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Chapitre-3
Les trois hommes se rhabillent rapidement, me laissant nu. « Ne t’inquiète pas, nous avons un projet pour te donner du plaisir supplémentaire pour que ton séjour ici soit mémorable » me dit le plus vieux des visiteurs dans un rire vicieux. Mon hôte s’approche de moi et me libère de mes liens. Je me passe les membres un peu endormis. Je sens que j’ai eu plusieurs enculages car j’ai l’impression que mon anus est fort dilaté. Mon hôte le comprend car il me dit alors : « je suis biochimiste de formation, je vais te mettre une pommade de ma composition. Tu vas voir, elle a tendance à contracter les muscles. Dans quelques instants ton anus sera serré. » De la parole il passe au geste et je sens son doigt me tartiner mon œillet devant ses amis, amusés. Et, miracle, il a raison. Je sens mon petit trou se refermer. « Je m’en sers souvent pour donner à certains jeunes la possibilité de tromper leurs parents si jamais ils examinent leurs anus » explique-t-il. Les deux visiteurs et mon hôte m’emmènent ensuite à l’extérieur, toujours à poil. On embarque dans le Range Rover de mon hôte. Assis entre les deux papys je les laisse me peloter durant le trajet. Il fait presque noir et les vacanciers ont quitté la plage et les dunes. Après un court trajet, la voiture se gare le long des dunes, au milieu de nulle part. Pas une habitation en vue, des restes de bunker subsistent au milieu des dunes. Mon hôte s’absente quelques instants et pénètre dans les dunes. Les minutes défilent puis revoici mon hôte, le sourire aux lèvres. « Ils sont là, comme prévu » déclare-t-il à ses amis. « Il va leur plaire tu penses ? » questionne l’un d’eux. « J’en suis certain, regarde-le comme il est mignon et appétissant avec son petit cul et son corps lisse. »
« Allez, sort de la voiture et suis nous » me dit mon hôte, cette fois sans sourire. Surpris et un peu inquiet, je suis le petit groupe vers un bunker isolé. A l’intérieur, quelqu’un a amené une petite table à moitié cassée, sale et couverte de taches douteuses. « Allonge-toi dessus sur le ventre » m’ordonne mon hôte. Je m’exécute et je sens des mains m’ouvrir les bras et les jambes en croix, rapidement attachés aux pieds de la table. Un coussin est glissé sous mon ventre. « Tu es bien ? Pas de douleurs ressenties ? » m’interroge l’un des potes de mon hôte. Je hoche de la tête. Que vont-ils me faire ici dans le bunker ? « Oki, tu peux leur dire qu’ils peuvent venir, leur invité est prêt » déclare mon maître de ce week-end, plus pervers que je pensais à l’heure d’accepter de passer le week-end chez lui. Mais en bonne lope, je suis partant pour découvrir son plan. De loin, j’entends des voix dans une langue inconnue puis des rires.
Les deux seniors quittent alors le bunker en me souhaitant de prendre mon pied. « Ton joli cul ne risque pas de rester fermer longtemps » me dit le plus âgé en me caressant la croupe. Me voici seul, tout nu dans un bunker au milieu des dunes hollandaises. Sacré week-end. Des pas dans le sable se font entendre. Je ne vois pas tout du fait de ma position offerte mais j’aperçois des ombres entrer dans le bunker. Des rires bruyants se font entendre, des propos dans ce qui ressemble à de l’africain ou de l’arabe. Des hommes tournent autour de moi, me caressent, me fessent. Je sens des mains qui m’ouvrent au maximum mes fesses et les rires reprennent, sans doute du fait de ma raie épilée, qui laisse voir mon petit trou. Rapidement pénétré par un gros sexe qui m’ouvre au maximum mon œillet. Je me sens pénétré sans douceur et servir de passif m’excite beaucoup. Ces Africains qui se dénudent, sans doute des migrants vivants dans les dunes, s’apprêtent à me passer dessus l’un après l’autre, faute de femme. Mon corps efféminé les excite. Je sens des mains qui me malaxent les seins, me pincent les tétons. Pendant ce temps, les corps se remplacent pour m’enculer. Le foutre coule hors de mon cul et provoque ces bruits d’eau causés par le frottement des couilles sur mes fesses. Certains se placent devant moi et me présentent leurs queues, odorantes et humides. Je suce à la chaîne, on jouit dans ma bouche tandis que les enculages se poursuivent dans une partouze multiculturelle. J’adore. On me fesse avec de grandes claques. La douleur m’excite, comme ces mains qui me serrent mes bourses et me masturbent. Comme une vache je me laisse traire la queue. Elle devient sensible mais cela ne stoppe pas mes amants qui profitent de tout mon corps nu. Aucun centimètre n’est négligé. Mon corps est gluant de sperme. Comme ces queues que je suce. Puis des mains me détachent. Un homme me porte sur ses épaules comme un sac de blé. Il m’emmène, suivi par le groupe, ravi d’avoir abusé de mon corps soumis. Après quelques détours dans les dunes on arrive à un camp improvisé. L’homme qui me porte me dépose devant un petit groupe assis autour d’un feu improvisé. Des paroles sont échangées, je ne comprends rien. Mais je constate qu’il s’agit de trois anciens en djellaba. Ils me regardent puis adressent un geste de remerciement à mon porteur. Il me tire par les pieds dans une tente improvisée. Un ancien entre et m’ouvre les jambes. Je comprends ce qu’il veut. Sur le dos, j’ouvre les jambes, offert. Le vieux retire son djellaba. Très poilu, il sent la sueur et le foutre. Son zob est épais, entouré de poils gris. Sans me parler il se couche sur moi et m’encule sans douceur. Il gémit en me labourant mon anus tout en caressant mes seins comme il le ferait à une femme. Puis, il jouit d’un cri de bête. D’un geste il m’invite à sucer son sexe gluant. J’ai presque la nausée par l’odeur de ce sexe pas lavé. Pas le temps d’y penser, un autre ancien se place derrière moi et je sens son gland chercher mon trou. D’un geste, je le guide à entrer en moi. Mon sexe et mes bourses se balancent, ce qui fait rire le premier enculeur. Le second jouit aussi en ouvrant mes fesses pour laisser s’écouler le foutre. C’est à ce moment que mon porteur revient, pour m’emmener. Les yeux bandés pour que je ne puisse retrouver le camp, je sens que l’on me porte. Durant une période de temps indéterminée, on marche dans le sable, puis mon porteur me jette sur le sable avant de s’enfuir. Surprise, me voilà sur le parking, devant la voiture de mon hôte et ses amis. « Alors ? Tu as aimé notre dernière soirée de ton week-end ? » me demande mon hôte. Son pote m’ouvre les fesses, découvre l’œillet ouvert, d’où s’écoule un flux de foutre. « Oui, c’était mieux que dans un film de Cadinot. Je n’ai plus un poil de sec ni une goutte de sperme en moi ». Ma réponse les fait rire. « Allez, retour à la maison pour un bon bain et une bonne soirée autour du barbecue. » Décidément, ce week-end me restera en mémoire pour les plans insolites. Nu dans la voiture, je commence à avoir froid. Vivement ce bain chaud promis. Demain, je dois me lever tôt pour tailler la route, avec ces souvenirs de sexe en mémoire.
Colinot
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