Premier épisode
Chapitre-2
Humm, moi qui voulait passer un week-end original en Hollande, je suis servi. Tout a commencé par cette rencontre sur la plage de Catzand avec ce Hollandais tout nu qui m’a indiqué cette adresse où trouver dormir durant le week-end. Un sacré plan avec un hôte d’âge bien mûr et excité par mon petit corps de passif. Après m’avoir pris jusqu’à l’épuiser il se propose de me partager avec quelques amis amateurs de corps fins et lisses comme le mien. Et des hommes âgés en plus. Rien ne me plaît plus que d’être à poil dans les bras d’hommes expérimentés, aux poils gris et blancs. Un souvenir de ma première sodomie avec le voisin pensionné de mes parents. Mais ceci est une autre histoire que je raconterai plus tard si vous le souhaitez vraiment.
Je suis couché nu sur le grand lit de mon hôte, bras et jambes écartés. Je le vois fixer mes chevilles à une barre d’écartement, elle-même reliée à un système de poulies mobile. D’un geste, la poulie me soulève les jambes écartées. Me voici avec mon œillet dévoilé, dans l’attente. Mon hôte s’absente quelques minutes et revient avec un bassin et de la mousse. « Ton cul est mignon, mais je veux qu’il ne reste aucun poil, mes amis détestent cela » me dit-il avant de mettre de la mousse dans la raie fessière puis de la raser soigneusement. Il passe enfin une serviette, satisfait du résultat en passant sa main sur cette zone désormais lisse comme une boule de billard. J’aime cette sensation au toucher. Excité, il retrouve des forces et se couche sur moi pour m’enculer, une fois de plus. Son gland force le passage, déjà dilaté, et toute la queue y passe. Je me sens bien dans ce rôle de passif soumis. Il se retire après avoir joui. Mon petit trou n’a jamais été aussi ouvert, aussi bien préparé. Mais je n’ai pas le temps d’y penser longuement. La sonnette de la maison retentit. Stridente, au point de me faire sursauter de surprise.
Mon hôte me laisse, nu et couché dans cette position de soumission, et part ouvrir. Je l’entends parler avec des inconnus, s’amuser d’un rire moqueur. Je devine qu’il parle de moi. Des pas se font ensuite entendre dans le couloir et mon hôte entre, suivi par deux hommes matures, plutôt âgés et loin d’être des playboys. Un barbu ventripotent et un autre, au look de grand-père avec de longs cheveux blancs. Ils s’approchent, les yeux pétillants, comme ceux d’un enfant devant un gâteau d’anniversaire. Ils me matent de la tête aux pieds et rient de mon érection puissante. L’un d’eux se penche et me suce à me faire jouir. Comme un préliminaire à cette soirée prometteuse. L’autre me caresse la croupe et glisse un doigt dans ma raie avant de me doigter. Il me fouille de l’intérieur, cela chatouille. Je gémis, cela m’excite. Les deux hommes me délaissent un instant, pour se dénuder et imiter mon hôte, à poil, sa grosse queue pendante sur ses grosses couilles. Il a joui au maximum depuis le début, il n’a plus de foutre à éjecter en moi. Mais il ne reste pas inactif et prépare des sondes électriques. Il en place une dans mon anus, et une autre sur mon gland. Cette fois, il a décidé de me faire hurler pour impressionner ses amis. Le courant est puissant mais le moment ne dure pas car les deux pervers, à poil, sont impatients de jouer avec mon petit corps nu. Je les vois face à moi, nus, couverts de poils et le pénis dressé. De gros glands juteux et rouges, magnifiques. Leurs couilles sont grosses, pendantes et couvertes de poils blancs. A ce moment, je me rends compte de mon rôle de poupée passive, attaché et mon intimité offerte à ces inconnus. Je sens que ce week-end va connaître son meilleur moment. « Il est à vous mes amis, voyez comme il est chaud, en attente de queues. Il m’a raconté aimé cela » crie mon hôte. Le premier petit vieux s’avance et en me regardant m’encule d’une poussée. J’en perds mon souffle sous les coups de bite qu’il me donne. Il bave de plaisir en me serrant les tétons. Je ne suis plus qu’un passif en fusion, avec cette sensation étrange d’avoir son sexe me labourer mon intérieur. Enfin, il jouit d’un cri bestial et se retire. Le bruit est semblable à celui d’une bouteille débouchée.
Pas le temps de souffler, le second visiteur est impatient et me pénètre lui aussi. Il se couche sur moi et m’embrasse. Je sens sa langue s’enrouler autour de la mienne. Ses mains caressent mes seins. Pendant ce temps, mon hôte filme en se faisant sucer par son pote. Le gros pervers sur moi jouit lui aussi et se retire. Rapidement, le foutre des deux hommes trouve le chemin de la sortie et coule hors de mon anus. Les deux hommes soufflent, fatigués par cette séance. J’ai l’occasion de les mater et prendre plaisir à voir que leurs sexes laissent encore couler du foutre. Ils ont pris du plaisir à me prendre. « Et si on l’emmenait dans notre coin, dans les dunes ? A cette heure, ils doivent encore être présents. On pourrait leur donner notre bel ami et voir s’il correspond à leurs attentes » demande mon hôte à ses invités. Ils ? De qui parlent-ils ? Mon cœur commence à battre fort, j’aime l’inconnu mais là il m’inquiète. Et l’avenir me prouvera que j’avais raison.
Colinot
Autres histoires de l'auteur :