Cette rencontre a eu lieu un samedi après-midi de janvier 2006. J'étais parti quelques jours au ski avec des copains et je venais de rentrer. Aussitôt arrivé, j'ai eu envie de me vider les couilles, je pense que ça ne vous surprendra pas. A l'époque, je voyais beaucoup Thibaud comme je vous l'ai raconté mais, même si je le trouvais excitant, je n'avais pas envie de lui à ce moment-là. Je décidai donc d'aller passer l'après-midi au 1er Sous Sol ou au Trou. L'ambiance sex-club m'avait manqué aussi, me concoctais-je un look de circonstance, tee shirt blanc, jean, nu dessous, chaussettes de tennis blanches et baskets bien évidemment. J'enfilai un blouson et me rendis dans la presqu'île pour aller baiser. Lorsque je descendis du métro à "Hôtel de Ville", je n'étais pas encore décidé sur l'endroit où je voulais me rendre et j'optais finalement pour le Trou. Il devait être à peu près 14 h 30 lorsque j'entrai. Le temps de poser mon blouson et je commençai à errer dans l'endroit à peine éclairé. Il y avait peu de mecs, je pense qu'il devait être trop tôt et soit je ne plaisais pas, soit eux ne me plaisais pas.
Au bout d'une demi-heure, je me dis que j'allais sortir me balader et que je reviendrai plus tard, mon ticket me permettant des aller-retours. J'allais donc jusqu'au bar pour récupérer mon vêtement lorsqu'un mec sonna à la porte et entra. Il n'était pas trop mon genre mais, je ne sais pas pourquoi, il m'attira d'emblée. Je me ravisai donc et décidai d'attendre de voir si j'allais lui plaire. Je le surveillai du coin de l'oeil. Il se déshabilla entièrement. Il allait donc circuler au milieu de nous nu, en baskets running. Je trouvais la situation excitante. Il y avait d'autres gars nus ou en slip mais ils ne me faisaient pas le même effet. Le mec était de taille moyenne, plutôt mince, un peu poilu mais pas trop, le cheveux presque rasés, difficile du lui donner un âge. Il était relativement bien monté et son sexe et ses couilles étaient emprisonnées dans un énorme cockring en métal. J'eus tout d'abord l'impression qu'il ne m'avait pas remarqué. Il déambulait, à poil, sans trop regardé les autres. Je le suivis à l'étage le plus près du bar. Il avait pénétré dans la grande cabine équipée d'un lit à barreau qui s'y trouve et s'était assis le regard dans le vague, les jambes écartées, son sexe alourdi par le cockring pendant entre ses jambes.
Je pris mon courage à deux mais et vint me planter devant lui. D'une manière très sensuelle, il frotta sa gueule contre la braguette de mon jean. C'était hyper excitant et je bandais très dur. Je le devinais très soumis et le relevai pour l'embrasser. Nos langues se mêlèrent, nos bouches se dévoraient, c'était vraiment excitant. Sans prendre la peine de fermer la porte, il ôta mon tee-shirt et commença à me mordiller les tétons assez fort alors que je pinçais les siens. Vous le savez, c'est le genre de truc qui m'excite à mort et je bandais tellement que je crus que les boutons de la braguette de mon 501 allaient exploser. Il se colla contre moi et m'embrassa à nouveau tandis que je lui empoignai les couilles et tirai dessus assez fort. Il gémissait et sa langue s'enfonçait encore plus profondément dans ma bouche. Il baissa mon jean très lentement le long de mes jambes et commença à me lécher la bite, le pubis, les couilles puis sa langue descendit doucement le long de mes jambes. C'était terrible, il s'était mis à quatre pattes dans une position très excitante, le cul super cambré, les jambes écartées et il léchait mes baskets. J'adore ce genre de plan et je me penchai légèrement pour lui écarter le cul.
Après avoir humecté mes doigts, je les fis entrer en lui sans aucune peine tandis qu'il continuait à décrasser mes Adidas. C'était excellent. Plusieurs mecs mataient mais n'osaient pas entrer dans la cabine. Il gémissait, léchait, se cambrait encore plus. Je le relevai légèrement et il recommença à me sucer. C'était excellent. Je le fis mettre à quatre pattes sur le lit sans lui dire un mot et il reprit sa position cambrée. Le cockring se balançait toujours entre ses jambes entrainant sa bite et ses couilles lorsque, après avoir enfilé une capote, et m'être débarrassé de mon jean, je l'enculai d'un coup sec. Il gémit, je me penchai sur lui et il se retourna pour m'embrasser encore. Je le tenais par les épaules et lui assénait des coups de reins violents au possible. Il gémissait. Il ouvrit un flacon de poppers et me le tendis. Je sniffai. Il en fit autant et je me mis à le défoncer encore plus fort. C'était vraiment génial. En plus, dans ce genre de circonstances, j'étais assez exhib et la présence d'autres mecs dans la cabine qui mataient m'excitait encore d'avantage. Après un moment de ce traitement, je me retirai et jetai la capote. Je me rendais bien compte qu'il lui serait impossible de jouir avec l'attirail qu'il se trainait mais tant pis pour lui. Je le refis sucer en lui tenant la tête. J'avais envie de lui éjaculer sur la gueule mais je me retenais. Il m'attira contre lui et m'embrassa encore en me pinçant les tétons.
"Vas-y..." chuchota-t'il à mon oreille.
Je le repoussai et lui jetai mon sperme sur la tronche. Je n'éjacule pas toujours beaucoup quand je suis défoncé au poppers et quand je suis si excité mais cette fois, je l'inondais, son visage, son crâne et son torse étaient complètement trempés.
Je me relevai, je lui tendis du papier pour qu'il puisse s'essuyer, puis je récupérai mes pompes, mon tee-shirt et mon jean éparpillés sur le sol et l'embrassai. Je me rhabillai vite fait et sortis. Entre-temps, il avait déjà la queue d'un autre dans la bouche. Je redescendis me rafraichir aux toilettes puis m'assis un moment devant l'une des vidéos porno pour reprendre mes esprits. Quelques minutes plus tard, il réapparut devant moi et m'embrassa.
"Merci..."
"Merci à toi..."
'Moi, c'est Stan."
"Jean-Philippe... Tu viens souvent ?"
"Le samedi oui de temps en temps..."
La conversation était super banale, mais elle me permis de me rendre compte qu'il était quand même jeune, je dirai une petite trentaine.
Je l'ai revu une fois ou deux après ça et nous avons baisé mais ce n'était pas aussi excitant car je me rendis vite compte que je lui plaisais sans plus et que ce qu'il voulait surtout c'était un partenaire très chaud. Je préfère quand même sentir le désir chez l'autre.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Maxime
Jérôme et un daddy costaud | Cyrille | Benjamin | Stephane | Philippe | Emmanuel Corentin | Bertrand | Yann | Christophe | Mehdi | Benoît | Bertrand et Romain | Hugues | Bâtard69 | Rodrigue | Bruno | Mounir | Jean Philippe | Alban | Fred | Florent | Régis | Lakdar et Axel | Alain | Antoine | Valentin | Thibaud | Sauna oasis lyon | S et moi | Romain et jean jacques | Philippe | Mathieu | Florent | Edouardo | David 1er sous sol lyon | Beau black au sexshop | Maxence | Karim | Clement | Aymeric | Xavier | William G | Un autre Karim | Tristan Malik Jean Christophe | Thierry | Thibaud | Thibaud Rachid | Thibaud et mec en cuir | Thibaud encore | Sylvain | Sylvain Malik JC | Sylvain Jean Philippe | Eric | Seb | Raphael | Pierre | Patrick | Patrick 2 | Patrice | Nasser | Medhi | Maxime | Malec | Luc | Leo | Laurent | Kevin | karim | Jocelyne et Rudy | Jerome | jeremy | Jean Claude | Igor | Herve | greg bogosse | Georges | Gael | Fabien | Eric | Arnaud | David | Damien | Cyril jean_marc moi | Christophe | Christophe et jean_pierre | Cedric et mec brun | Bertrand | Bernard | Aymeric | Aurelien | Arnaud sm | Adrien | Mec au trou à Lyon | Romain