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Perdu

Je suis en randonnée en Ile-de-France. Il fait chaud et je suis en short et t-shirt. A la sortie d’un village je cherche la bifurcation pour quitter la route et grimper sur le coteau. Pas loin de là où je dois tourner, je repère un mec torse nu dans sa cour : il bronze sur une chaise en plastique ; torse musclé sans être gonflé, short de foot en nylon, baskets, chaîne en or qui se perd dans les poils du torse. Je fais celui qui regarde autour de lui à la recherche d’indices. Je vois ma bifurcation, mais je me dis que c’est trop beau pour ne pas s’en repayer un tour, alors je continue, puis reviens sur mes pas : même jeu, je regarde autour de moi et j’en profite pour reluquer le mec torse nu dans sa cour ; j’aime bien son côté Français moyen, le type bien ordinaire, pas le top model, mais le gars qui s’entretient, qui joue au foot avec les copains le week-end, peut-être : je l’imagine avec ses potes, ils font deux équipes, sans rien dire il se met torse nu et tous les mecs de son équipe font pareil ; ou alors il lance à ses coéquipiers : « allez les mecs, on joue torse nu » et tous virent le haut pour faire l’équipe torse nu.

Nos regards se croisent, je fais un signe de tête sans rien dire, il ne bronche pas. Comme je suis revenu sur mes pas, je dépasse la maison, refais demi-tour pour reprendre mon chemin, repasse devant la maison et regarde une dernière fois le mec torse nu qui se fait bronzer. Sauf que là, il me regarde carrément passer, me fait un signe de tête, le genre dont je ne sais pas si c’est un salut ou une façon de dire « c’est quoi ton problème ? » Je réponds par un salut de la tête, l’air sympa mais pas trop souriant quand même. Et c’est lui qui me fait, sur un ton qui confirme mon impression : « on peut vous aider ? » Je réponds « oui, je suis un peu perdu, je cherche le coteau des Vignes. » Du coup je me suis approché de sa grille, il avance vers le portillon : démarche de mec, roulement des épaules, les poils des aisselles qui se montrent à chaque mouvement, la teub qui pointe et balance sous le short. Je le laisse venir en contemplant son torse en sueur et lui lance « fait chaud, hein ? » avant de me mettre moi aussi torse nu, histoire qu’on soit à égalité. Le mec répète « le coteau des Vignes ? C’est pour aller où ? » Je lui explique que je fais une rando, que je cherche à aller à tel endroit, etc. Evidemment « coteau des Vignes » c’était du pipo, juste histoire de faire durer la conversation et de mater son torse. Sauf que c’est le genre de mec qui n’aime pas ne pas savoir, alors il insiste, cherche à voir, on discute, je bluffe, je mate son torse : belle texture de peau, poils soyeux un peu bouclés, tétons larges et lisses, la chaîne en or sur son poitrail velu souligne son côté mâle, la sueur coule au milieu des poils, dans le creux des pectoraux le long du ventre, il a redressé les bras pour les appuyer sur le portillon et ça lui coule des aisselles le long des flancs ; il a le poil châtain foncé.

Et là il me dit « entrez, on va regarder sur la carte à l’intérieur. » Je ne me fais pas prier et, en le suivant jusque dans la maison, je contemple ses dorsaux qui s’agitent à chaque pas : bronzé, belles épaules assez carrées, un peu de poil au bas des reins, il redresse un bras pour s’étirer et je me prends en pleines narines un effluve de sueur chaude et parfumée. Dans le séjour, il monte sur une chaise pour chercher une carte en haut d’une étagère : vue imprenable sur ses cuisses et ses mollets bien poilus, décidément c’est un footeux, il en a les jambes – d’ailleurs je vois les posters de foot et une coupe sur un meuble. Il redescend, étale une carte topographique sur la table, je me poste à côté de lui pour la regarder, il a les bras écartés pour maintenir la carte : encore l’odeur de ses aisselles qui me monte à la tête, la vue de ses bras tendus, muscles bandés, épaules rondes, avant-bras garnis de poils, belles mains musclées et bronzées où les ongles paraissent très clairs et très roses. Il me montre où on est, je montre l’itinéraire que je veux faire, nos bras se frôlent à chaque geste, il se redresse, me fait face et me montre par la fenêtre où je dois aller, encore de grands gestes et de bonnes bouffées d’odeur de transpiration. J’ai les yeux rivés sur son torse nu, envie de toucher, de caresser, de passer mes mains sur ses muscles et dans ses poils.

« Vous voulez boire quelque chose avant de repartir dans cette chaleur ? » Ca ne se refuse pas ! Pendant qu’il sort des verres et un truc frais, je lui demande s’il fait du foot, il me dit que oui, je demande où, on parle du club local, des parties de foot entre copains. Tu parles, moi je déteste jouer au foot, ce que j’aime c’est reluquer les mecs quand ils jouent torse nu ! Mais je parlerais bien de n’importe quoi pour prolonger le moment où je le mate, lui, torse nu avec sa chaîne en or sur ses somptueux muscles couverts de poils, qui se gratte négligemment les couilles de temps en temps : j’en ai une bonne érection qui doit commencer à se voir sous le short. Je ne marque pas encore tout à fait midi et le poids du tissu doit maintenir tout ça, mais j’imagine que j’ai une barre horizontale en travers du short. Il a l’air de remarquer, son visage change d’expression, il se passe de nouveau une main sur le torse, me fait « c’est la chaleur ou quoi ? » en se remettant les boules en place. Je dis « désolé » en me couvrant la bite à travers le short. « Faut pas », dit-il en s’attrapant maintenant la queue. On n’est pas là pour causer, alors je me jette à l’eau : je m’approche et la lui tâte à travers le short, il ne dit rien, se caresse encore un peu le torse, je prends ma bite sous le short et me branle en sentant la sienne grossir sous ma main : elle a l’air conséquente mais raisonnable, je me la mettrais bien quelque part.

Je me garde bien de lui caresser le torse parce que ça a pas l’air d’être un tendre, mais je lui demande : « tu suces ? », il répond : « non, mais j’encule ». Il a l’air intéressé alors je lui fais : « OK tu m’encules, mais d’abord tu me suces » en baissant mon short pour montrer mon matériel. Le mec blêmit, regarde ma teub, elle est bandée à mort et elle coule même un peu du méat, je suis assez bien monté dans le genre il paraît, j’en profite pour virer complètement mon short tout en gardant mes godasses, je me remets à lui caresser la queue, sous la ceinture du short cette fois-ci : elle est grosse et ferme, peau douce, veines gonflées, le mec dégouline maintenant à fond. « C’est pas la mer à boire, tu sais », lui dis-je avant de me mettre à genoux devant lui pour avaler sa gaule : elle a un goût salé, la sueur sans doute, à force de passer du temps au soleil sous le nylon du short, plus la mouille. Je me caresse les tétons en le suçant, le mec respire fort puis halète carrément, je lui baisse le short, il le vire, je lui caresse les cuisses et les mollets, ses poils sont super doux, ses muscles bien fermes, cuisses fuselées, mollets galbés, ça doit être beau quand il court, j’aime le contact de sa peau trempée de sueur à cause de la chaleur et de l’excitation… du stress aussi sans doute. Je prends ses fesses à pleines mains : fesses de footeux, rondes et fermes, agréablement velues, avec ce creux sur le côté qu’ont les fesses bien musclées. Je me redresse et passe enfin une main sur son torse. Je palpe ses muscles, essuie la sueur au passage, lui donne une petite claque sur les pectoraux et les épaules : c’est ferme et élastique, un vrai bonheur, les poils de son torse sont légèrement collés et embaument la transpiration.

Je le regarde dans les yeux : « à toi maintenant. D’abord tu me suces, puis tu m’encules. » Il fait non de la tête en essayant de sourire. « T’aimes ça enculer, non ? Les meufs elles se laissent pas trop faire, hein ? Ce serait dommage, tu crois pas ? Allez, suce-moi et après tu peux m’enculer. » Tout en disant cela je lui caresse avidement le torse, je me garde bien de lui rouler un palot, mais quand je reprends sa queue en main, je me débrouille pour que mon torse touche le sien, mes tétons frôlent ses pectoraux, ses poils caressent ma peau, je sens sa chaleur qui irradie et toujours l’odeur de sa sueur qui monte entre nos deux torses nus. Je comprime un peu son braquemart dans ma main, histoire de l’exciter un peu plus, il durcit encore un peu sous la pression, c’est ferme et élastique, j’ai vraiment hâte qu’il me mette, autant que lui de me fourrer le cul : son pieu n’est pas super long, mais il est bien trapu avec un galbe superbe, ça doit ramoner à merveille un bazar pareil. Je m’en repaie un tour dans la bouche, je lui fais le grand jeu : coups de langue sur le gland, gorge profonde, je lèche la hampe, avale l’ensemble, pourlèche le bout avec les lèvres, puis je remonte en lui léchant le ventre, le creux médian de l’abdomen, le torse, un téton au passage, le cou, l’oreille, où je susurre : « t’as envie de me la fourrer dans le cul, hein ? Vas-y, mais suce-moi d’abord ; je giclerai pas, promis. » Je ne quitte pas sa teub de la main, elle suinte, ça me coule dans la paume, je caresse son torse de l’autre main, la passe sous ses aisselles trempées, redescend le long du dos pour la poser sur ses fesses, étrangement fraîches en comparaison du reste.

Je crois rêver en entendant « OK » et en voyant le mec se baisser, me saisir la gaule et la prendre en bouche, timidement d’abord, puis plus franchement. Je l’encourage de « ouais, ouais » appuyés, m’assois pour être plus à l’aise et surtout pour pouvoir palper son torse en me faisant sucer, ses bras et ses pectoraux sont tendus dans l’effort, j’adore le contact de ses muscles bandés, tout mon corps à moi se détend, je me caresse aussi le torse, les tétons, je suis excité à mort, j’ai le cul dilaté au max et suis prêt à recevoir la visite de son pieu, mais je veux faire durer cette pipe autant qu’il le voudra bien, car quand il me mettra je ne pourrai plus caresser son torse musclé, velu et ruisselant. En le voyant, je m’étais un peu dit qu’il avait une bouche à tailler des pipes : lèvres charnues, forme ronde ; mais je n’aurais pas cru qu’il était aussi doué… est-ce que ce mec a juste très, très envie de m’enculer ou est-ce qu’il y prend aussi du plaisir ? « C’est pas la première fois que tu fais ça, mon salaud », le mec grogne, quitte ma queue : « si », répond-il. « Eh ben t’es doué. » Il faut dire que ma queue est assez bonne dans le genre, m’a-t-on dit, elle a un beau calibre, une forme qu’on prend bien en bouche, elle est ferme mais charnue, agréable sous la langue paraît-il. Je me relève tout en lui caressant le torse et lui fais : « c’est bien, tu as droit à ta récompense. »

Je lui sors ma queue de la bouche, il se redresse, je le caresse, lui saisis le gourdin, prends ses boules dans la main, mon short est posé sur la table, j’en sors une capote, tout en lui caressant le torse – je ne me lasse pas de sa texture, de ses formes, de ses poils, de sa sueur – je défais la capote, la lui tends, lui lèche le visage, me crache dans la main, me la passe toute pleine de bave sur le fion, me retourne, me cale contre la table et lui dis : « vas-y. » En un clin d’œil il a posé son gland capoté sur ma rondelle, m’a saisi par une épaule et par la taille, et a commencé à me travailler la porte d’entrée. Sa poigne est ferme mais douce, sa main passe maintenant sur mon ventre. « T’en fais pas je sais y faire » me lance-t-il d’une voix chaude qui me ferait chavirer si ce n’était déjà fait. Le premier centimètre pénètre mon cul, j’ai un peu mal, mais c’est vrai : ce mec est un expert, il me met avec une maîtrise rassurante et irrésistible. « Vas-y, encore, » lui dis-je. « T’en fais pas, tu vas bien la sentir… là, tu sens ? Et là, tu sens ? » dit-il à mesure qu’il fait avancer son pieu centimètre par centimètre dans mes entrailles. C’est bien ce que je pensais, son galbe est parfait : tandis que le manche me dilate le trou, le bout me triture les parois, j’en ai des frissons sur tout le corps. Le mec accélère maintenant la cadence. « Putain, qu’est-ce que tu encules bien. » Il m’a lâché les épaules et la taille, ses mains parcourent maintenant mes hanches, mes fesses, mon dos, passent devant, me caressent le ventre, le torse, les tétons, les aisselles. « T’es pas le premier, t’en fais pas. T’aimes ça, hein ? Tiens, prends ça, » fait-il en donnant un à-coup : une onde me remonte du cul jusque dans la gorge tellement c’est bon.

Il me pilonne maintenant carrément le cul, ses cuisses claquent contre mes fesses à chaque coup, il change parfois d’angle : un peu plus à l’horizontale, un peu plus sur le côté, ce que je préfère, c’est quand il part d’en dessous, tout mon intérieur est en émoi, j’ai les boyaux dilatés, réveillés, stimulés à mort ; ses mains continuent à me caresser le torse, moi je m’appuie contre la table pour opposer une résistance et décupler l’effet de ses coups de rein, de ses coups de bite, du labourage de son pieu dans mon cul. A un moment, je ne résiste pas au plaisir de passer une main derrière mon dos pour caresser son ventre en pleine action : il est tout contracté, les poils de l’abdomen sont tout suants. De l’autre main, je m’astique lentement car je ne veux pas jouir avant lui, ce serait du gâchis. Il ralentit le rythme, mon cul et mes boyaux sont en feu, ça irradie dans tout mon corps, des épaules jusqu’au bout de la teub et même dans les jambes. « Allez on y va », lance-t-il en reprenant son pilonnage massif. « Bourre-moi fort », lui dis-je pour l’encourager. « Compte sur moi, je sais y faire. » Il me fait presque décoller du sol à force de m’envoyer sa bite au fond du cul, il grogne à présent à chaque coup, « Prends ça… et ça… et ça…, hurle-t-il maintenant, tu aimes ? » Je crie « oui, envoie-moi la sauce ! » Je sens son braquemart se dilater un peu, mon cul se contracte, ses mains me titillent les tétons et les aisselles, je relâche la tension de mes jambes, le mec râle en déchargeant dans mon cul, un frisson me parcourt tout le torse, un courant m’envahit le cul, le périnée, les boules et la queue : je lâche un flot de sperme sur la table.

Le mec se retire de mon cul, je me retourne, il jette la capote par terre, je le prends dans mes bras, nos corps se collent, sueur contre sueur, bite contre bite, sperme contre sperme, torse contre torse, son souffle est chaud dans mon cou, sa main est ferme sur mes fesses, j’enserre son poitrail velu dans mes bras.

Gill

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