C'est l'été, il fait chaud, on est dimanche après-midi et Bruno fait un jogging au parc. Il attaque en short et t-shirt, mais bien vite, avec la chaleur et l'effort, le t-shirt se trempe de sueur sous les bras et au creux du dos, alors il vire le t-shirt et poursuit son jogging torse nu. Le soleil inonde son torse musclé, il aime la sensation de chaleur et l'air qui lui parcourt les poils de la poitrine.
Arrivé à l'aire de sports collectifs, il voit un groupe de mecs qui jouent au volley : quelques-uns sont torse nu, ils sont à l'ombre, mais ils sont tout de même en nage. Tour de parc après tour de parc, il y en a à chaque fois un ou deux de plus qui se sont mis torse nu et quand Bruno arrête de courir, c'est la moitié d'entre eux qui jouent torse poil. Depuis le début, le regard de Bruno est attiré par l'un d'eux, le plus trapu et le plus velu. Il a une petite trentaine, à peine plus que Bruno, un torse massif, des épaules larges, un peu de gras sur les côtés mais le ventre plat, des cuisses solides et une généreuse toison de poils noirs sur tout le torse.
Bruno s'assoit près du terrain et regarde le jeu ; il regarde surtout le mec poilu dont il observe tous les mouvements, la rapidité et la force des gestes, les pectoraux qui ballottent quand il court, la sueur qui luit sur son dos et ruisselle le long de ses flancs. Le mec est très à l'aise, torse nu avec ses potes, c'est un solide gaillard bien dans son corps musclé et poilu, il a l'air d'être un peu le meneur du lot, c'est lui qui encourage ses partenaires, annonce les points, tope la main de ses coéquipiers quand ils ont marqué. De temps en temps, il se passe une main sur la poitrine, Bruno aime beaucoup voir ce geste. Quand il est de profil, l'épaisseur de sa toison est impressionnante. Son poil noir semble à la fois soyeux et frisé. Quand il est au soleil, sa peau luit sous l'épaisseur du poil.
Une pause entre deux sets, le mec s'approche de Bruno pour prendre la bouteille d'eau qui est dans son sac. Echange de regards franc, salut chaleureux :
- Salut, tu veux jouer ?
- Non merci, c'est sympa, mais vous jouez super bien et moi j'ai pas fait de volley depuis le lycée, alors...
Le mec lève les bras pour boire et Bruno a une vue imprenable sur ses dessous de bras garnis de poil noir. Une main sur le torse pour essuyer un peu de sueur puis, c'est reparti. Bruno se passe la main sur le torse et effleure un peu ses tétons au passage pour encourager l'érection qui l'a pris depuis déjà un moment. Pendant le jeu, le mec regarde de temps en temps dans sa direction : Bruno lui fait un signe du pouce quand il marque un point, le mec lui sourit, répond d'un signe du pouce.
Nouvelle pause entre deux sets, le mec quitte le terrain en direction des chiottes, se retourne vers Bruno et poursuit son chemin. Bruno lui emboite le pas. Arrivé aux chiottes le mec est à l'urinoir, Bruno se place à côté, la bite du mec poilu est déballée, elle est visiblement demi-molle. Bruno sort son engin : il a un peu débandé, mais sa queue est encore gonflée et à moitié raide. Le mec fait entre ses dents un sifflement appréciatif accompagné d'un " pas mal ". Bruno sourit, le mec prend sa propre bite en main, la soupèse, la fait rebondir contre le creux de sa main, ça fait un petit clac à chaque fois, son érection se confirme, celle de Bruno reprend. Bruno se dirige vers un WC, s'adosse à la cloison et commence à se caresser le torse en fixant la bite puis le torse poilu du mec. Le mec poilu le suit, se met face à lui et lui empoigne la queue, il ouvre et referme sa main large et chaude, la queue de Bruno est au bord de l'explosion. Bruno approche une main du torse poilu du mec, effleure son épaisse toison puis, lui plonge la main dans les poils, soupèse et malaxe le galbe des pectoraux, lui effleure les tétons, charnus, moelleux, avec seulement une pointe rigide au milieu. Le mec les branle doucement tous les deux.
Sans rien dire, le mec se met alors à genoux et prend Bruno en bouche. Bruno lui pétrit les pectoraux, lui paluche les poils du torse, se caresse les tétons en même temps. La pipe du mec est magistrale, ses lèvres charnues lui gobent le gland, sa langue épaisse lui passe tout autour de la hampe, Bruno lui fait couler des flots de mouille dans la bouche. Bruno fait relever le mec poilu, embrasse goulument ses lèvres et sa langue si généreuses, il sent le torse velu du mec contre le sien : la chaleur des poils, l'odeur de sueur, la texture du muscle le rendent fou. Le mec a recommencé à les branler. Bruno fouille du nez les aisselles du mec, ça sent la sueur, le muscle et le soleil. Il perd son museau dans les poils de son torse, trouve ses tétons, les lèche avidement tout en se caressant de nouveau le torse et les tétons. Le mec a un spasme et geint, Bruno sent le foutre chaud contre le haut de sa cuisse et, le visage enfoui dans les poils de son torse, lâche son jus dans la main du mec velu.
Gill
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