Premier épisode | Épisode précédent
Merde !!!
Je passe sous la douche et commence à me laver consciencieusement. Heureusement, je suis seul.
Alors que je finis de me rincer les cheveux, je devine une silhouette sous la douche face à moi.
Je me passe la main sur les yeux.
C'est lui.
Et c'est un nouveau torrent d'hormones qui se déverse dans mon sang et qui l'embrase.
Il se lave. Il me tourne le dos. Il savonne ses épaules, ses jambes, ses bras, son dos... Il se retourne, yeux fermés, et continue par ses pectoraux et son ventre. D'un geste rapide, il entrouvre son jammer et va savonner sa...
Sa putain de bite !!!
Je crois que j'ai dû sécher en trois secondes tellement la chaleur est montée en moi.
Il finit par ses cheveux, les yeux encore fermés, mais toujours face à moi. D'un coup sec, il déclenche la douche et se rince. Il passe ses mains partout... Y compris sur sa bite et ses couilles.
Putain de merde je vais le rincer moi !
Lorsqu'il est entièrement rincé, il relance le jet -alors qu'il a les yeux toujours fermés- et se détend sous le jet d'eau chaude. Je vois ses muscles se relâcher... un par un presque. Mes yeux oscillent toujours entre son sexe, ses cuisses, ses épaules.
La douche s'interrompt.
Il ouvre les yeux sans prévenir.
Il me transperce littéralement du regard.
Putain... Je n'ai pas bougé d'un poil depuis qu'il a commencé à se savonner. Et il l'a vu. Et je rougis à nouveau.
Il va récupérer sa serviette et se dirige vers les casiers, comme si de rien n'était.
Je fais de même et m'aperçois que mon boxer de bain bleu ne cache rien de ma queue de nouveau raide. Je pose ma serviette dessus. S'il n'a rien vu c'est qu'il est aveugle ou pas intéressé du tout.
Je récupère mes affaires dans mon casier. Je me rends aux cabines pour en trouver une vide.
Il arrive juste derrière moi... De sa démarche féline il ouvre la première cabine qui se présente.
Ca va être la fin de mon cauchemar...
Il va refermer cette porte et sortir de ma vie.
Mais, alors qu'il entre, il se retourne vers moi et d'un geste de la tête me fait signe d'entrer avec lui.
C'est n'est pas une suggestion.
Ce n'est pas une invitation.
Ce n'est pas une sollicitation.
C'est un ordre.
Je rentre alors dans la cabine. Il me domine d'une dizaine de centimètres.
Il accroche son sac d'un geste distrait et fait tomber le mien par terre.
Il m'embrasse alors sans autre préliminaire.
J'essaye de résister mais toute résistance fond en moi en un instant.
Il n'y a plus rien d'autre que lui.
Il me caresse durement. Ses mains sont puissantes. Je sens son corps contre le mien. Je sais que sa queue est à présent dressée et prête à l'action.
Il me retire sa bouche, me repousse légèrement, me considère un instant du regard et de ses deux mains il empoigne mes épaules pour me forcer à m'agenouiller.
A genoux, j'ai une vue directe sur sa queue et ses couilles. Je n'attends pas un instant de plus. Je descends son jammer et découvre une queue énorme, circoncise, épilée comme le reste de son corps.
Je n'y tiens plus. J'avale ce sexe comme si c'était le premier de ma vie. Son gland est brûlant dans ma bouche, je m'attends à entendre le bruit de la vapeur.
Il commence immédiatement à me limer la bouche en rythme, fermement mais sans violence. Je vais virevolter ma langue sur son sexe, découvrant les moindres détails de sa verge énorme, de son gland lisse et pointu. Il retire sa queue, la plaque contre son ventre en me présentant ses couilles.
Je reporte les attentions de ma langue sur ces deux globes délicieux. Je les prends en bouche et fait courir ma langue dessus.
Après cela, il se penche vers moi en tendant ses lèvres. Je me relève et l'embrasse à nouveau à pleine bouche.
Il me caresse les reins et... Tout aussi soudainement et brusquement que pour m'agenouiller... Il referme l'étau implacable de ses mains sur mes hanches et me fait faire demi-tour.
Son sexe est immédiatement collé contre mes fesses. Je tente de protester que je suis actif mais il plaque une main sur ma bouche avec un " chut " très doux à mon oreille.
Il baisse mon boxer. J'entends le bruit d'un flacon expulsant un liquide qui est immédiatement appliqué sur mon anus. Ca pique un peu.
J'ai à peine le temps de sentir son gland contre moi qu'il le fait entrer au plus profond de moi d'une seule poussée. Sa main sur ma bouche étouffe mon cri de surprise.
Je sens ce membre énorme en moi.
J'ai mal.
J'ai envie de crier mais je ne peux surtout pas.
Plus de quatre mois que personne ne m'a pénétré. J'ai l'anus d'un puceau.
Il relâche son étreinte et me fait me pencher en avant. Je m'exécute.
Il fait coulisser lentement son membre en moi.
C'est terrible et délicieux. Je l'imagine en train de me prendre... J'assiste à la scène de loin et ça m'excite.
Pendant plusieurs minutes il m'encule ainsi sans un bruit.
J'entends les voisins de cabine s'habillant ou se déshabillant. Des enfants réclamants leurs chaussettes, des mères beuglant pour rameuter leurs marmots.
Et moi, pendant ce temps, je me prends la queue énorme et superbe d'un mec terriblement beau et séduisant.
Il finit par se retirer complètement. Je sens qu'il prend sa serviette.
A-t-il joui en moi ? Va-t-il se finir tout seul ?
Non. Il essuie son membre et me le tend.
Je me remets à genoux et reprends ce chibre énorme en bouche. Je le suce avidement. Je n'ai pas eu de nouvelle queue depuis des mois. Je salive énormément et je fais se balader ma bouche sur ce bel engin. Je le sens de plus en plus dur.
Deux mains qui me bloquent la tête.
Spasme.
Ma bouche est emplie de sperme.
Une quantité impressionnante de jus.
Il émet alors un petit soupir, discret, sans commune mesure avec le tsunami qui vient d'envahir ma gorge. Il plonge son sexe encore dur au plus profond de ma gorge. Lorsque je commence à m'étouffer il se retire, enfin, me permettant de respirer.
Il me regarde et la seule chose qui me vient à l'esprit est de tout avaler. J'ingurgite son jus et me relève. Je m'approche pour un baiser mais il me repousse.
Rien ? Il ne va pas me sucer ? Il ne va pas me proposer ses fesses ?
Voyant ma mine déconfite, il me prend contre lui et me caresse le dos...
Je reprends espoir...
Mais il se contente de me retourner... Son sexe à nouveau sur mes fesses... Il empoigne ma queue et se mets à me branler. Sans douceur, il astique mon chibre dur comme le granite.
Il me faut quelques secondes pour sentir monter le sperme...
Lorsque j'éjacule je serre les dents pour ne pas faire de bruit. Je sens mon sexe se raidir plusieurs fois et lâcher la sauce avec un bruit discret d'impact contre les parois. Ca me fait mal tellement c'est puissant.
Splach... Splach... Splach...
Je sens contre mes fesses le sexe de mon partenaire se raffermir. Je le prends en main pour le caresser et sentir encore cette queue majestueuse dans ma main.
" -T'en veux encore ? " Me dit-il tout bas.
" - Oui. " Dis-je...
Et sans un mot il replace sa queue devant mon anus et l'y enfonce violement.
Mais comme la première fois, sa main s'est refermée sur ma bouche avant que le moindre son ne franchisse mes lèvres.
L'éjaculation m'a refermé et la douleur est plus vive alors que la queue va et vient en moi.
Il m'oblige à nouveau à me pencher en avant et, m'empoignant par les hanches, il me pilonne à nouveau.
Plus vite. Plus fort. Plus nerveusement.
Je sers les dents. Je ferme les yeux. Cette fois je ne suis plus qu'un anus maltraité. Les larmes me montent aux yeux.
J'ai mal. C'est boooooon ! Mmmmm... Vas-y démonte moi ! Arrête j'ai mal !!! Non... Oui... Je ne contrôle plus rien ! J'adore !!! Non !!! Arrête... Continue... Plus profond !!! Non !!! Si... Oui !!!
Je tente de la main de l'éloigner de moi mais son emprise est implacable. Cela ne s'arrête pas. Je ne sais pas combien de temps ça dure. Mais cette fois, je sens sa queue se raidir en moi et je sais qu'il éjacule en moi.
Au moment précis où je sens qu'il vient, je me retourne vers lui incrédule et découvre son visage tendu et fermé alors qu'il vient de prendre son plaisir.
Il se retire.
Il me redresse, remonte son jammer, remonte mon boxer, ouvre la porte côté vestiaire et me fait signe de sortir.
" - Mais...
- Pas de mais. Salut.
- Mais... Je...
- Aller dégage... "
Il avait dit cela avec sur le visage une expression d'impatience agacée.
" - Je croyais...
- Quoi ? T'as eu ce que tu voulais non ? Si on se recroise tu sais quoi faire.
- Mais je voulais pas que...
- Que quoi ? Je t'ai pas obligé à entrer. Bye bye. "
Et il referme la porte sur la " conversation " et notre " relation ".
J'entre dans une cabine voisine, je ferme derrière moi. Je l'entends se rhabiller juste à côté de moi.
Je me penche sur mon sac et m'aperçois avec horreur qu'il est couvert de sperme.
D'un seul coup je réalise ce que je viens de faire.
Les larmes jaillissent.
Quentin !!!
[Merci pour vos messages positifs et négatifs ! Continuez ! Si vous avez envie de lire d'autres choses, n'hésitez pas à me le dire. Les commentaires et suggestions sont les bienvenus ! ]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
Autres histoires de l'auteur : Rapt | Un hasard | Tennis ? Plus Jamais ! | Tournoi en chambre | Pipe en jean... | Ma deuxième année de Fac | Au boulot | Le pinceau du peintre | Soirée étape | Ma première histoire | Et in inferno ego | Le dépôt | Mon petit beur | Première année de Fac