J'ai 42 ans suis célibataire. Je suis souvent sur la route en raison de ma profession de commercial ce qui me donne l'occasion de rencontrer et draguer les crevettes qui me font craquer. On me dit mignon, je suis imberbe le corps et sexe rasé ce qui fait ressortir mes 19 cm. Mon corps est généralement bronzé, car je suis adepte du naturisme. Lundi 20 juillet 2020, je rentre enfin chez moi après 2 semaines de déplacement professionnel. Arrivé devant mon immeuble de 5 étages je découvre des échafaudages tout autour. J'avais bien reçu le mois dernier l'information que la peinture des façades allait commencer
Souvenez-vous juillet 2020 c'était la canicule ! La première chose en rentrant dans l'appartement fermé depuis 15 jours c'est d'ouvrir toutes les fenêtres. Je dégage ma valise et hop sous la douche. Quel plaisir de sentir l'eau couler sur son corps ! Je me sèche et je sors de la salle de bain pour partir m'habiller dans ma chambre. Je pousse la porte et, surpris, par la fenêtre ouverte je vois un jeune mec torse nu, casque de chantier sur la tête, short moulant qui se trouvait face à moi. Je croise son regard qui était fixé sur ma bitte. Un beau sourire éclairait son visage. C'était un grand mec plus de 1m80 le corps musclé, mais très fin, imberbe, bronzé avec un visage lisse et une allure souple. J'étais en tenu d'Adam à 1 m de lui.
« Désolé jeune homme, je ne m'attendais pas à vous voir devant ma fenêtre, j'espère que vous n'allez pas tomber de votre échafaudage pour autant. » Il ne paraissait pas troublé le moins du monde, « vous savez monsieur dans notre métier nous somme habitué à tout, mais aujourd'hui je suis gâté ».
Je tournais le dos et rentrerais dans ma chambre pour enfiler mon short de running et un marcel blanc. Lorsque je ressortais, mon beau peintre était toujours en train de barbouiller l'encadrement de fenêtre. Je m'approchais de lui pour le détailler, quel beau mec ! Je m'installais sur la table du salon, avec mon ordinateur portable sans plus prêter attention au bel ouvrier. Je le voyais passer d'une fenêtre à l'autre. J'étais absorbe par mon écran lorsque j'entendis mon petit jeune m'interpeler « Monsieur, désolé de vous déranger, mais pourrais-je utiliser vos toilettes ? J'ai une envie de pisser qui me tortille » « Bien sûr, pas de problème, rentre c'est la porte derrière moi », très souplement il se glisse à l'intérieur et je voyais sa fine musculature et son déplacement de félin. Il se dirigea vers les toilettes derrière moi et j'entendis un jet puissant remplir la vasque, c'est la puissance de la jeunesse pas de problème de prostate le mec. Je me retournais et constatais qu'il avait laissé la porte grande ouverte. Il se positionnait en diagonale et je vis sa bitte entre ses mains. Je croisais son regard rieur et sa dentition parfaite. « Je vous rends la pareille monsieur je vous ai vu à poil il n'y a pas de raison que vous ne me voyez pas aussi » « en effet c'est sympa à toi d'autant que tu as l'air bien monté » « pas tant que vous je crois » « j'en doute ! »
Il secouait sa queue pour faire tomber la dernière goutte une forêt de poil noir débordait de sa braguette. Il ne se pressait pas à remballer son matériel Me draguait il ? « Tiens jeune homme, tu dois avoir chaud en plein soleil il y a des bières sur la table tu peux en prendre une si tu veux » « c'est sûr que, j'ai soif monsieur, mais l'alcool nous est interdite sur le chantier » je me levais, ouvrais le frigo et sortais un coca cola que je lui apportais. Son regard était fixe sur ma queue qui ballottait sous mon mince short en nylon. » « Super merci ». Il était debout devant moi je voyais qu'il avait les aisselles rasées « tu te rases aussi "'non juste sous les bras, car je transpire beaucoup. Et comme j'ai toujours les bras tendus, je trouve que c'est plus propre. Mais je ne pense pas pouvoir me raser comme vous ;' 'ne reste pas debout tu peux t'assoir 3 min' ce qu'il fit gracieusement 'tu as quel âge ?' '21 ans dans 3 jours' 'ça se fête ! Si ton chantier n'est pas terminé, je t'offrirais à boire à l'occasion.' il rit de bon cœur 'ce ne sera pas de refus je n'ai aucune contrainte, mais je ne peux boire que le soir'" "allez disons jeudi soir après ton boulot," "affaire conclue" me dit-il "tous mes potes sont en vacances donc je suis seul". Chaque jour il me saluait et nous discutions quelques minutes. IL était non seulement beau, mais raffiné. Enfin nous arrivons au jeudi j'avais une idée pour tenter ma chance. Un moment où il passait devant ma fenêtre, je l'interpellais "dis jeudi soir si tu viens fêter ton anniversaire, mis à part si tu as prévu quelque chose je t'offre l'apéro et nous pourrions diner ensemble, je suis seul aussi, 21 ans ça se fête qu'en penses-tu" "vous me gênez, mais pourquoi pas je vous donne la réponse tout à l'heure." Jeudi soir, 17 h 30 il se pointait "Monsieur, je vais me laver dans le bungalow et je reviens" "Si tu as du change, tu peux te doucher ici" "j'ai mes vêtements dans le vestiaire OK je veux bien ;".
.18 h, la sonnette retentit et mon beau peintre entrait, ses vêtements de rechange dans un sac de sport. J'avais installé des serviettes de bain et du gel douche, du déodorant et un flacon de bleu de Chanel. "Vous me gêner c'est trop ;" "Aller c'est le mois de juillet, il fait chaud et c'est ton anniversaire, je te laisse te préparer" et je fermais la porte de la salle de bain. 1/2 heure qu'il était dedans j'entendais couler l'eau il devait faire une toilette de marié. Bientôt je le vis revenir un bermuda blanc serré, une chemise rose dont les 3 boutons du haut n'étaient pas fermés permettant de voir son torse lisse et bronzé. "Merci monsieur super votre parfum, je n'ai pas les moyens de m'en offrir, mais j'apprécie le geste."
Nous nous installâmes sur les fauteuils du salon face à face. "Pastis ? Whiskey ? Porto ? Vin blanc ? Bière ?" "Vin blanc je veux bien" Il m'expliqua être en réalité étudiante et qu'il travaillait chaque petits vacance et été dans l'entreprise de peinture de son oncle ce qui lui permettait de payer ses études. La discussion porta sur tous les sujets et j'appris qu'il était célibataire, adhérent dans un club de sport et aimait sortir avec des potes le soir et le weekend "tu es célibataire et pas de copine ?" "Il n'y a pas que les copines pour être accompagné" cette remarque me surprit préférait il les garçons ? Je ne posais pas la question.je dégustais le moment présent et semblait-il lui aussi. Il étirait ses longues jambes très peu poilues, ce qui me ravissait. J'étais moi-même en short court et à un moment nos jambes sont entrées en contact dans le feu de la discussion. Ni moi ni lui n'avons cherché à changer de position. Je sentais ses petits poils se frotter aux miens. Tout à coup la sonnette de la porte d'entrée retentit. Je me levais sous le regard interrogatif de mon peintre. J'ouvris la porte c'était le livreur de repas : entrée, plat chaud, dessert, que j'avais commandés. Je réglais la note et laissais partir le petit coursier. "Vous avez commandé pour moi ?" "Et ben oui sauf la boisson j'ai ce qu'il faut". Je tendais une perche à mon compagnon "mignon ce petit coursier j'en ferais bien mes quatre heures" j'attendais la réaction de mon invité, celle-ci ne se fit pas attendre. "Vous aimez les garçons ?" "Oui et les nanas aussi, je suis bisexuel et surtout toujours chaud comme la braise, mais je sais me tenir. Au fait je m'appelle Yannick et pas monsieur et toi ?" "Sébastien mes potes m'appelle Seb ce n'est pas original" "tu sais Seb je t'ai tutoyé depuis le début nous avons 20 ans d'écart, mais tu peux me tutoyer je préfère." "Ok Yannick j'aime bien." Le repas se déroula dans une ambiance sympa set la bouteille de blanc de bourgogne terminée, j'en sortais une autre. Mon invité semblait apprécié à sa juste valeur. "Tiens Seb pour le dessert nous allons nous installer au salon sur le canapé". Nous nous installions côte à côte et je fis sauter le bouchon de la 1/2 bouteille de champagne. "Putain Yannick, vous ne me connaissez que depuis le début de la semaine et vous me traitez comme un roi, franchement vous êtes trop cool, jamais un de mes potes ne m'avait accueilli comme ça" "peut-être, mais tes potes sont certainement comme toi, jeunes et étudiants et les moyens ne sont pas les mêmes" je lui tendais sa coupe de champagne et m'approchant de lui je lui dis "bon anniversaire traditionnellement nous nous embrassons pour l'occasion." Je m'approchais de sa joue, mais Seb se détournait et me présentait ses lèvres. Surpris je lui déposais un baisé sur ses lèvres fermées. Mais, sa main droite se glissa derrière ma nuque et m'attira vers lui. Sa langue vint mouiller mes lèvres que j'entrouvrais pour faire place à un moment langoureux qui n'en finissait pas. J'étais aux anges ? Pendant cette étreinte je posais ma main sur sa cuisse chaude et la laissai glisser en direction de son sexe bandé à mort. Il se repoussait doucement, se levais devant moi déboutonna son bermuda découvrant un caleçon free gun bleu clair tendu pas sa belle queue. J'approchais mon visage et mordillais cette bitte encore protégée par le tissu. Le souffle de mon petit Seb se faisait plus rapide. J'approchais mes doigts de l'élastique pour baisser le free gun et voir bondir son sexe devant ma bouche. Sa bitte 18 cm bien droite, non circoncise, avec un petit gland pale et surtout une goutte de mouille qui perlait. Je donnais un coup de langue pour déguster ce nectar de minet. Rapidement, je suçotais le bout du gland puis doucement rentrais sa queue dans ma bouche.
Le souffle de Seb devint de plus en plus fort et bientôt il poussa sa bitte au fond de ma gorge. Il voulait une gorge profonde, il l'avait ! Seb se tordait en me caressant les cheveux. Doucement, il pivotait sur lui-même pour me présenter son cul. Une belle rosace claire sans aucun poil se présentait à ma langue. Ses cris me confirmaient que pour lui c'était l'extase. Après un long moment, je caressais sa rosette avec un doigt. Seb se dandinait devant moi. Impossible de glisser 2 doigts il était trop serré. Mais à côté de moi j'avais mon tube de gel et doucement j'enduisais ce fourreau avec un doigt, puis deux et j'aurais même pu introduire le troisième, mais la main de Seb saisit le mienne. "Yannick, je suis vierge tu veux me dépuceler ? Avec toi je me sens en confiance ! tu arrêtes si j'ai mal ?" je poussais le petit Seb pour qu'il pose ses avant-bras sur la table du salon. J'avais ainsi sa rosette face à ma bitte. J'enfilais une capote la frottais avec du gel et je présentais ma bitte devant ce petit trou de plaisir. Je poussais doucement, me retirais, enfonçais plus et ainsi de suite. Au bout d'un moment il me semblait que je pouvais y aller. J'enfonçais ma queue au fond des entrailles de mon minet. Un cri de sa part, un moment de silence, une immobilisation de lui et de moi, puis il se mit à tortiller le cul pour que je commence mes mouvements. Ma queue coulissait merveilleusement. Bientôt Seb appela "Yannick je vais jouir" je le fis pivoter plaça sa queue dans ma bouche et bientôt, un flot de sperme m'envahie le palais. Seb faisait des soubresauts et poussait des cris de plaisir. "Yannick jamais je n'aurais imaginé de me faire enculer ! et Bon Dieu j'ai trouvé du plaisir et pas de douleur tu es un dieu !. C'est le plus bel anniversaire que j'ai passé." Ayant repris uniquement nos caleçons, nous nous sommes réinstallés sur le canapé pour une série de caresses. Ses petits tétons étaient minuscules et hyper sensibles, ses abdos fins et fermes, enfin son sexe toujours tendu suintait de mouille. Il promenait ses mains sur mon torse et seulement parce que je lui pris la main, il me touchait enfin la bitte. "Tu n'as pas joui toi Yannick, j'étais tellement bien que je ne t'ai pas rendu du plaisir." "Tu sais Seb tu as beaucoup bu et moi aussi, restes coucher avec moi" et naturellement dès que nous nous sommes installés sous les draps, les caresses ont repris. Je l'ai à nouveau sucé sans le faire jouir, volontairement pour pas que la pression retombe. Sur le coup de 1 heure du matin, il prit enfin ma queue dans sa bouche. À 2 heures j'étais dans son cul ! une heure après il était dans le mien. Au petit matin il expérimenta son premier breuvage de sperme. La nuit fut chaotique ! La journée allait être dure sur son échafaudage. Mais la fougue de sa jeunesse n'arrêta pas le petit Seb, qui de temps en temps me faisait un signe depuis l'extérieur.
Fin de semaine fin de la première phase de chantier, mais premier weekend ensemble. Nos rencontres presque bihebdomadaires se sont poursuivies jusqu'à la semaine dernière puisqu'il a commencé sa fac à Montpellier. Il nous reste, le téléphone, la Visio et bien sûr le train ou l'avion pour moi tant que nous trouverons du plaisir à partager.
Yannick
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