Greg
Greg est ce qu'on appelle un beau gosse ! Tout à fait le genre que l'on rencontrerait dans un sauna et dont on dirait "celui-là c'est même pas la peine !" et pourtant... Lorsque je l'ai rencontré, il avait une vingtaine d'années et moi vingt-huit. Je venais de me réinstaller à Lyon et je fréquentais un groupe d'artistes de tout poil (sans jeu de mot) qui traînait dans le 1er arrondissement. Les pentes de la Croix-Rousse sont un vivier pour les intermittents qui y vivent en masse. Greg venait d'entrer en fac mais passait tous son temps dans un magasin de musique de la place du Griffon. Blond, pas très grand, les cheveux rasés toujours habillé de tee shirts trop grands et de treillis un peu déchirés. Je le trouvais très mignon mais il me semblait plus attiré par les filles qu'autre chose. Il se vantait d'ailleurs devant nous de ses conquêtes féminines.
Il avait intégré la petite bande de copains mi-intellos mi-rebelles à laquelle j'appartenais de loin à l'époque. Un matin, je buvais mon café dans un petit troquet près de l'opéra et j'eus la surprise de le voir débarquer. Il avait plutôt l'habitude de se lever tard et il devait être 8 heures du matin. Surpris, je l'invitais à se joindre à moi. Il était en pleine forme et nous avons plaisanté sur le sexe. Je n'ai jamais fait un mystère de ma sexualité et, à l'époque, je passais allègrement d'un mec à l'autre et il le savait. Ma devise était du genre "des amants et pas de mari !". Nous avons rigolé vaguement en consommant des expresso puis la conversation s'est fait plus précise et, dirons-nous technique ! En plaisantant je lui lançai que si ça l'intéressait tant que ça, je voulais bien me dévouer. Il faut dire que je ne ratais aucune occasion de le mettre en boite. Son côté petit macho m'amusait beaucoup. Il me prit au mot en me disant qu'un de ces quatre il passerait chez moi et me "choperait sur le parquet !". Nous en avons rit et en sommes restés là.
Deux jours plus tard, 14 heures, je ne bossais que le soir et je faisais du rangement, on sonne à l'interphone. C'était Greg. Sans soucis, je le fais monter et lui propose un café. Il s'assis sur le canapé et attendis que je revienne avec les tasses. Je n'avais pas pris ses commentaires au sérieux aussi je me suis assis dans un fauteuil en face de lui. Je lui proposais du sucre car j'avais oublié d'en amener vu que je n'en consomme pas. Je me levai, allai dans la cuisine quand tout d'un coup, je le sentis derrière moi. Je n'eus pas le temps de me retourner. Il me tenait par le torse et m'embrassait dans le cou. Collé à moi, je sentis son sexe dur contre mes fesses et ça m'a fait bander aussitôt. Je me retournai et essayai de l'embrasser mais il détourna la tête. Sans me décourager je lui enlevai son pull trop grand et son tee shirt d'un seul coup. Il fit de même avec moi. Il n'était pas intimidé du tout et commença à me mordre assez fort un téton. Je suis très sensible à cela et j'avais du le lui dire. Je défis les boutons de mon 501 car je commençais à me sentir à l'étroit. Il le baissa d'un coup ainsi que mon slip et se mit à genoux devant moi. Il commença à me caresser en me décalottant. Ses gestes n'étaient pas du tout maladroit. En fait, en dépit de son âge, il avait pas mal d'expérience avec les filles et je me dis qu'il l'appliquait à moi. A ma grande surprise, il prit ma queue dans sa bouche et commença à me sucer un peu maladroitement mais j'ai adoré. J'ai posé mes mains sur ses épaules n'osant pas lui prendre la tête. Il enfonça ma bite complètement dans sa bouche. Je le fis relever car j'eus peur d'éjaculer. Là, je le collai contre le mur en lui tenant les poignets et je l'embrassai dans le cou en passant ma langue sur sa barbe de trois jours. Je n'en revenais pas. Je défis sa ceinture et sa braguette, son treillis tomba sur ses chevilles. Il portait des Van's de skater très à la mode à l'époque et se débarrassa de son pantalon. Il était en caleçon et chaussures au milieu de mon salon et moi !
totalement nu. Je lui baissais son calbut. Son corps était encore assez juvénile : imberbe sur le torse mais le pubis et les jambes très poilus ainsi que les avant-bras. Il était dessiné car je savais qu'il faisait du sport. Bref, c'était un mec de vingt ans bien gaulé et qui savait ce qu'il voulait. Il ôta ses chaussures et son caleçon et se retrouva nu en chaussettes de tennis, la bite très raide. Je l'entraînait dans ma chambre et le jetait sur mon lit. Je me mis à le sucer et à le lécher partout y compris sur le torse et sous les aisselles. Il n'en revenait pas. Sa queue était d'une raideur indescriptible. Je commençais à lui titiller l'anus avec mon doigt. Il essaya de me repousser mais j'insistai. Il finit par se laisser faire. Je le retournai et lui bouffai le cul avec application. Il était comme un dingue en serrant ma couette entre ses mains.
"Tu veux que j'arrête ?"
"Non, continue, c'est trop bon".
Je pris du gel dans le tiroir de la table de nuit et je commençai à lui entrer un doigt. Le beau gosse qui se la jouait était comme un petit animal sans défense et ça m'a excité encore plus. Il me branlait.
"Tu veux que je te prenne ?"
"Ca me fait peur"
"Tu verras, ça va te plaire"
J'attrapai une capote dans le même tiroir et je l'enfilai. Il se contracta mais je le caressai tant et si bien qu'il finit par se relâcher. Je lui promis d'aller doucement et m'insinuai en lui centimètre par centimètre l'entendant gémir, sa tête dans l'oreiller. J'étais totalement en lui et je commençai de petits va et viens. Je le sentais se dilater plus rapidement que je ne l'aurai cru. Il était à plat ventre et moi sur lui. Il devait sentir mon souffle dans son cou. Je lui tenais les poignets et accentuait mes va et viens mais il se redressa et se mit à quatre pattes, il voulait se branler. Je le laissai faire et il éjacula sur mon lit assez vite et moi dans la capote. Je me retirai très rapidement pour ne pas lui faire mal. Il se laissa lourdement tomber sur mon lit et me sourit.
"Tu dis rien aux autres ?"
"T'inquiète. T'as aimé ?"
"Putain trop"
Nous sommes restés là sans parler quelques temps puis je lui ai proposé une douche. Il a refusé. Nous sommes retournés dans le salon et avons bu un café froid comme si de rien n'était.
Nous avons baisé plusieurs fois par la suite puis il a quitté Lyon, commencé à bosser à Paris et emménagé avec une fille. Nous nous voyons toujours et il ne se cache plus d'avoir couché avec moi. Je ne sais pas s'il y a eu d'autres mecs et je trouve flatteur de toute manière d'avoir été le premier.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
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