Patrice
Je ne sais pas si vous avez remarqué mais lorsque l'on est célibataire, il y a toujours une bonne copine pour essayer de vous caser ! Chez moi, c'est Emilie. Nous nous connaissons depuis toujours et avant que je me mette avec S, elle était désespérée pour moi car je n'avais pas de petit gars pour m'attendre à la maison. Elle m'a donc tendu un piège il y a quelques années en me présentant Patrice , un de ses copains. Les bonnes copines ne savent pas toujours quel genre de mec vous attire. C'est le moins que l'on puisse dire. Dans l'absolu, Patrice est mignon mais il a une tare terrible pour moi : sans être réellement efféminé, il est ultra branché (tout ce que je déteste, j'avoue que j'ai un faible pour les mecs au look presque ringards)
Il m'avait allumé toute la soirée. Visiblement, s'il me plaisait moyennement, il avait craqué sur moi. C'est toujours flatteur. Vous commencez à me connaître, j'ai eu envie de jouer avec ça. Très facile pour moi d'entrer dans la peau d'un macho dominateur. Je me suis dit que, finalement, une partie de cul avec un petit con qui se la joue, ça ne se refuse pas. Je me propose donc de le raccompagner et il me demande de monter boire un verre. J'accepte. Le plan drague normal. Déjà dans l'ascenseur, je pose la situation. Je me mets derrière lui et l'étrangle légèrement avec mon avant-bras. "Toi, t'as envie de te faire défoncer !". Il chuchote un vague "oui". Il tremble, il colle son cul contre ma braguette. Je le mords dans le cou. Il se colle encore plus. L'ascenseur s'arrête. Il ouvre la porte nerveusement. Je le pousse à l'intérieur. "Fous-toi à poil !". Il jette sa veste dernier cri sur un fauteuil et déboutonne sa chemise. Il me tourne toujours le dos. Il ne dit rien. Il défait sa ceinture, baisse son fut. J'ébouriffe sa coupe de cheveux à la mode en me collant à lui. Il a le jean baissé, il porte un calbut Armani. Le petit gars a prévu le coup. Il enlève ses pompes facilement, se débarrasse de son jean. Il est en caleçon et chaussettes devant moi. Il transpire un peu et tremble à chaque fois que je le touche. J'enlève mon blouson. C'est étonnant de vois comment ce genre de petit con qui ne te regarderait même pas quand il est avec ses potes, mouille dès qu'il s'agit de se faire baiser. "Vire ton slip et tes chaussettes !". Il est nu en un clin d'oeil. Il bande. Pas mal monté. Un long prépuce. Il est mignon débarrassé de tous ses artifices. Je continue le jeu. Je m'assieds sur le canapé. "Enlève-moi mes pompes." Il ôte mes Cat montantes noires et regarde mes pieds en chaussettes blanches. Il comprends que je suis un peu fétichiste et les embrasse en enlevant mes chaussettes. Je ne peux plus tenir dans mon jean. Je déboutonne ma braguette. Vu que je ne porte pas de sous-vêtement, ma bite sort. Il remont!
e le long de mon jean avec sa langue et commence à me lécher tout doucement. Je le prends par les cheveux. "C'est ça que tu voulais !". Il me suce franchement. J'enlève mon pull. "T'es vachement poilu." "T'aimes pas ?" "Si, tu me plais carrément." "Bouffe !". Il recommence de plus belle. "T'as une capote ?". Il me la tends. "A quatre pattes, grouille !". Il se cambre sur le tapis du salon. Le cadre est génial, je n'avais pas remarqué. Je le doigte. Il gémit. "Baisse ta gueule.". Il pose sa tête par terre. Je ne vois plus que son cul. J'enfile la capote. Je crache dans son trou et je rentre un peu brutalement. Il s'effondre sur le tapis, je m'allonge sur lui. Il écarte les jambes pour me permettre d'entrer mieux. Je commence à le pilonner. "T'as mal ? J'arrête ?" "Non, continue..." Il serre le tapis dans ses mains. Il gémit, je le pilonne. Il se raidit, se relâche. Je le retourne sur le dos et entre à nouveau. Il est super ouvert. Il me plaît pas mal finalement malgré son torse épilé et son corps trop fin. Je lui roule une pelle pour qu'il n'ameute pas les voisins et je le branle en même temps que je le baise. Il ne tarde pas à éjaculer. Dommage, j'aurai bien continué. Je me retire et lui jouis sur le visage
Je me relève, à moitié à poil. Le jean toujours sur mes jambes. Il y a du sperme partout. Il me souris sous la masse gluante. Je lui fais un clin d'oeil, le rhabille et m'en vais. Je ne suis pas vraiment sorti avec lui mais c'était une bonne partie de cul. On s'est revu un peu de temps à autre mais on n'a jamais rebaisé.
Stanlyon
stanloeb@yahoo.fr
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