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HISTOIRE

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Combat libre

J’appelle le numéro du mec responsable d’un club de sports de combat :

— Allô ?

— Bonjour, je vous appelle pour avoir des renseignements sur le combat libre.

— Oui, pas de problème.

— Je voudrais savoir si vous acceptez des débutants toute l’année ; j’ai 35 ans et j’ai pas d’entraînement sportif particulier…

— Ça pose aucun problème, on prend des débutants en continu ; tu n’as jamais fait de sport de combat ?

— Un peu de lutte au lycée, il y a longtemps, sinon rien, non.

— Pas de problème. Le mieux c’est de venir pour une séance d’essai ; les horaires sont sur le site Internet…

— Oui, j’ai vu. Et pour la tenue, il faut prévoir quoi ?

— Short et t-shirt, c’est suffisant.

— OK, t-shirt, donc ; on pratique pas torse nu ?

— Si, torse nu aussi, pas de problème ; souvent on est en t-shirt à l’entraînement, mais c’est vrai qu’il y a pas mal de gars qui s’entraînent torse nu. Donc oui, torse nu, pas de problème.

— Mais vous conseillez quoi, plutôt t-shirt ou plutôt torse nu ?

— Disons qu’en t-shirt tu as pas les problèmes d’hygiène, le contact, qui pose problème à certains et puis, comme tu transpires beaucoup, ça absorbe mieux, t’es plus à l’aise ; torse nu, t’es plus libre de tes mouvements, t’as moins chaud et t’es plus proche de la situation de combat en compétition, où en général on combat torse nu.

Le mardi suivant, je me pointe dans le gymnase indiqué pour la séance d’entraînement. Je passe au vestiaire : ça sent le mec à plein nez ; odeur de pieds, de sueur. Quatre mecs sont en train de se changer, on se salue, deux sont déjà torse nu, ça se met en slip, ça met ses chaussettes, ça quitte son pantalon, ça se met torse poil, ça enfile un short… Un autre arrive, « Salut les gars », se met instantanément torse nu, exhibant une belle musculature saillante : le mec a dans les 20 ans, tout en muscles, belle peau lisse, il fait tout son petit trafic en restant torse nu, visiblement à l’aise comme tout. Voulant d’abord voir comment ça se passe, j’enfile short et t-shirt et me rends dans la salle d’entraînement. Je vois l’entraîneur :

— Bonjour, je m’appelle Loïc, c’est moi le coup de fil de l’autre jour : débutant 35 ans sans entraînement particulier…

— Ah oui, salut, moi c’est Denis, bienvenue ; on commence par des échauffements, vas-y installe-toi.

Denis est une vraie armoire à glaces, il est en short et marcel moulant, muscles des épaules et des bras super saillants, petite quarantaine, crâne dégarni, cheveux bruns, yeux marron foncé, une barbe de trois jours qui fait la jonction dans le cou avec les poils du torse qui dépassent du marcel échancré. Il y a quatre autres mecs qui courent autour de la salle ou s’échauffent les articulations, tous en short, pieds nus, tout le monde porte un t-shirt ou un marcel près du corps qui moule les pectoraux : ces mecs sont bien baraqués et je fais pas très costaud à côté. Je commence à m’échauffer et je me régale des odeurs de fin de journée de ces mecs qui ont bien sué au boulot et qui transpirent maintenant au sport. Je remarque un mec assez ténébreux en marcel ras le cou, doté d’avant-bras massifs couverts de beaux poils châtains : il en a jusque sur les épaules, rondes et musclées que le marcel met en valeur, et son torse en est généreusement garni, vu ce que laisse voir le col ; on devine même l’épaisseur de la fourrure du torse moulée par le marcel.

Arrive le petit mec exhib du vestiaire, en short, pieds nus et toujours torse nu. « Salut, Benjamin », lui lance Denis au moment où il se lance dans l’échauffement. Comme ceux qui portent un haut, ses pectoraux dansent à chaque foulée tandis qu’il court autour de la salle ; les t-shirts et les marcels commencent à se tacher de sueur à mesure que l’effort et la température augmentent ; je suis moi-même en sueur et attends de voir ce qui va se passer.

On en vient aux exercices à deux, face à face. Je me retrouve d’abord avec Denis, vu que je débute ; il me montre les coups de poing et coups de pied : je me prends un effluve de sa sueur âcre à chaque fois qu’il me montre un mouvement. Quand je m’exerce, il se place derrière moi et accompagne mon geste pour le corriger : il est de plus en plus collé à moi, je sens son souffle dans mon cou, la peau de ses bras contre la mienne ; heureusement que j’ai pris un short ample et un slip serré parce que je commence à bander un peu au contact de sa peau moite et de ses poils.

Puis Denis me fait m’entraîner avec le mec ténébreux, Didier. Je suis pris entre les deux : Didier me contre, Denis m’accompagne ; ils sont aussi musclés et velus l’un que l’autre. Je suis en admiration devant les mouvements de Didier, qui mettent à chaque fois en branle des dizaines de muscles dans les bras, les épaules, les cuisses, le torse. Son marcel est trempé, il dégage un parfum de transpiration un peu aigre qui me plaît beaucoup. Je me demande quand il va décider à se mettre torse nu, que je puisse en profiter vraiment.

Puis ce sont les exercices au sol et je me trouve en binôme avec Benjamin, le petit mec exhib, qui est toujours le seul à être torse nu : je suis bien content de pouvoir le mater franchement celui-là, avec sa musculature solide, sa peau de blond légèrement dorée, parsemée de taches de rousseur. Je remarque un petit duvet blond qui lui couvre les pectoraux, les bras et avant-bras, et qui est plus dense le long du creux médian de son abdomen. Il a bien sûr des tétons absolument incroyables : à la fois charnus, presque dodus, sans être ni pointus ni trop gros, et soulignés par le joli duvet blond. Benjamin me montre les prises, m’attrape à pleins bras, m’enlace de ses bras puissants, me retourne comme un crêpe, me terrasse : d’en bas j’ai une vue encore plus excitante sur son anatomie, qui fait ressortir ses pectoraux saillants ; quelques gouttes de sa sueur me tombent sur le visage : je me retiens de les lécher.

Puis c’est à moi de manipuler Benjamin ; ce petit salaud est tout en muscles et il pèse facilement 5 à 10 kilos de plus que moi, je sue tout ce que je peux pour le choper par la taille et entre les cuisses pour pouvoir le foutre par terre. J’en profite bien au passage : j’adore le contact de sa peau chaude sous ma main ; j’aime la peau lisse et douce de son torse quand je lui passe une main par-dessus l’épaule, un bras en travers de la poitrine, et que je l’attrape sous l’aisselle ; j’aime le contact de ses cuisses musclées et finement velues quand je le chope par les jambes. Il se laisse faire pour m’apprendre, ça le fait rigoler, moi aussi ; il me félicite d’une tape sur l’épaule quand j’y arrive :

— Tu crèves pas de chaud avec ce truc ?

— Ca va, mais je sue…

— Moi, je peux pas avec un t-shirt, faut que je sois torse nu pour combattre…

— Ben ouais, j’avais demandé à Denis, il m’a dit qu’on combat comme on veut, t-shirt ou torse nu, mais je vois que la plupart des mecs sont en t-shirt, alors…

— Tu fais comme tu veux, franchement, si tu veux te mettre torse nu, tu te mets torse nu.

Du coup je regarde autour de moi et m’aperçois qu’un autre mec s’est foutu torse poil, ça fait deux ; et à cet instant précis, je vois Didier empoigner le haut de son marcel et le virer : depuis le début, je rêvais de voir l’instant où ce colosse allait se mettre torse nu ; j’en ai immédiatement une érection, je sens ma bite qui commence à suinter dans le slip en voyant se découvrir son abdomen musclé, ses pectoraux impressionnants, trempés de sueur et couverts de poils fauves. La sueur dessine des sillons dans les poils de son torse, il s’essuie avec le marcel et se passe une main sur le torse : sa toison prend du volume en séchant… il est encore plus chaud que je m’imaginais.

On change de partenaire : Benjamin s’approche de Didier avant que je n’en aie eu le temps et je me retrouve en binôme avec l’autre mec qui s’est mis torse nu. Patrick, la trentaine, une tête de plus que moi, moins massif que Didier, aussi musclé que Benjamin, la même calvitie que Denis ; côté pilosité il est plutôt du côté de Denis et Didier que de Benjamin : il a les cheveux châtain clair et les avant-bras couverts de poils tirant sur le roux, quelques taches de rousseur sur les épaules et les bras ; son torse est généreusement garni de la même moquette, sur la poitrine surtout, c’est plus parsemé sur l’abdomen ; deux belles touffes de poils quasi-roux s’échappent de ses aisselles trempées de sueur. Il a la rousseur du poil, il en a aussi le parfum : une bonne sueur de mec, âcre et pénétrante.

On commence à se mesurer, je mets en pratique ce que m’ont montré les trois autres ; Patrick me complimente sur ce que j’ai déjà acquis. « T’as pas trop chaud, c’est bon ? Tu veux pas te mettre torse nu ? » Je sais pas ce qu’ils ont tous à vouloir que je me mette torse nu, mais ça me déplaît pas… Je lui dis que c’est bon pour le moment : je sais que je vais adorer l’instant où je vais me foutre torse nu, car maintenant je suis sûr que je vais finir dans cette tenue, alors je ne veux rien précipiter mais laisser venir. Et qui sait, peut-être même que Denis va m’ordonner de le faire, ce qui serait carrément le pied. Dans mon corps à corps avec Patrick, mes mains se posent sur sa chair, empoignent ses muscles, plongent dans ses poils : ça glisse, tellement c’est trempé de sueur, c’est chaud et doux, un peu rugueux là où c’est velu.

Denis s’approche pour voir comment je me débrouille, me donne des conseils ; comme il y a une prise que je n’arrive pas à faire, il me fait « Attends, je te montre », puis se poste devant Patrick et, juste avant de commencer, attrape le haut de son marcel et le quitte d’un coup en me disant : « Je serai mieux torse nu pour sentir la prise ». Puis c’est l’empoignade des deux corps : la musculature de Denis s’agite dans tous les sens ; je suis encore tout retourné de l’avoir vu lui aussi se mettre torse poil sous mes yeux. Ses pectoraux sont encore plus puissants que ne le laissait deviner son marcel, il est doté d’une toison épaisse sur tout le torse : pectoraux, abdomen, même un peu sur les omoplates et le haut du dos. Quand Patrick et lui s’affrontent, on entend le bruit humide du contact de leurs peaux trempées. Je ne perds pas une miette du spectacle : muscles saillants, peau rougie par la chaleur et l’effort, un bras se lève, laissant apparaître une aisselle poilue, un buste s’écarte, révélant un téton perdu dans les poils du torse, c’est un festival de muscles, de poils et d’odeurs de sueur.

Quand Denis a fini de me montrer et de m’expliquer, il me fait : « À toi, tu fais pareil sur Patrick, vas-y ». Comme je n’y arrive toujours pas tout à fait, il me lance : « OK, Loïc, tu réessaies, mais par contre mets-toi plutôt torse nu. Tu verras, torse nu tu sentiras bien mieux la prise ». Je pourrais jouir illico de m’entendre ordonner de me mettre torse nu par cette montagne de muscles et de poils, les bras croisés sur un poitrail puissant et nu, les avant-bras juste au dessous des pectoraux avec, pile au creux des coudes, les tétons qui pointent au milieu de toute cette fourrure.

J’empoigne le haut du t-shirt et le quitte instantanément, « C’est bien », m’encourage Denis. Je vois que Patrick me lance un sourire en coin. De fait je me débrouille mieux de ma prise et Denis me fait, « C’est mieux, tu vois, tu y arrives ! » Pour le coup, c’est mon corps entier qui part à la découverte de celui de Patrick. Quand il me prend par les épaules, je sens la chaleur et la rugosité de ses mains à même ma peau ; quand je l’attrape par derrière sous les bras, je me plaque contre son dos et je sens toute la force de sa carrure brute, toute la fermeté de sa musculature ; quand il cherche à me maîtriser de face, il m’amène progressivement vers lui et je sens la toison de son torse s’approcher de la mienne : ça ne dure qu’un instant, mais j’ai le temps de sentir la chaleur de son corps qui s’approche, ses poils qui commencent à frôler les miens, le premier contact de ce buste athlétique. Et, comme il est plus grand que moi, ses pectoraux puissants s’écrasent contre ma tête, mon visage s’enfouit dans la fourrure qui les recouvre, j’ai la joue toute mouillée de sa sueur, je me retiens de lui lécher les poils, mais j’entrouvre la bouche pour les sentir contre mes lèvres.

L’exercice fini, on se salue, on serre la main, Patrick me fait un grand sourire et un clin d’œil, je me demande s’il y a un sous-entendu, je le remercie et enchaîne. Là, miracle, Denis me dit d’aller travailler l’exercice suivant avec Didier. Je suis aussi intimidé qu’excité en m’approchant de la belle masse de muscles couverts de poils. Depuis l’instant où il s’est mis torse nu, c’est la première fois que je suis face à lui et je n’en crois pas mes yeux, ni mes narines d’ailleurs puisque le salaud empeste merveilleusement la sueur de mâle en plein effort. Je ne peux pas m’empêcher de le contempler, ce qu’il remarque :

— Impressionné ? T’en fais pas, c’est pas une question de force, c’est une question d’adresse.

— Ouais, n’empêche que t’es fameusement baraqué, je fais crevette à côté.

— Pourtant on peut pas dire que tu sois un gringalet, t’es tout en muscles ! On dirait pas trop quand t’es habillé, mais torse nu, ça se voit bien.

— Toi aussi, je dois dire, tu fais encore plus baraqué torse nu ; c’est quoi la règle pour finir, en combat libre, c’est t-shirt ou torse nu ?

— C’est comme tu veux, en fait, y a pas de règle. Moi ça m’est un peu égal. En général, je me mets pas torse nu le premier parce que, vu comme je suis fait, il y a des mecs qui croiraient que c’est pour impressionner. Mais si un mec se met torse nu pour combattre, je combats torse nu.

— Bon ben alors j’ai bien fait de me mettre torse nu !

Je me rends compte que je me suis trahi, mais Didier ne relève pas et me lance « On s’y met ? » avant de me prendre littéralement en mains pour l’exercice. Je suis un jouet qu’il prend, retourne, plaque, soulève. Mes mains se posent sur ses membres musclés, ma main fait à peine le tour de ses poignets, ses bras sont d’une puissance et d’une fermeté inouïes. Je m’aventure autant que possible sur son poitrail, mes doigts parcourent son torse velu quand je tente de le saisir par derrière pour essayer de le plaquer ou, plutôt, pour éviter qu’il ne m’envoie valser. Entre deux prises, il m’encourage d’une tape sur l’épaule, j’aime le contact de sa paume humide et ferme. Quand on se prépare à reprendre, je lui fais face quelques instants et contemple son torse athlétique, il me toise en souriant, se passe parfois une main sur le torse ou sous l’aisselle, c’est cette même main qui m’empoigne ensuite et répand sur moi sa délicieuse sueur odorante. Quand il me maîtrise, je sens distinctement sa queue sous le short, elle semble charnue et élastique, elle reste bien en place, sans doute prise dans un slip ou un shorty élastique : je l’imagine, trempé de sueur, le gland qui pointe, les burnes et la hampe sculptées sous le tissu, et je bande de plus belle.

L’entraînement dure une heure en tout : peu à peu, les autres mecs se mettent torse nu l’un après l’autre, soit spontanément, soit parce que Denis leur dit de le faire ; mon cœur se serre et ma queue gonfle à chaque fois que je l’entends ordonner « Allez Fred, mets-toi torse nu pour cet exercice, ce sera plus pratique », « Alex, si tu combats avec Didier, tu combats torse nu toi aussi ». Nous voilà tous torse poil, le gymnase empeste la transpiration, l’odeur de pieds et de dessous de bras, on se frôle, on s’empoigne, on se mesure, on se touche, les poils se touchent, la sueur des uns goutte sur le torse des autres, les peaux se collent, les pectoraux se heurtent, les cuisses se croisent, les mollets s’emmêlent. Au fil des exercices, je passe d’un mec à l’autre, d’une odeur à l’autre, d’une musculature à l’autre, d’une carrure à l’autre : tous sont fermement musclés, ruisselants de sueurs, muscles échauffés par l’effort, peaux rougies par la chaleur, poils collés par la transpiration.

La séance terminée, tout ce petit monde file au vestiaire, des bras passent autour des épaules, on se congratule, on commente les prouesses des uns et des autres, les aisselles se découvrent, ruisselantes, les odeurs se répandent. Je tâche de donner le change, mais je ne sais pas trop quels sont les codes, alors je préfère suivre et ne pas prendre d’initiatives : je me retiens de toucher ces dos et ces bras musclés en sueur. Arrivés dans le vestiaire, les mecs s’épongent le torse avec le t-shirt, Fred, un beau blond moins baraqué que les autres, mais tout aussi musclé, avec des taches de rousseur sur le torse et les épaules, fait une blague sur le fait que Didier va devoir essorer son t-shirt au moins trois fois avant de pouvoir se sécher, vu ce qu’il sue. Didier a un sourire en coin, s’éponge encore une fois et donne un coup de son t-shirt mouillé à Fred, lequel rigole avant de lui rendre la pareille. Tous les mecs rigolent et encouragent Fred à ne pas se laisser faire : ambiance potache, une bonne demi-douzaine de mecs musclés torse nu qui jouent à se bagarrer… Fred s’approche de Didier en faisant mine de le toiser, de fait il est encore plus grand, il bombe le torse, Didier fait de même, ils s’approchent l’un de l’autre jusqu’à ce que leurs poitrines se touchent, les poils de Didier s’écrasent sur le torse moins velu de Fred, qui fait mine de le choper par les épaules, mais Didier, lui, fait mine de le choper par le paquet.

Tous rigolent de plus belle, Benjamin, le petit mec exhib qui a passé toute la séance torse nu, n’en a pas raté une miette lui non plus et provoque à son tour Alex, un beau métis à la peau assez sombre en lui flanquant un coup de serviette trempée de la sueur qu’il s’est épongée (pas de t-shirt vu qu’il a passé toute la séance torse nu !). Patrick s’approche et va prêter main forte à Alex : tous deux encadrent Benjamin et le maîtrisent. Patrick a saisi Benjamin par derrière en lui passant les mains sous les aisselles, Alex s’est baissé pour lui attraper les chevilles, ils l’ont flanqué par terre sur le dos et le maintiennent maintenant au sol : « alors, tu nous montres ce que tu fais ? » nargue Patrick.

Pendant ce temps Didier a effectivement saisi Fred par le paquet ; ce dernier lui lance : « ben vas-y déballe-moi, tant que tu y es. » Fred a croisé les bras, ce qui fait ressortir sa carrure, ses épaules galbées et ses pectoraux d’acier. Moi, je suis tétanisé par ce que je vois, ces mecs torse nu qui s’affrontent, se touchent, se provoquent, je suis rempli de stupeur et d’excitation.

A coté de moi Denis les regarde d’un air attendri et me fait : « ils sont cons, mais ils sont sympas tu verras » en se touchant mine de rien la queue, qui semble avoir pris des proportions conséquentes. « Ça t’a plu, au fait ? Tu t’habitues ? Ça t’a pas dérangé que je te dise de te mettre torse nu ? Tu sais en fait, on combat mieux torse nu. » Je n’arrive à répondre que « oui, oui » ou « non, non, » tant je suis captivé par ce qui se passe dans le vestiaire, mais d’avoir Denis qui me parle des mecs, du combat, de l’entraînement ne fait que m’exciter davantage.

Puis, tout va très vite : Didier et Fred continuent à se regarder en chiens de faïence, Didier a la main sur le paquet de Fred et commence à frotter, Fred garde les bras croisés sur la poitrine, faisant saillir les muscles et ressortir deux tétons roses, charnus comme des framboises et tout aussi appétissants. Fred sourit de plus en plus franchement tandis que Didier lui fait « ben mon salaud » en sentant sous la main son sexe qui grossit et durcit.

Alex et Patrick sont au-dessus de Benjamin terrassé : « qu’est-ce qu’on lui fait, Alex ? », demande Patrick tandis que les poils de sa poitrine laissent goutter la sueur sur le torse de Benjamin. Patrick a l’entrejambe au-dessus de la tête de Benjamin qui dit :

— Putain, il porte pas de slip ! Eh, les mecs, on lui voit les burnes à Patrick !

— Et alors ? Elles te plaisent mes burnes ? Regarde de plus près, fait Patrick en se baissant sur le visage de Benjamin. Et ma queue, tu la vois ? Pourtant elle est pas petite, je crois…

Denis me regarde, je suis médusé : « t’inquiète pas, Loïc, c’est pas méchant, c’est juste pour rigoler ça leur prend de temps en temps. Je trouve ça bien, pour décompresser », me fait-il en passant un bras autour de mes épaules : la chaleur qui se dégage de son corps, la peau humide de sueur qui se colle à la mienne et ses poils qui chatouillent mon épiderme me font encore plus bander.

Pendant ce temps Alex a commencé à attraper Benjamin par l’entrejambe, il lui passe une main sous le short en disant « et les tiennes de burnes, comment elles sont ? Ah, pas mal, t’as chaud, dis donc. » Il lui passe la main autour des couilles, dans la raie du cul : « Ouh là, là, c’est chaud ici aussi ! Mais ma parole, tu mouilles ! »

Denis se tâte maintenant carrément le sexe à travers le short : « ça va, Loïc ? » Comme je lui dis oui, il passe un bras sous mes aisselles et me caresse le torse, tandis que son autre main est venue se poser sur ma queue : « oui, ça va, on dirait ! Ben mon cochon, tu te défends bien de ce côté-là aussi ! » Il me palpe le sexe, je bande à mort.

Didier a fini par tellement malaxer la queue de Fred qu’elle déborde du short : le gland rouge vif a franchi l’élastique. Imperturbable, les bras toujours croisés sur son torse athlétique, il lance à Didier : « Vas-y, continue » et Didier commence à lui baisser le short, tout en se caressant le torse.

Denis a passé la main sous mon short et me branle la queue en me caressant le torse, il est assis sur le banc à côté de moi si bien que je ne perds pas une miette du spectacle de ces cinq autres mecs torse nu, tous plus bandants les uns que les autres, qui l’air de rien s’apprêtent à partouzer méchamment.

« Ça te dérange pas, hein, Loïc, de voir les gars s’amuser un peu ? Va avec eux si tu veux, va jouer. » Je suis tellement scotché par ce que je vois et ce que Denis me fait que je ne peux pas me lever : sa main sur mon pieu qui me branle et l’autre sur mon torse qui m’excite les tétons, c’est irrésistible. « Va les voir, va t’amuser avec eux », me fait Denis tout en se baissant devant moi : il fait glisser mon short à mes pieds, m’en débarrasse et fait « miam » avant de commencer à avaler mon gland et ma tige. Comme il est devant moi j’en profite pour plonger les mains dans sa fourrure, caresser ses muscles puissants, que je n’ai jusqu’à maintenant pu que tâter furtivement au gré de l’entraînement.

Pendant que Denis me pompe soigneusement, Didier a totalement débarrassé Fred de son short : sa queue se dresse fièrement, jaillissant d’une belle touffe de poils clairs, qui fait la jonction avec ceux de son abdomen. Didier a passé une main sous son short et s’astique tout en branlant Fred, qui finit par tendre la main pour lui soupeser les pectoraux en se caressant les tétons. Denis a arrêté de me sucer et me fait signe de me lever pour rejoindre les autres : je me dirige droit vers Didier, j’empoigne à mon tour ses pectoraux super développés, mes doigts se perdent dans sa toison, Fred en profite pour me passer une main sur les fesses, me caresse la raie.

« Ouh là là, les mecs regardez-les tous les trois », lance Benjamin à Patrick et Alex après s’être finalement relevé. « Pas mal », fait Patrick en se passant une main sur le torse et l’autre sous le short. Il bande visiblement déjà bien dur. Denis s’approche de lui et fait « vas-y Patrick, mets-toi à l’aise » en l’aidant à se débarrasser du short. Patrick est maintenant cul nu lui aussi, une belle tige se dresse lentement entre ses cuisses, elle est très pigmentée et veinée, le gland se décalotte progressivement et une goutte perle. Denis contemple le spectacle puis se met à genoux pour recueillir la goutte et avaler doucement le braquemart. Benjamin n’a pas perdu de temps pour finir de se mettre à poil, il se branle en nous regardant Didier, Fred et moi, s’approche et me saisit la queue. Il me manque des mains pour caresser ces trois torses musclés. En quelques instants Didier, Alex et Denis se sont également mis la bitte à l’air. Denis, Fred et Alex s’approchent de nous quatre, la chaleur et l’odeur de transpiration se concentrent, le sueur coule sur nos torses et nos jambes agglutinés, mes mains passent de torse en torse, de queue en queue, Denis est à genoux et suce les bittes à tour de rôle, Alex l’a imité. « J’y crois pas », marmonne Benjamin. « Tais-toi et suce-moi la queue », lui fait Didier. Benjamin s’exécute.

Nous sommes trois suceurs et quatre sucés, celui qui ne se fait pas sucer se fait branler par un des trois autres. Didier m’attrape enfin pas les épaules et me roule un patin d’enfer, sa langue explore tous les recoins de ma bouche, tandis que ma main se perd dans les poils de son torse et de ses aisselles trempées de sueur. A partir de là, je ne sais plus trop qui fait quoi, mais je sais qu’une bouche pompe ma queue, que Didier m’enlace et me caresse, que Patrick est passé derrière moi et masse mes muscles en faisant des commentaires du genre « t’es bien musclé en fait, vas-y détends-toi, c’est bien, beaux biceps, beaux pectoraux, bien aussi les dorsaux, pas de gras sur le bide, belles fesses aussi, tu permets ? » et me passe une main dans la raie du cul. « Hmm, c’est chaud et humide, ça donne envie ». Je sens les poils de son torse contre mon dos. Tandis qu’une autre bouche me suce et qu’une paire de mains me caressent les cuisses, une autre les fesses, une autre le dos, une autre le torse, une capote est apparue de je ne sais où, s’est enfilée sur le gourdin de Patrick qui se met à chercher l’entrée de mon cul.

Tandis que Patrick commence à m’enculer, les mecs tournent c’est maintenant Benjamin qui m’embrasse, je pense que c’est Alex qui me suce, parce que je vois Denis qui bouffe le pieu de Didier et Fred est passé derrière Didier, le caresse, le masse, comme Patrick m’a fait il y a quelques instants, et commence à faire des mouvements de bassin entre ses cuisses. Je regarde Didier d’un air interrogateur, il me répond par un large sourire : « Oui, c’est ça, on va y passer toi et moi ». Didier est magnifique dans cette attitude d’abandon total, son torse est totalement décontracté dans une pose lascive, on dirait une statue de Michel-Ange… avec les poils en plus ! Et la sueur qui donne un reflet humide à sa chair. Patrick me ramone maintenant avec conviction et compétence en accompagnant ses coup de reins de « prends ça… tiens… han ! … tu aimes ? … ah, ton cul… » J’ai les yeux rivés sur Didier, tandis que mes mains continuent à caresser tout ce qui passe à leur portée du moment que c’est musclé et velu. Le visage de Didier est transfiguré par le plaisir de la queue qu’il est en train de se prendre dans le fion, ses bras immenses se meuvent lentement autour de lui et ses mains puissantes se posent délicatement sur une tête, une poitrine, une épaule, celle d’Alex ou de Denis, de celui qui le suce ou qui l’embrasse, la mienne. On entend un grognement et des bruits de langue, de bouche, de cul et de bitte, des bruits moites, le bruit rêche aussi des poils de l’un qui frottent la peau d’un autre.

Patrick me défonce avec ardeur, Didier s’est mis à geindre, la succion sur ma queue s’est accélérée, soudain du foutre me gicle sur les jambes, une main me l’étale, le souffle de Patrick se fait plus proche et plus profond sur ma nuque, Benjamin pousse un cri en jouissant et me tend sa main, je lèche son sperme, ses doigts me chatouillent la langue, Didier est en extase, magnifique colosse velu tout en abandon, soudain il pousse un soupir, Patrick hurle en me labourant au moment où il me jouit dans le cul, Didier me saisit la poitrine et me caresse les tétons au moment où son visage explose de jouissance, Denis se redresse, la bouche pleine du foutre de Didier, tous me caressent au moment où, le cul défoncé par le pieu de Patrick, je gicle à mort dans la gueule d’Alex, les yeux les mains perdues dans les muscles et les poils, les yeux rivés sur le visage et le torse de Didier.

Gill

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1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 FIN
En groupe à la piscine | 3 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 3
Mon beau-frère | 18 | +1 Meetmemz
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L’ensemenceur | 4 | +1 Meetmemz
1 | 2 | 34
L’amant de ma femme | 8 | +1 Meetmemz
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Bénévolat en Australie | 8 | +1 Meetmemz
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ET CE N'EST PAS TOUT !
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