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Pute à domicile
[Attention : dans cet épisode, il est question d'une pratique sexuelle très particulière, le gaging. Comme il s'agit d'une pratique extrême et hard, j'invite vraiment les plus sensibles d'entre vous à attendre le prochain épisode. Bonne lecture aux autres.]
La porte n'était pas fermée à ma grande surprise et mon grand soulagement.
Les clés de mon appart étaient sur la porte.
Je verrouillai immédiatement.
Je retrouvai mon téléphone dans la poche de mon blouson pendu à la patère de l'entrée.
En revanche, ils avaient complètement ravagé le salon et ma chambre.
Dans le salon, ils avaient entassé dans un coin mes meubles : table, chaises, canapé : tout était empilé soigneusement. Contre un mur, le matelas du canapé était posé au sol, avec une couverture.
Les murs étaient tagués d'insultes en tout genre : " repère de pute ", " salope à disposition ", " tire-jus ", " trou à remplir ", etc.
Ma chambre avait été visitée aussi : sur le matelas, une sorte housse en plastique noir avait été installée. Mon armoire à vêtement démontée et entassée aussi dans un coin. Sur les murs, ils avaient fixés des anneaux en acier. Sur mon ancienne table de nuit, des menottes, des bracelets en cuir, des cravaches, des gods, des plugs : un véritable sex-shop. Sur les murs, les mots " donjon ", " SM ", " esclave ", " soumis " s'étalaient en larges lettres de peinture.
Ils avaient pris tous mes vêtements. Je n'avais plus rien à me mettre si ce n'est ce que j'avais sur le dos. Je découvris un peu plus tard, des fringues dans la salle de bain, posées sur la machine à laver : ma tenue de pute, un short de jogging ultra court avec un maillot et une tenue de ville pour le boulot, mais aucuns sous-vêtements.
Voyant cela je fouillai mon portefeuille pour découvrir qu'ils avaient pris tous mes papiers et ma carte de crédit.
Je me débarrassai du survêt et enfilai le short. En examinant un peu mieux l'appart, je découvris sur le matelas dans le salon un papier imprimé. C'était mon " boss ".
Il expliquait que désormais je serais une pute professionnelle, que mes clients viendraient n'importe quand pour n'importe quoi. Je n'avais absolument pas de droit de dormir ailleurs que sur le matelas ni de déranger quoique ce soit dans l'organisation de l'appart.
Non... Non... Non... C'est impossible. J'avais l'impression d'être dans un mauvais roman. Ce n'est pas possible. Ce genre de chose n'arrive pas dans la vraie vie ! Il faut un cerveau malade pour faire ce genre de chose. Et puis... Je regardai autour de moi, rattrapé par l'impitoyable réalité. Je réalisai confusément comment ces pauvres femmes pouvaient elles aussi se retrouver sur le trottoir... Cela semblait si... Simple de soumettre quelqu'un.
Je pris mon ordinateur sous le canapé et me mis à la recherche de la fameuse annonce qui m'avait valu cette nuit de viol.
J'étais dans une sorte d'esprit de combat. Je voulais trouver des failles chez mes tortionnaires. Faire en sorte de m'en sortir. Il ne me fallut pas très longtemps pour trouver. En fait, l'annonce était sur le site par lequel j'avais rencontré le boss. J'y avais toujours mon profil (anonyme) et à présent je trouvai une annonce reprenant ce que Thomas et Yassin m'avaient raconté. Par chance, les photos publiques étaient floutées, mais je supposais que les photos de la section privée nécessitant un mot de passe ne l'étaient pas.
Je me fis à manger car j'étais affamé. J'avalai une assiette de pâtes mais je vomis le tout à cause de l'angoisse qui m'avait de nouveau envahi après mes recherches sur le net. Je m'efforçais alors d'avaler des compotes sucrées pour avoir un minimum d'énergie.
L'après-midi se passa sans nouvelles mésaventures. Le soir, lorsque j'entendis mon téléphone recevoir un mail, je me mis à pleurer. Je ne voulais pas d'autres " tâches ", je n'en pouvais plus.
C'était bien mon boss.
" Salut la pute. Tu as été à la hauteur de tes clients. Ils te reprendront à l'occasion, avec plus de monde. On m'a dit que tu as kiffé. Désormais tu répondras au nom de Capote. C'est ton nom et ta fonction. Je pars deux semaines. Je t'enverrai des clients. Tu auras un sms de ma part pour te dire quand, quoi et combien. Si tu fais quoique que ce soit pour t'échapper, j'envoie à monsieur D... P... (d....p....@xxxxx.fr) une belle série de photos de tes exploits. @+ Capote "
Bon. Au moins je ne risquerai pas de me faire frapper à coups de ceinture pour deux semaines. Cela me rassura. Si des mecs voulais venir me baiser, ce n'était plus grand-chose par rapport à la tournante.
Je fus tranquille jusqu'au mercredi.
J'avais repris le boulot. J'avais déclaré la perte de ma carte bleue et la nouvelle devait arriver sous huit jours. J'allais donc au boulot sans sous-vêtements, sensation étrange et peu agréable. C'était le seul endroit où je pouvais manger : la cantine était retenue directement sur le salaire. En revanche, le soir, je me restreignais pour faire durer mes faibles réserves jusqu'à l'arrivée de ma nouvelle carte.
Je reçus un sms : " 19h. Suce. Tu mets T-shirt noir, jean.40€ "
Bon, sucer un mec, pas de soucis. 40€ ? La vache, ce n'était pas rien... Cher pour une pipe... Même s'il me doserait la gueule à la fin.
Comme toujours.
Je m'habillai donc comme demandé. Je n'avais que le jean qu'ils m'avaient laissé et le t-shirt rose. Que faire ? Pourquoi noir ? Un fantasme de vieux sûrement. Je me préparais donc à sucer un papi un peu fétichiste (ça expliquait peut être le tarif aussi).
Je répondis par sms que je n'avais ni t-shirt noir, ni argent. Il répondit qu'on me donnerait le nécessaire.
A 19h15, la sonnette retentit. Lorsque j'ouvris la porte, un mec d'une trentaine d'année m'attendait. Le crâne rasé pour cacher une calvitie naissante, t-shirt Calvin-Klein, jean Armani moulant et mini sacoche Gucci en bandoulière. Plutôt agréable physiquement malgré sa barbe noire de trois jours.
" - Salut, c'est toi qui t'occupes de moi ?
- Oui je crois.
- Ok. "
Il entra et m'indiqua qu'on lui avait demandé de prendre une photo " de contrôle ".
" - Ouvre ton jean. " Je m'exécutai, c'était humiliant. L'autre voulait contrôler si j'avais respecté les ordres, si j'avais acheté d'autres vêtements en cachette... Et voila que je devais baisser mon froc et me faire prendre en photo par un parfait inconnu... Putain quelle déchéance.
J'imaginai qu'il avait envoyé la photo. Lorsque le téléphone vibra quelques instants plus tard il m'annonça :
" - Ok c'est bon. Tiens, prend ça et va t'asseoir sur ton lit. " Il tira un t-shirt noir de sa sacoche.
C'était vraiment étrange, mais j'obéis.
" - Attends, prend une serviette de bain ou même deux si tu veux pas dégueulasser. ".
Je le regardai vraiment bizarrement mais je fis comme il avait demandé. Peut -être était-il un gros juteur. En tout cas c'était gentil à lui et surtout, il ne m'avait pas baffé parce que j'avais un peu hésité à aller à la salle de bain.
Il me demanda de placer une serviette sous moi, une autre pliée sous ma nuque et me demanda de m'asseoir, sur le matelas, contre le mur.
" - On m'a dit que tu suces bien et à fond. Moi c'est mon trip, me faire sucer longtemps. Tu dis rien, tu suces et tu ne te débats pas : je gère. C'est compris ?
- Oui, pas de problème.
- Quoiqu'il arrive tu bouges pas... Je sais ce que je fais...
- Heu... oui... "
Avec les kilomètres de queue qui étaient passés dans ma gorge, je n'avais pas peur. Je trouvais même l'idée excitante et mon jean se souleva.
J'allais vite déchanter.
Il se mit à poil et sorti une bite de taille honorable sans être exceptionnelle : 18cm peut être et 4/5 de large. Il bandait déjà évidemment.
J'ouvris la bouche avec gourmandise. Il gardait une expression impassible et engouffra son membre dans ma bouche et força le passage directement au fond de ma gorge.
Il s'immobilisa et attendit.
Les premières secondes, ce fut cool.
J'étais obligé de respirer par le nez, de longues et lentes respirations pour tenir. Mais au bout de trente seconde, mon estomac se révulsa et je sentis la bile remonter dans ma gorge avec un bruit épouvantable de vomissement.
Il ne bougea pas : la bile se retrouva coincée par son gland qui faisait bouchon. J'ouvris en grand la bouche et émis une sorte de gargouillis pas sexy du tout. Je vis le regard du mec s'illuminer. Il kiffait à mort de me voir à moitié m'étouffer.
Il retira sa queue et je ne puis m'empêcher de recracher de la bave en quantité. Il me frappa le visage avec sa queue visqueuse l'air satisfait et la replongea dans ma bouche et commença à me la limer. D'abord normalement puis il recommença à faire plonger son gland assez loin dans ma gorge pour provoquer le réflexe nauséeux : il faisait exprès : il recommença cinq ou six fois de suite. J'avais des larmes qui sortaient toutes seules.
A la dernière plongée, je vomis un mélange de bave et de mucus blanchâtre qui se répandit sur mon t-shirt. Je pense que c'est pour cela qu'il le voulait noir.
De nouveau il me fit sucer sa queue normalement mais sans jamais la sortir ce qui me fatigua la mâchoire très vite. Je commençai à tousser et il en profita pour me recoller sa queue tout au fond de la gorge. Je vomis de nouveau. J'avais le visage recouvert de bave et de mucus qu'il me badigeonnait avec sa queue.
J'avais agrippé mes cuisses et les serrais de toutes mes forces pour m'empêcher de le repousser. C'était comme avoir un tuyau dans la gorge. Il continua ainsi quinze ou vingt minutes. Il ne débandait pas et ne jutait pas non plus.
A un moment il me demanda de m'allonger sur le dos. J'obéis en prenant un peu de temps pour prendre un peu ma respiration. J'avais le t-shirt et le jean maculés.
Il veilla à ce que ma tête soit dans le vide et enfila sa queue bien au fond de ma gorge sans précaution. Je vomis de nouveau et le mélange me brûla cette fois les yeux et se répandit par terre. Il me défonça la gorge pendant un long moment. Cette fois il enfonça sa queue aussi loin que possible, sans se préoccuper que je rote, que je vomisse ou que je m'étouffe. J'étais en panique par moment car il m'était impossible de respirer pendant plusieurs secondes.
Je sentais sa bite coulisser dans la peau de sa queue et son large gland écarter mon oesophage. J'avais l'impression qu'il allait se retrouver direct dans mon estomac.
Il me limait comme on m'enculait : alternant mouvements lents et rapides.
Lorsqu'il se retira j'eu l'impression que l'ouverture béante au fond de ma gorge ne se refermerait jamais.
Bien que totalement passif, j'étais épuisé. Il me demanda de me remettre assis. Une fois fais, il monta sur le lit, plaça son pied gauche sur mon épaule et m'empala la gorge une nouvelle fois. Il appuyait sur sa queue pour qu'elle soit bien verticale et descende au plus profond de ma gorge.
Nouvelle séance de limage. A un moment il s'immobilisa, sa queue enfoncée à fond et son ventre sur mon nez. J'étouffais complètement. J'agitais les bras mais ils étaient coincés par ses jambes. Je commençais à voir des points lumineux bien qu'ayant les yeux fermés quand il se retira. Et quand je tentai de reprendra une longue respiration il recolla sa bite dans ma gorge sans attendre m'obligeant de nouveau à vomir alors même que sa queue était toujours dans ma gorge.
Après cette phase, il s'assit sur le matelas et m'ordonna de continuer à le pomper. Je me mis donc à quatre pattes sur le lit et commençai à lécher son gland couvert de bave et de mucus. J'eu à peine le temps de sentir sa main s'abattre sur ma nuque que ma tête plongea en avant et sa queue me défonça une fois de plus la gorge.
De ses deux mains il imprima un mouvement de va et vient à ma tête et son bassin accompagna le tout de sorte que c'était encore pire que sur le dos : je sentais la queue se déformer légèrement pour suivre l'oesophage. Je ne saisis de vomir ou -à tout le moins- d'avoir ses réflexes nauséeux. Mon estomac me faisait mal comme lorsque l'autre débile m'avait foutu un coup de poing.
Ca n'en finissait pas. Je pleurais... Pas seulement du fait des vomissements mais aussi parce que j'avais mal. Et bien évidemment tout au long de ce supplice, il me demandait sans cesse si j'aimais sa queue, si elle était bonne, si j'aimais ça, s'il fallait qu'il plonge plus loin mais aussi que j'étais un bon garçon.
Il me mit à genoux par terre et me pina la gorge. Cette fois, il me pinçait le nez pour m'empêcher de respirer alors que sa bite était dans ma bouche : je toussais, vomissais, pleurais. Il ne bougeait pas se contentant de me voir souffrir. Je me reculai un peu pour reprendre une première goulée d'air frais mais la seconde fois où j'ouvris en grand ma bouche, il me re-coinça et sa queue se plaça le plus profond possible.
Il fit durer l'apnée particulièrement longtemps et là je ne pus m'empêcher d'essayer de me retirer en frappant à l'aveugle. Il me lâcha... Je m'effondrai, à genoux, la tête basse, les deux mains par terre et je fus pris d'une série de vomissements : sept ou huit d'affilés. Sa queue n'était plus dans ma gorge mais je la sentais toujours présente et cela me faisait vomir à chaque fois que je m'en rendais compte.
Je respirais péniblement. Je sentis sa main sur mes cheveux et il me força à me redresser et reprendre sa queue en bouche. Il me pina longuement et s'arrêta brusquement.
Il sorti sa bite. Il alla chercher un appareil photo et pris plusieurs photos de moi, à genoux, le t-shirt et le jean couvert de bave, de mucus, de vomis. Il prit mon visage en vidéo en me demandant de le regarder, de bien ouvrir la bouche et les yeux. Il me défonça sept huit fois la gorge en filmant.
Enfin, il se branla en me demandant de bien garder la bouche ouverte. Je pouvais à peine tellement ma mâchoire était ankylosée. Il lâcha plusieurs jets de sperme qui me garnirent la gorge.
" - Avale pas, je veux que tu recraches lentement. "
Je me contentai donc je recracher son sperme qui dégoulina sur mon menton, mon t-shirt et mon pantalon.
Il prit sa vidéo et une série de photos ensuite. Je voulais m'effondrer par terre et dormir tellement j'étais fatigué. Je n'en pouvais plus.
" - Bravo, t'as bien fait ton boulot. Je suis vraiment content t'encaisse bien. Je peux utiliser ta salle de bain ?
- Oui c'est par là... " Dis-je en lui montrant.
Je pris quelques instants pour me remettre et je me mis debout. Dans le miroir de l'entrée je découvris mon visage couvert de... liquide gluant et blanchâtre. On aurait dit que j'avais pris un seau de sperme sur la tête.
Lorsque le gars sorti, il se rhabilla. Bien que pas trop mal fait, il était trop poilu à mon goût. J'étais trop... usé pour être excité.
Une fois rhabillé, il me donna quarante euros. Et, se ravisant, il ajouta vingt parce qu'il avait vraiment été content, tout en me précisant que le pourboire était pour moi seul.
Il quitta l'appartement.
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Yopi
yop_ex@outlook.fr
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