Je suis Yannick, 50 ans sportif et responsable d’une agence de com. Je travaille avec une équipe de jeunes de moins de 30 ans. Il y a quelques mois un de mes web master, sachant que j’avais une résidence de loisirs en Auvergne me questionnait. Son frère Thierry de 22 ans et un de ses copains Cyril de 22 ans aussi poursuivait une école d’ingénieur agronome. Ils avaient trouvé des stages de 8 mois dans le même secteur géographique à 10 km l’un de l’autre, mais pas chez le même maître de stage. Le frère de mon salarié était hébergé sur place, mais pas son copain. Il me posait la question si son pote pouvait habiter dans ma maison de campagne en l’échange d’une participation financière. J’étais d’accord sur le principe, mais voulais voir les 2 jeunes avant. Je lui indiquais que j’avais un chantier pendant 5 mois dans le secteur et que j’occuperais ponctuellement les lieux 2 jours par semaine. Le rendez-vous fut pris sur place. Mon salarié était un minet déluré, je le savais bi comme moi, Thierry son frère un beau mec 1m80 imberbe taillé comme un bûcheron champion de kayak. Un sourire a craqué et super sympa. Enfin Cyril mon futur locataire un blondinet taillé comme Thierry, imberbe aussi champion de kayak. Les 2 jeunes étaient disproportionnés côté pectoraux, avant-bras et bras. Les muscles saillants des abdos et les petites fesses musclées étaient impressionnants. Je bavais devant ces sculptures grecques. Nous avons discuté une bonne partie de l’après-midi, le feeling était la et mes 2 jeunes super cool. J’ai présenté mon refuge dans la partie en dure 50 m² composés d’une pièce de vie de 26 m² avec cuisine ouverte, une chambre, une salle de bain avec douche a l’Italienne, et ma chambre de 15 m² avec un lit en 140 et c’est tout. La deuxième chambre se trouvait à 20 m de la maison, dans un bungalow de 20 m 2 avec lit, pièce de vie, des WC, la douche commune se trouvait chez moi. Le bungalow était à 15 m du ruisseau. Le bruit de l’eau était le meilleur somnifère. Cet aménagement était réalisé pour la période d’été, mais avec le chauffage électrique la vie était possible hors saison. Nous convenions que seul le chauffage serait facturé. Mes 2 étudiants étaient aux anges et m’informaient que dès la semaine suivante Cyril occuperait les lieux. Le lundi suivant je vis arriver Cyril avec un sac à dos contenant ses vêtements et ses cours et un panier dans lequel était posée une bouteille de scotch, des bouteilles de blanc, des terrines en guise d’accueil. Il s’installait dans son bungalow. Je l’invitais à partager le repas du soir en guise de bienvenue.18h le soleil tapait encore et il faisait chaud. Je vis débarquer le beau Cyril en short de running laissant ballotter ça bite qui semblait moyenne et un marcel blanc. je pouvais détailler ses cuisses glabres et musculeuses, ses abdos qui tendaient le tee-shirt, le dessous de bras rasé, je me délectais. Lendemain matin 8 h il arrivait en caleçon et torse nu. Après un rapide bonjour, il passa dans la douche italienne. Deux minutes après j’entendais l’eau coulée, il n’avait pas fermé la porte de la salle de bain. La tentation était trop forte, furtivement, je passais devant l’entrée. Cyril me faisait face à couvert de mousse et je voyais sa petite queue rasée. Il me salua de la main sans aune gêne.
Après s’être séché, il revint dans la salle commune. Je lui fis remarquer qu’il n’était pas prude, ce qu’il confirma étant régulièrement en vestiaire collectif, mais il ajouta que si cela me gênait il fermerait la porte. Naturellement je le dissuadais en lui disant que la vue d’un beau mec comme lui était une récompense. Cyril repartit dans son bungalow. Les 2 jours suivants se sont déroulés calmement, je profitais toujours des moments d’exhibition naturelle de mon étudiant pour mon plus grand plaisir. Enfin je repartais chez moi, laissant Cyril seul. Le mercredi suivant à 17 h je reçus un SOS sur mon téléphone. Suite aux pluies exceptionnelles, le ruisseau avait débordé ! Il y avait 30 cm d’eau dans le bungalow. Illicto je sautais dans ma voiture direction la campagne. En route je constatais que les débordements de ruisseaux étaient nombreux. Les gyrophares de la police ou des pompiers ponctuaient mon parcours. Sur les lieux Cyril torse nu et en short trempé m’apparut. Il m’expliqua qu’il était parti du bungalow ce matin et en revenant il avait découvert le désastre. Nous sommes rentrés chez moi. Toujours aussi naturel, il a quitté son short exposant encore son petit sexe imberbe. Je lui prêtai un tee-shirt et un caleçon 2 fois trop grand pour lui ce qui ne cachait rien de son intimité quand il était assis. Je voyais sa petite queue au repos avec un prépuce court laissant voir la pointe de son gland. Ses deux grosses couilles semblaient glabres et il ne présentait pas de toison pubienne. Nous avons passé la soirée à discuter et je me suis surpris à bander devant le spectacle naturiste.
Cyril le remarqua et sourit en me disant qu’il était au courant que j’étais bi et comprenait mon émoi. Cette remarque était pleine de respect.
Enfin direction le lit. Mon éphèbe se dénuda et se mit sous le drap je fis de même il se couchait sur le dos les mains derrière la tête et moi sur le côté droit. Ma bite touchait sa hanche. La douceur de sa peau me rendait fou. Nous nous sommes endormis dans cette position. Dans la nuit je me réveillais et constatais que j’avais posé ma main gauche sur ses pectoraux Cyril avait lui aussi posé sa main sur mon bras comme pour me retenir cette position était sublime. Naturellement le phantasme me reprenait et je bandais. Mon minet devait sentir ma grosse queue de 19 contre lui, mais ne disait rien. Dormait-il ? J’ai eu la réponse rapidement. Il me caressait tendrement le bras ma réaction a été de lui pelotée les pectoraux, lui pincer légèrement les tétons, ce qui le fit gémir. Puis j’ai glissé ma main sur ses abdos durs qu’il contractait pour me montrer son plaisir. Tout à coup Cyril me prit ma bite à pleines mains et passait son pouce sur mon gland gluant. Enfin il ouvrit la bouche pour me dire que j’étais, contrairement à lui, monté comme un cheval. Pour me prouver l’écart, il me déplaçait la main pour la poser sur sa queue bandée. En effet pas plus de 16/17, mais de petits diamètres comment un éphèbe de cette taille et aussi musclé pouvait avoir une aussi petite queue. Dans ma tête je revoyais la statue du David de Michel Ange et me rendais à l’évidence qu’il n’avait pas une queue bien plus grosse que celle de Cyril. Nous avons pendant un bon 1/4 d’heure, alterné les caresses tendres sur toutes les parties du corps. Je tentais d’approcher mes lèvres de siennes et en insistant légèrement il me rendit mon baisé, certes maladroitement, mais plein de tendresse. Dans mon approche je passais ma main entre ses cuisses qu’il ouvrit un peu pour me permettre de glisser un doigt dans sa fente et m’approcher de son œillet. Cyril changea de position et se tourna sur le côté. J’avais son dos contre moi, ma main sur sa bite et bientôt mon doigt cherchant à rentrer dans son cul. Il me fallut plusieurs approches et lorsque ma première phalange pénétra dans ce boyau chaud Cyril couina comme un gosse. Il se tortillait comme un ver. Enfin je glissais ma queue entre ses fesses approchant mon gland lubrifié de mouille de son antre. Cyril frottait son cul sur ma bite tout en me questionnant si l’introduction allait être douloureuse. Il me fit promettre que s’il me demandait d’arrêter je ne lui en voudrais pas. Toutes les garanties données, je commençais par petites poussées à ouvrir sa fleurette. L’élasticité de son cul me surprit et moins de 2 minutes après, mes couilles tapaient sur son boul. Cyril pris l’initiative de remuer d’avant en arrière pour faire coulisser mon sexe dans son fourreau de chaire. C’était sublime et Cyril soufflait de plaisir. Moins de 5 min après, ma main se remplit de son foutre chaud. Je lui étalais sa semence sur les abdos et les pectoraux jusqu’a que la peau devienne sèche. Cyril m’exprimait son bonheur et remarquai je n’avais pas joui. IL me demandait si je pouvais lui déverser ma semence dans le cul pour qu’il découvre ce que ça faisait. Moi, pour rendre service je ne suis pas le dernier et je lui fis un superbe bébé. De sa rondelle s’écoulait mon foutre que j’étalais avec ma queue. Nous nous embrassions à nouveau tout en promettant de garder secret son dépucelage qui lui avait permis de ne pas mourir idiot comme il me disait. Une semaine avant son départ, à sa demande, je le suçais, il me suça et avala mon sperme. Toujours pour découvrir, me dit-il !.
Nous n’avons jamais rien dit a personne, mais, au fil des mois, notre relation s’était renforcée tendant même sur l’amitié nous n’avons pas renouvelé l’expérience, mais chaque fois que nous nous voyons Cyril a toujours une main baladeuse pour me caresser discrètement la bite. Naturellement je faisais de même toujours avec tendresse. Le plaisir vient aussi du respect mutuel.
Yannick
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