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Réveil
[AVERTISSEMENT : dans ce qui suit, certaines scènes sont très dures et je ne saurais trop recommander aux âmes sensibles de s'aventurer dans un autre texte.]
Lorsque je revins à moi, je sentis un peu d'eau sur mon visage brûlant. Il me fallut plusieurs secondes pour me rappeler des évènements. Mes deux tortionnaires me regardaient de grands sourires.
Putain !!! Ce n'était pas un cauchemar : bâillon, menottes, brûlure de la bite : tout réapparut.
" - Ben voilà. Il est de nouveau avec nous. J'ai eu la trouille quand même " Dit mon " boss ".
" - Ne t'inquiète pas, c'est normal. Il n'a pas du manger. C'est juste une hypoglycémie. Il faudrait donner du sucre, mais on va voir si ça recommence ou pas.
- C'est clair.
- Bon côté douleur, pour aller plus loin, il faut un peu de matos. J'ai ce qu'il faut chez-moi si tu veux.
- Plus tard ouais... Ca serait cool. Faudrait un coin où il pourrait hurler sans risque.
- J'ai peut-être quelque chose pour ça, on en rediscutera. Une sorte de stage.
- Tu me montres pour le fist ?
- Tout doux, ça demande du travail et un peu de patience. On va voir quelles sont ses dispositions. "
Fist ? Putain ! Ils voulaient ne défoncer la rondelle à coup de poings. Si j'avais pu avoir encore plus peur, c'est là que ce serait arrivé.
Ils me retournèrent et me mirent à quatre pattes sur mon clic-clac qu'ils avaient ouvert pendant que j'étais évanoui.
" - Pas bouger. " Me dit le " maître ".
Il enfonça un doigt lubrifié. Je ne sentais plus grand-chose. Ma queue seule me procurait encore des sensations.
Je n'avais pas débandé. L'effet du piment.
Il enchaîna avec deux puis trois doigts. Je sentais le travail qu'il effectuait sur mon anus. Il tirait petit à petit dans toutes les directions pour le dilater. Je commençais à tousser à cause de ma salive qui commençait à m'étouffer.
On me libera de mon bâillon mais je n'avais plus la force de crier. Je me contentais d'avaler de grandes bouffées d'air aussi lentement que possible. Le travail dans mon cul n'avait pas cessé.
Il s'y prit à deux mains pour assouplir (?) ou dilater d'avantage. Je gardais les yeux fermés, je sentais les larmes couler mais je ne sanglotais pas. Je voulais bouger le moins possible en essayant d'échapper à la douleur qui revenait sans cesse, oublier mon corps.
Soudain je sentis une présence près de mon visage suivie d'une étrange odeur et une bouffée de chaleur m'envahit. Une sensation très agréable même si cela me fit tourner la tête. Je me relâchai soudainement.
" - Ca aide. " Commenta le " maître ".
Ils m'abandonnèrent sur mon clic-clac où je luttai pour ne pas tomber. Ils étaient dans la cuisine. Ils discutaient entre eux et je n'entendais pas grand-chose : " légume ", " pas de verre ", " bien tenir ", " hôpital "...
Ces mots n'avaient ni queue ni tête... Tout comme moi : je n'étais que douleur et fatigue.
J'entendis leurs pas se rapprocher, mon " boss " dit d'un ton amusé :
" - On va te donner des ailes ! "
" - Bien vu. " Répondit l'autre amusé.
Soudain une sensation glacée me remplis les fesses. Je ne comprenais pas. Je sentis quelque chose de froid et dur rentrer dans mon cul. Ils commencèrent à me goder pendant un long moment. Je pus poser ma tête sur le clic-clac, restant ainsi, le cul en l'air en train de me faire goder à fond. Au bout d'un moment, le god n'était plus glacé et rentrait sans problème.
" - Redbull donne des ailes ! " Dit le " boss "
Je compris.
Le " maître " s'acharna sur mon fion à la main. Continuant à le dilater et à me faire sentir ce produit qui me shootait à moitié. Par moment la douleur devenait insupportable et j'enfonçais ma tête dans le matelas à m'en étouffer pour ne pas hurler.
" - Et ben voila ! " Dit d'un ton triomphant le " maître " : " Essaye ! ".
J'entendis un bruit de caoutchouc et de gel qu'on étale. Soudain je sentis une autre présence, un petit peu plus petite dans mon trou.
" - Putain ! La main entière !!! On peut aller jusqu'où ? " Et je sentis quelque chose pénétrer aux tréfonds de mon rectum. La même sensation que lors d'un lavement, mais en dix fois plus puissant.
" - Attends ! On peut aller loin, mais il faut faire attention si tu ne veux pas l'abîmer.
- Ouai t'as raison, faut prendre soin du matériel si on veut qu'il dure longtemps.
- Une petite bière à présent ?
- Oh que oui !!! " répondit mon " boss ".
Je croyais prendre un peu de repos, mais ils prirent une canette de bière d'un demi-litre et me sodomisèrent avec. Je n'en pouvais plus. Je voulais que ça cesse. Ils finirent par se lasser et me laissèrent un moment pendant qu'ils buvaient une autre bière. On m'ordonna d'aller me laver et ils me libérèrent de mes menottes.
Je tentai vainement de me lever, alors je me rendis à quatre pattes dans ma salle de bain. Je parvins à me doucher et me lavai tant bien que mal les fesses. Je pouvais sentir que mon anus ne se refermait pas complètement. Le gel ne partait pas. Je frottai ma queue avec du savon en espérant diminuer la sensation de brûlure. Cela marcha... un peu. Je me rendis comme que je n'avais plus les pinces à linge.
Je pris mon temps pour me sécher. De toute façon que pouvait-il m'arriver de pire ? Je n'avais plus la notion du temps. Il me semblait qu'il devait être au moins minuit, mais dehors il faisait encore grand soleil. M'avaient-ils enfermé plus d'une journée ? Plusieurs vagues d'inquiétudes m'envahirent, mais quand je vis les deux petites brûlures sur mon flanc gauche, je compris que je devais surtout m'inquiéter des deux malades qui m'attendaient à côté.
Dans un coin de ma tête, toutefois, une petite voix me dit : " ca y est, tu t'es fait fisté ! Depuis le temps que tu voulais essayer. Et ça n'a pas été si difficile ". Fermant les yeux, je m'imaginais à nouveau une main dans le cul... Et une sensation de chaleur parcouru mon bas ventre...
Je retournai dans le salon comme je serai monté à l'échafaud. Ils avaient replié le canapé et m'attendaient tranquillement.
Je m'appuyais aux murs pour ne pas tomber.
Le " maître " m'ordonna de venir à lui. Ce que je fis. Je me pris une gifle pour avoir oublié de dire " oui maître. ".
Il écarta les jambes et m'ordonna de s'occuper de sa queue. Je commençais donc à caresser, lécher le pantalon.
Instinctivement j'attendis qu'il ouvre lui-même pour continuer mon travail sur son slip violet. Sa queue était dans une bonne moyenne. Il me laissa faire un moment puis me repoussa, se leva et se déshabilla entièrement. Il était magnifique, un vrai sportif fin et sec. Mon " boss " à côté était rouge d'excitation. Sa petite queue pointait dans son jean.
Parfaitement imberbe, le pubis rasé entièrement, le " maître " se rassis et me regarda en écartant les jambes, sa queue raide à la verticale au-dessus de sa belle paire de couilles.
Je me réfugiai dans ce que je savais faire. Pendant que je les suçais ils ne pourraient pas me faire de mal. Je suçais donc ce beau mec que j'aurais volontiers dragué dans d'autres circonstances. Il enfonçait sa queue à fond, malgré la position inconfortable, j'arrivais à le prendre en entier.
Qu'est-ce qu'elle était bonne. Bien épaisse, circoncise, dure... Malgré tout, je ne pouvais m'empêcher d'apprécier cette queue dans ma bouche, sa saveur et sa forme.
De la main il interrompit ma suce. Il me présenta son pied. Je commençai à le lécher. Ce fut ensuite le second.
Il cracha sur son ventre. Il se contenta de me regarder puis ses abdos. Je le lui nettoyai instantanément. Il m'encouragea à le lui lécher en entier et me récompensa avec des caresses dans les cheveux. Puis il repoussa mon visage sur sa queue et je ré-engloutis entièrement.
" Fais-moi jouir. " Dit-il tout bas.
Je redoublai d'effort. Je le suçai comme si ma vie en dépendait. Je le sentais se retenir puis, sans signe avant-coureurs, il emplit ma bouche de sperme. Je ne bougeai pas d'un iota jusqu'à ce que je sois sûr que plus une goutte de sperme ne sortirait.
" Attend ! " Dit-il fermement. Il releva mon visage et précisa : " N'avale pas. "
Il se leva, pris son portable et se réinstalla. Il me fit poser le visage sur le rebord du canapé, plaça son gland sur mes lèvres et me demanda d'ouvrir la bouche en grand tout en sortant ma langue couverte de sperme.
Il prit plusieurs photos, puis filma le moment où il m'ordonna d'avaler le tout. Il sembla content de ma performance. Il se réinstalla confortablement.
Mon " boss " se leva et vint se frotter contre mon visage. Je me laissai faire et ensuite il ouvrit son jean et enfourna sa queue dans ma bouche. Il ne prit pas la peine de faire durer, il juta presqu'immédiatement la plus grosse quantité de sperme dont il ne m'avait jamais gratifié.
Je n'avalai pas. J'ouvris la bouche pour qu'il contemple son oeuvre. Il me prit par le menton et le souleva légèrement. Son sperme dégoulina au fond de la gorge. Je craignais que cela ne me fasse tousser mais avant d'en arriver là il cracha un énorme mollard, qui rata ma bouche et atterri sur mon nez puis lâcha un long filet de salive dans ma bouche. Ensuite, je dû avaler le tout. Je ne touchai pas à mon visage où le mollard commençait à dégouliner.
Je regardais craintivement les deux mecs. Le " maître " se leva et me fis me pencher sur le dossier du canapé. Mes bras retombaient sur l'assise et je savais ce qui m'attendait. Bière ? Redbull ? Pire ? J'avais peur et j'étais... Curieux... Curieux de savoir jusqu'où je pouvais aller.
Mais non, il se contenta de m'enculer longuement, plus de vingt minutes. Juste comme ça, sans changer de position, je sentais sa queue aller et venir sans résistance dans mon cul encore dilaté de mon expérience précédente. Au bout de vingt minutes, il se retira. Je me dis qu'il avait dû juter sans que je ne sente rien tant mes sensations étaient perturbées dans cette région.
Mon " boss " s'était mis nu à son tour et m'attendait assis de l'autre côté du canapé. Je compris que je devais m'assoir et m'empaler tout seul sur sa queue, face à lui. En regard de celle du " maître " c'était plus facile.
Contrairement à son habitude, il prit son temps. Il me donnait le tempo de mes aller-retour et malgré la fatigue, j'arrivais à suivre le rythme.
Je senti alors les mains du " maître " sur mon épaule. Il me poussa en avant et le " boss " m'enserra dans ses bras. Je ne compris pas ce geste de tendresse.
Le " maître " fit alors mettre le " boss " sur le dos en m'entrainant ce qui me donna un peu le tournis.
Je sentis alors la queue du " maître " se frayer un passage dans mon cul en parallèle de celle de l'autre. Je ne pus retenir un petit cri de douleur. Je m'attendais à une nouvelle gifle, mais j'entendis juste un " chut " du maître alors qu'il guidait mon bassin pour que je puisse accueillir les deux sexes à la fois.
Il n'avait pas joui. Il était encore raide comme un piquet.
Même si c'était moins important que la canette de bière, je sentais passer ces deux queues qui tentaient de se faire du bien dans mon trou.
La " maître "pris le dessus et il imprima, sans trop s'occuper de l'autre, son rythme, reprenant sa sodo. C'est au bout de cinq minutes qu'il lâcha son foutre en moi avec un grognement sauvage. Il resta quelques secondes puis se retira. J'eu à peine le temps de comprendre ce qui m'arrivait que le " boss " me retourna sur le canapé et m'encula à toute vitesse comme un lapin. Il lâcha à son tour sa sauce et se retira.
J'avais de nouveau l'esprit embué. Putain deux queues... Le pied !
J'ouvris la bouche et suçai la queue du " maître " puis fis de même avec celle du " boss ". Je léchai même le bas ventre des deux mecs pour enlever les traces de gel...
" - Il avait refusé la dernière fois. " Dit le " boss " d'un ton un peu amer.
" - Il a reçu son éducation maintenant. Je vais te laisser l'aiguillon électrique mais je pense que tu n'en aura plus besoin à présent. Tu as un bon instrument, tu vas pouvoir bien t'amuser avec. Je te l'emprunterai sûrement une fois ou l'autre. J'ai pas mal de vieux mais un jeune comme ça c'est beaucoup plus plaisant.
- Pas de problème, autant que tu veux. "
Ils firent un " check ", se rhabillèrent et me laissèrent quasi inconscient sur mon canapé, le cul dégoulinant de sperme.
Je m'endormis. Mmmm... deux queues.
[ Merci pour vos messages positifs et négatifs ! Continuez ! Si la suite vous intéresse, écrivez-moi. Les commentaires et suggestions sont les bienvenus !]
Yopi
yop_ex@outlook.fr
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