit passer mon doigt sous la ceinture et immédiatement le reste de ma main s'engouffra dans le petit boxer et je m'emparai de la verge brûlante du jeune homme.
Je tournai mon visage vers le sien dans l'espoir d'un baiser mais il avait toujours la tête renversée et il semblait perdu dans un océan de bonheur. J'étais un peu surpris mais cela me fit plaisir de lui procurer tant de sensations.
Je commençai à branler délicatement sa jeune queue, d'un mouvement lent et mesuré. Au bout de quelques secondes il me dévisagea avec un air de panique : " - Arrête ! " Il cria presque.
Instantanément je m'arrêtai et retirai ma main de son shorty. J'avais déjà vu ce visage paniqué chez de jeunes hommes contrôlant difficilement leurs émois. Je me penchai à son oreille et dit le plus discrètement possible :
" -T'inquiète... Laisse venir si ça vient. On le fera plusieurs fois. Ne te stresse pas pour ça. "
Et je lui léchai le lobe de l'oreille ce qui lui arracha un petit gémissement de bonheur.
Je me levai du lit pour lui ôter son pantalon et son shorty. Le petit blond -dont j'avais presque oublié la présence- m'adressa un sourire et je constatai qu'il était de nouveau bandé comme un arc. Il se caressait doucement la queue en nous regardant depuis la chaise où il avait pris place.
C'est sur un beau brun excité à mort que je m'allongeai. Nos sexes se croisèrent, nos jambes, nos bras et nos langues se mêlèrent. Nous roulâmes plusieurs fois sur le lit. Il prit un peu d'assurance et commença même à me sucer de nouveau. Je le laissai faire, mais pas longtemps.
Je le renversai et me penchai vers son sexe, rouge, dur et humide. Je l'avalai d'un seul coup, le faisant pénétrer dans ma gorge, ma bouche rencontra alors ses poils consciencieusement rasés à deux ou trois millimètres. Les petits poils un peu durs piquaient mes lèvres. Je restai quelques secondes dans cette position alors que le jeune homme gémissait de plaisir avec des " wouah... ah... " de circonstance. Il avait de petits mouvements de contractions dans les épaules, la poitrine et le bassin. J'entamai donc une petite séance de suce et tout comme avant, il m'interrompit et attira mon visage vers le sien.
" - Attends ! Attends ! Je veux pas tout de suite !!! ".
Je penchai la tête, attendri, pour lui déposer un baiser sur les lèvres. Un peu brusquement, il repoussa mes épaules et m'enfourcha. Il s'assit sur mon ventre. Là, il me regarda et jeta un oeil à son pote. Cela m'agaçait un peu.
Il appuya fortement ses deux mains sur ma poitrine et souleva doucement son bassin, le recula et commença à se rasseoir sur mon sexe. De ma main droite, je guidai mon gland pour qu'il se présente naturellement face à son anus. Il tenta de s'asseoir dessus brusquement, ce qui ne fit que me procurer une douleur violente dans la queue.
Je le regardai avec stupeur :
" - Attends, soit pas si pressé. On va prendre du gel... et une capote... " Ajoutai-je à contre coeur.
Je pris le nécessaire dans ma trousse de toilette dans la salle de bain. En revenant dans la chambre, je trouvai mon beau blond la queue plantée dans la bouche de mon petit copain qui était allongé sur le dos. Pendant qu'il se faisait sucer, j'enfilai un préservatif et l'enduisit de gel en bonne quantité.
Je me mis à genoux sur le lit et relevai les jambes de petit brun pour lui enduire la rondelle d'une bonne dose de gel. Avec un puis deux doigts, je lui massai et lui décontractai l'anus. Je ne voulais pas prendre le risque de lui faire mal...
J'étais convaincu qu'il avait peu ou pas d'expérience en la matière. Comme le blond ne partait pas, je me mis à lui caresser les fesses... Ma main était couverte de gel ce qui ne parut pas le déranger. J'en profitai donc pour glisser un doigt dans sa raie et tâter sa rosette. Cela eu l'effet attendu, il se retira de la bouche de mon petit pote pour se rassoir dans sa chaise avec un petit soupir déçu ou désapprobateur.
Je m'installai à genoux devant mon jeune partenaire. Ses cuisses reposaient sur les miennes. Mon sexe était dressé au-dessus du sien. Il me regardait avec un mélange de tendresse et d'appréhension. Je me penchais tout contre lui pour lui murmurer à l'oreille :
" - Si ça te fait mal, tu le dis et j'arrête tout de suite. Ok ?
- D'accord. C'est gentil. " Répondit-il timidement.
Il transpirait nettement, je voyais sa cage thoracique palpiter bien plus vite que tout à l'heure. Je me mis donc en position, gland sur son anus...
" - Détends-toi... Ca peut être douloureux au début. Dans ce cas je sortirai et tu verras ensuite, ça ira tout seul. "
Et sans le prévenir, je fis pénétrer mon gland qui, comme je le pensais, rencontra une résistance certaine. Il émit un bruit entre ses dents et je me retirai immédiatement. Je lui caressai doucement le ventre et les hanches. Il ne bandait plus. Je comptais mentalement jusqu'à dix puis je fis de nouveau entrer mon gland en lui.
Il émit le même bruit mais il s'interrompit en se rendant compte qu'il n'avait pas ou peu mal. Il me regarda alors dans les yeux et je fis entrer entièrement mon sexe.
Là je fis une pause pour gouter le plaisir d'être dans un aussi beau jeune homme et pour lui laisser le temps de gouter et s'habituer à la nouvelle sensation. Il reprit sa respiration car inconsciemment il l'avait bloquée à ma deuxième pénétration.
J'entendis alors le bruit de branlette du blond derrière moi.
Je fis abstraction de cela et commençai à faire l'amour tendrement à mon jeune camarade. Sa respiration était désordonnée... au début. A mesure qu'il s'habituait, il commença à gémir au rythme de mes poussées. Il se recroquevilla complètement m'obligeant à m'appuyer de tout mon poids sur lui...
Ce qu'il recherchait manifestement.
Il passa ses deux mains autour de ma nuque et amena mon front contre le sien, il commença à gémir de plus en plus fort. Si bien que je dû lui demander de se calmer car il était à peine onze heure et que je n'avais pas envie qu'on nous entende.
Après quelques minutes dans cette position, je me retirai entièrement. Il dû croire que j'en avais marre car il me dit : " - Non !!! Encore s'il te plait ! "
Je lui souris et lui demandai de s'allonger sur le ventre. Pendant qu'il se tournait, je repris le flacon de gel pour réenduire mon membre, à genoux sur le lit. Mon petit passif me regardait avec... désir... Je crois.
Il se redressa soudain et s'avança vers moi. Il saisit la capote et l'enleva d'un geste décidé.
" - Tu veux bien comme ça ? " Me demanda-t-il.
Je le regardai et dit : " - Ben si tu es sûr de toi... Moi je sais que je suis clean et toi ?
- Je le suis... " Répondit-il...
" Forcément... " Ajouta-t-il tellement bas que je ne pas sûr d'avoir bien entendu.
Je me fis tout de même la réflexion que le blond pouvait trimballer une saloperie malgré tout et lui avoir filée. Réalisant que je ne m'étais pas posé tant de questions pour avaler sa décharge de sperme, je ne prenais pas beaucoup de risques supplémentaires avec mon gentil passif.
Alors je remis une bonne dose de gel sur ma queue libérée. Le petit brun se redressa un peu plus pour m'embrasser. Nous nous embrassâmes un long moment puis je le fis tourner et m'installai derrière lui.
Instinctivement il se mit à quatre pattes.
J'avais ses petites fesses musclées face à moi et immédiatement je lui enfilai ma queue le plus profondément possible sans la moindre douceur. Il eut un petit hoquet de surprise mais recommença à gémir de plaisir à mesure que je lui limai l'anus. Je le tenais fermement par les hanches. Je senti le plaisir monter sans prévenir ! Aussitôt, je fermai les yeux, ralentis mon rythme et pris de profondes et lentes respirations. Après quelques secondes je me sentis de nouveau maitre de mes sensations et rouvris les yeux.
Le blond était venu se replacer contre la tablette, sensiblement au même endroit où je l'avais sucé, et regardait alternativement son pote le sucer et ma queue plantée dans ses fesses.
Je caressai les flancs de mon partenaire pour essayer de le réconforter... J'étais presque certain que c'était sa première sodo et je trouvais malheureux que l'autre se fasse pomper le dard à cette occasion... Même si j'en aurai sûrement fait autant à sa place.
Je repris donc ma sodo ce qui attira le regard du beau blond. Ses yeux bleus se plantèrent dans les miens alors que je défonçai son petit pote. C'était une sorte de défi. Une manière pour lui de me dire que c'était là son petit jouet personnel et que si j'avais le droit de le pénétrer, il en restait le propriétaire.
Je choisis alors de le regarder avec désir et de régler le rythme de ma sodomie sur le rythme du suceur. Mon regard allait et venait de ma queue coulissant dans le jeune au visage du beau blond... Il passait nerveusement la langue sur sa lèvre inférieure en me matant, il commença même à la mordre fortement, nous avions le même rythme et je pouvais lire sur son visage qu'il rêvait d'être à ma place.
Soudain son visage grimaça et il regarda sa queue... Mon petit passif s'était retiré et le blond éjacula puissamment sur son dos et même sur mon ventre.
De ma main, j'étalai le sperme chaud sur la peau du beau petit brun qui avait déjà repris ses gémissements.
Le blond me regarda et dit : " - Désolé, t'en a partout... ".
Et il ajouta avec un clin d'oeil : " - Il fait toujours ça. ".
[Merci pour vos mails qui me sont toujours très précieux. Si vous souhaitez connaître la suite, n'hésitez pas à me le faire savoir... Je réponds toujours.]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
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