Christophe
Bien sûr je m'étais déjà tapé des hétéros ou soit-disant bi avant, mais le premier plan que j'ai fait avec Christophe est assez insolite pour être raconté. C'était à la rentrée 2006. Je bossais à Lyon et nous répétions sur les pentes de la Croix Rousse, quartier interlope s'il en est. Je déjeunais seul tous les jours, avant d'aller au boulot dans un petit resto de la rue Royale et j'avais commencé à discuter avec certains habitués dont Fabienne, une fille grande, brune très "tape à l'oeil". Dès le début, j'ai pensé qu'elle avait un métier en rapport avec le sexe. J'ai même eu l'impression que c'était une pro. Je n'étais pas très loin de la vérité. Elle était associée dans un club échangiste, je n'ai jamais vraiment su lequel ni où il se trouvait mais un jour, elle m'en parla ouvertement tout en me précisant qu'elle sentait bien que je ne serai pas choqué. Je la mis tout de suite à l'aise en lui précisant que je n'étais pas un bon client car j'étais homo et que les filles, si sexys qu'elles puissent être, ne m'attiraient pas du tout. J'ai aussitôt vu son regard s'allumer. Je pense que je lui plaisais bien mais ça a tout de suite fait tilt ! Elle m'a regardé et m'a confié un truc : son copain fantasmait sur une relation homo. De but en blanc, elle me demanda si ça me branchait. Elle me précisa qu'il lui avait confié qu'il serait même assez soumis avec un mec. Je lui souris et acceptais de le rencontrer. Franchement, j'aimais m'idée et s'il me plaisait, j'étais tout à fait prêt à le dépuceler et même à le secouer un peu. Elle l'appela sur son portable et un rendez-vous fut pris pour le même soir dans un café vers 19 h. J'ai eu bien du mal à me concentrer cet après-midi là.
Le soir, je m'installais à une table d'un des bars branchés de la rue de la Bourse et commandais une coupe de champagne. Il fallait vivre comme les bobos du coin. Je suis loin d'être radin mais je me suis dit que ça allait me coûter un bras. Quelques minutes plus tard, Fabienne et Christophe sont arrivés. Tout de suite je me suis dit que je n'aurais pas à me forcer. Il était très différent de ce à quoi je m'attendais mais il me plut tout de suite. Pas très grand, presque plus petit qu'elle, baraqué, il portait un jean Diesel taille basse, très à la mode, des Converses (cool), j'appercevait l'élastique de son caleçon, je crois que c'était Armani ou un truc comme ça, et un tee shirt moulant qui dessinait ses tétons et ses pectoraux. Trapu et bien foutu, je le trouvais tout à fait à mon goût. J'avais du mal à lui donner un âge mais je pense qu'il avait dépassé trente-cinq ans. Nous avons discuté pas mal et il m'a expliqué un peu ses fantasmes, m'a dit qu'il avait l'habitude de faire de l'échangisme mais qu'il n'avait jamais franchi vraiment le cap dans le club de sa copine à part quelques pelles et quelques pipes. Elle précisa qu'elle avait déjà utilisé des godes sur lui. J'acceptais donc de le recevoir le vendredi en fin d'après-midi. Je lui donnais donc mon numéro de portable et mon adresse. Fabienne paya nos verres et je rentrais chez moi.
A l'époque, j'habitais encore un appartement du troisième. La chambre était un peu petite mais, comme dans bien des immeubles haussmaniens du quartier, le salon était très grand et ne manquait pas de cachet. A midi, le vendredi, je m'habillai pour aller faire quelques courses avant de recevoir mon "invité". Je choisis ma tenue avec soin. Il fallait que je me la joue très viril. J'enfilai donc un jean assez destroy, pas de calbut, des chaussettes de tennis noires (très petit lascar), des baskets Nike TN que j'avais acheté peu de temps avant, un tee shirt blanc qui mettait ma peau encore un peu hâlée par le soleil de l'été (je précise que je ne m'expose jamais mais que je bronze tout de même un peu). Je sortis et rentrai vers 16 heures. J'attendis. A 17, heures précises, on sonna à l'interphone. Je me préparai à jouer les machos pendant que Christophe montait par l'ascenseur. Je le pris par la nuque dès qu'il entra et le collait contre le mur pour lui rouler une galoche absolument monumentale. Je vis tout de suite qu'il était nerveux. Il était habillé dans le même style que lors de notre première rencontre. Je le fis déshabiller devant moi alors que je m'étais installé sur le sofa. J'avais décidé de le baiser dans le salon. Il a retiré son tee shirt. Il était assez musclé, pas si poilu que j'aurais pu l'espérer mais j'aimais bien son torse. Je le fis mettre à genoux, torse nu et lui fit embrasser mes pompes. Je lui avais fait sniffer du poppers dès son arrivée. Il retira ma première basket et mis son nez dedans sans que je n'ai rien eu à lui demander. Ca m'a fait bander. Il se lâchait facilement et c'était super excitant. Je l'ai fait foutre à poil devant moi alors que j'avais encore mon tee shirt et je l'ai obligé à garder ses Converses (vertes, très sympas). Il était nu comme un ver, il bandait comme un malade. Vraiment, ce plan il en avait eu envie. Il ne fallait pas que je le déçoive. Je lui ordonnait de se mettre à genoux et je me levai. Je sortis ma queue de mon jean et lui dit "bouffe, fais ta pute". Il s'exécuta en me regardant avec des yeux terribles et soumis. Je commençais à lui titiller les tétons puis je décidais d'empoigner sa tête pour le faire sucer plus vite. Je commençais à être un peu défoncé par le poppers moi aussi. Il s'étouffait avec ma bite mais ne la lâchait pas du tout et continuait à s'appliquer. J'étais super excité. Je le fis ramper devant moi sur le parquet pendant que j'enlevais mon tee shirt et mon jean. J'étais nu en chaussettes devant lui et il commença à embrasser mes pieds. Tonique et sportif comme il était, je n'avais aucun doute que je pourrais le baiser dans des positions acrobatiques par la suite mais d'abord il fallait le prendre sans lui faire mal pour ne pas le dégoûter.
Je le fis sucer, lécher mes boules, mes jambes, mon torse puis, une fois qu'il fut debout, je l'ai embrassé en le poussant sur le canapé. "Tu la veux ?" Ah ouais !". Je le fis mettre à quatre pattes et commençais à lui bouffer le cul. J'y allais carrément, il gémissait, ma langue entrait dans son trou sans trop de peine même si, par moment il se contractait. Le poppers et l'excitation aidant, il finit par se dilater. Je lui mis un doigt. Je sentis une résistance alors s'ensuivit une nouvelle séance de bouffage de cul. Il gémissait, grognait. J'enfilai une capote et entrai en lui très doucement. Le passage du gland fut difficile et je pense même que j'ai du lui faire un peu mal car il s'est contracté mais n'a pas cherché à me fuir. Ensuite ma bite est entrée dans son cul assez facilement et j'ai commencé des va et viens assez lent. Je le sentais se dilater de plus en plus alors j'ai posé une main sur sa nuque, une autre sur sa taille et j'ai accentué le mouvement. "Tu la sens ?". "Ouais, continue, j'aime". Je ne me suis pas fait prier et mon pubis claquait désormais contre son cul. Il grognait de plus en plus. Je me retirai d'un coup et le fis allonger sur ma table. Il me faisait face. Je voulais voir son expression pendant que je le baisais. Je ne fus pas déçu, son regard en disait aussi long que ses gémissement, je l'embrassais en lui tenant les poignets. Je sentais qu'à peine il se toucherait, il éjaculerait et je voulais faire durer le plaisir. Il était surexcité. Le lâchais ses mains pour me reculer un peu et empoigner ses chevilles. Il était toujours nu en pompes et j'adorais ça. Je l'autorisai à se branler. Il le fallait bien. Il éjacula dès que sa main toucha son sexe et moi, quelques secondes plus tard dans la capote.
Je me retirai. Il a souri. J'ai déposé un bisou sur son cou. Il s'est relevé. "T'as aimé ?". "Putain, c'est trop bon !". "On recommence quand tu veux." "Pas de soucis." Je l'ai autorisé à prendre une douche. Il est revenu en se séchant et s'est habillé. Je crois qu'il était un peu gêné d'être nu comme ça dans mon salon alors qu'on avait fini. Je lui ai offert un verre et j'ai réalisé que nous avions baisé plus d'une heure. Il m'a proposé un autre plan un soir de la semaine. J'ai dit que si c'était d'accord avec sa copine, pour moi c'était cool. Nous nous sommes revus quelques fois pendant les mois suivants puis ça s'est espacé et je me suis lassé. J'avais d'autres amants en même temps dont un auquel j'étais un peu attaché sans vraiment être amoureux mais je le voyais souvent. Je n'ai revu Fabienne ni Christophe depuis très longtemps mais j'en garde un bon souvenir.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
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