Ville spatiale

5 | TOUT DROIT VERS LES ETOILES

Chapitre-7

La matinée du jour J, nous sommes très occupés à mettre en place l’après commandant John Little et son collègue tortionnaire, Steve.

Nous devons organiser la prise de contrôle du vaisseau et éviter des combats et une effusion de sang. Nous sommes persuadés que les volontaires de la colonie Américaine nous suivront. Le commandant était d’une autorité trop extrême. Ses frasques et son palais royal de l’espace, commençaient à faire gronder une grande colère au sein de tous les passagers.

Il faut anticiper l’arrestation et l’incarcération de de tous les coupables. Le remplacement du commandement et d’une partie de l’équipage impliqué dans les trafics avec eux.

Nous nous affairons à cette tâche, et sommes séduits de voir Boris et Moussa arrivés en tenue de combat des forces spéciales. Ils nous font un salut militaire digne de ce nom et s’exclament en chœur : « Messieurs les commandants de « l’arche de Noé », vaisseau de la force des Nations, nous vous saluons ».

Je leur indique que pour nous, ils resteront toujours et avant tout, nos beaux amis chevaliers de l’espace. Nous rions bien, mais attendons l’issue de l’opération pour festoyer.

Nous leur indiquons d’ailleurs, qu’à l’occasion de cette promotion générale, ils seront promus tous deux capitaines, responsables de la sécurité de notre vaisseau. De plus, nous envisageons d’occuper le fameux palais royal avec toute notre famille. Nous leur expliquons que pour notre propre sécurité et leur confort, nous prévoyons, qu’ils aient leur propres dépendance dans le palais. Ils partageront notre vie privée et peut être plus.

Leurs regards sont plus qu’approbateurs. Boris s’approche de moi et embrasse rapidement mes lèvres, rajoutant un : « Merci mon commandant ! ». Moussa s’empresse de faire de Même avec Bruce. Décidemment, chacun a un commandant préféré.

Nous nous prenons tous les quatre dans les bras et échangeons des congratulations pour cette évolution rapide de nos carrières. Tout devient possible sur ce vaisseau paquebot de l’univers, qui poursuit son voyage dans la galaxie, à la recherche de sa nouvelle étoile.

Les militaires sont prêts aussi nous indiquent les futurs capitaines, et Sam, disposera trois caméras miniatures avant le début du rituel. J’interviendrais dans l’équipe du palais afin de notifier l’arrestation et les chefs d’inculpations au commandant et Steve.

Bruce lui, se synchronisera avec nous et investira le poste de commandement. Il notifiera à l’ensemble de l’état-major, le changement de commandement et leur présentera les faits reprochés au commandant dans l’exercice de ses fonctions.

Isolés comme nous le sommes dans l’espace sidéral, je doute qu’une rébellion soit menée.

Nous sommes mercredi et je suggère à mes équipiers, de fêter la victoire sur cette mafia de l’espace, ce vendredi à l’occasion de l’anniversaire de Moussa, notre nouveau et valeureux capitaine du vaisseau.

L’après-midi pour ne pas éveiller de soupçons, nous nous enfermons chez moi. Helena travaille et mon fils est à l’école pour encore 3 heures. Bruce et moi sommes seuls et décidons de reprendre des forces pour affronter la soirée.

Les deux commandants, vont se nicher au creux du lit familial. La nostalgie fait que nous nous rappelons ces instants délicieux que nous passions dans ma cave dix ans plus tôt. Cette légèreté qui nous entourait et la méthode choisie pour défier l’angoisse d’une catastrophe climatique éminente.

Bruce s’allonge en simple slip blanc kangourou et toujours les chaussures magnétiques. J’observe ce corps qui a grandi et pris une belle maturité. Ses cuisses sont encore bien en forme au regard de l’endroit qui nous prive d’une activité physique régulière.

Mon Bruce est magnifique, sa poitrine lisse, douce et imberbe est une invitation à un massage de tout son être.

J’ai envie de lui, envie de mon commandant. Je viens m’allonger à ses côtés, mon slip blanc, identique à celui de Bruce, laisse échapper ma bite comme aspirée par le magnétisme de mon géant. Je m’allonge sur ce corps de dieu des étoiles, et attaque de mes deux mains, un massage de ses deux pectoraux et de ses tétons bien raides.

Mes caresses s’échappent de ses seins à ses bras, puis ses cuisses sur lesquelles je descends lentement. Bruce n’est pas en reste du côté de son sexe que je ne touche pas. Mes mains et mon corps poursuivent leur descente jusqu’à ses grands pieds magnifiques.

Je masse un à un ses orteils et ses plantes de pieds. Ma bouche vient s’appuyer sur tout ce petit monde et les lèche dans chaque recoin. Bruce prend son pied dans les étoiles.

Je me relève et fait basculer mon homme sur le ventre. Je reprends le massage de ses épaules et de sa nuque que j’embrasse tendrement. Mes mains font frémir son dos et ses reins. J’arrive enfin au plus haut de son fessier et prends ses deux lobes dans le creux de mes petits doigts.

Ses fesses sont bien rondes, lisses et charnues à souhait. Ma bouche vient les mordiller, pendant que mon index glisse tout le long de sa raie, superbement dessinée. Bruce soupir de ce massage en profondeur et redresse légèrement son postérieur pour exprimer son désir. Il se tortille et fait onduler son corps au rythme de mes mouvements.

Mon doigt, caresse alors son anus tiède. Je glisse et passe ses sphincters, je tente d’humidifier le passage, par un crachat qui s’envole au plafond.

A sec alors, je fais pénétrer un deuxième doigt et part à la recherche de sa glande prostatique. Bruce développe une hypersensibilité de cet endroit. C’est dans ces moments-là qu’il ronronne.

Je sens mon géant, je le renifle, je le Hume. Son odeur est subtile. Des notes boisées vers ses aisselles, musquées vers son sexe et épicées vers son anus en étoile.

Mes doigts se retirent, et c’est ma langue qui vient prendre place à l’entrée de son petit trou qui gigote et s’ouvre seul à cette pénétration. Ma langue s’enroule dans le boyau tiède. Elle cherche la prostate dans le plus profond pour lui rouler des pelles et masser son intérieur.

Je sens que Bruce va de ce pas à un orgasme trop rapide. Je décide de ne pas insister et m’allonge à mon tour tout contre lui.

Il se redresse alors et vient me prendre dans ses bras. Il m’embrasse et m’enlace langoureusement.

Son corps est chaud, son cœur bas fort. Il glisse le long de mon abdomen et de sa bouche agile, s’empare de mon petit sexe qui pulse et lâche de belles gouttes de précum.

Mon Bruce est agile de sa bouche, mais aussi de sa langue qui parcours mon pénis de bas en haut. A chaque passage, il laisse glisser cette langue généreuses sur mes couilles bien gonflées et remonte jusqu’à mon gland.

Il en prend le bout entre ses lèvres, pendant que sa langue râpeuse, léchouille rapidement tout le tour de mon méat. Le paradis semble se rapprocher. Mon dieu de l’amour, remonte alors vers moi et fait basculer mes cuisses vers l’arrière.

Son sexe est impressionnant. Tout violacé par les veines qui le parcours, et gonflé de l’envie de me posséder.

Mon anus sera lubrifié par sa mouille abondante. Bruce me pénètre délicatement, les yeux dans les yeux. Le passage à sec est certes cruel, mais mon homme est en moi, il est mon essentiel et qu’importe cette relative douleur qui disparaitra.

D’une douceur rare, il me fait l’amour simplement. Ses mouvements sont légers et son énorme pieux s’enfonce en moi dans l’élégance. Son Gland écrase ma prostate à chaque passage et décuple mon plaisir euphorique.

Puis, Bruce mon dieu de la queue, me retourne et attrape mon fessier dans ses deux grandes mains. J’écarte mes jambes au maximum, et lui présente docilement en cadeau le trou béant qu’il vient de me laisser.

Il y revient, mais la douceur fait place au commandant. Sa main droite appui sur mon dos, faisant un peu plus cambré mes reins et relevé mon derrière qui anticipe.

Son engin dans l’autre main, il me pénètre d’un trait. Son gland s’enfonce en moi très rapidement. Cette vitesse devient une grosse caresse. Un cri inhabituel de plaisir s’échappe de ma gorge.

Bruce, que je n’ai ni sucé ni préparé, semble dans sa grand forme. Il va durer le gredin. Qu’importe puisque nous sommes ensemble.

Il me maltraite, me pilonne dur et tout au fond. Chaque coup est un bonheur. Sa bouche mordille ma nuque et mes épaules. Bruce est assoiffé de sexe. Sa main droite attrape mes boules, les écrase et les fait rouler ensembles. Il prend mon sexe dans une main et le malaxe jusqu’à la douleur.

Sa respiration accélère et lui aussi. Mon anus semble vouloir décoller. L’allumage est en marche. De la fumée semble s’échapper du corps de mon amoureux volcanique. Il me branle fort maintenant. Il connait mon rythme et mes capacités à synchroniser ma jouissance avec la sienne.

La tornade géante est en marche. Je sens son gland gonflé encore plus, ma prostate est soumise au tsunami de sa bite. Nous partons en chœur dans un rugissement aux harmonies éraillées. Bruce se vide littéralement en moi. Un nombre de jets inépuisables. Une quantité qui chauffe tout mon boyau jusqu’à mon estomac. Mon sperme fuse en de longs jets blancs et une multitude de gouttelettes qui traversent l’espace de la chambre nuptiale.

Bruce me sert fort contre lui. Ses bras entourent mon corps. Sa barbe écorche mon dos et prolonge mon plaisir généralisé. Il se retire lentement me couvrant de bisous intenses, laissant à nouveau échapper des filets de jus qui reviennent cette fois s’écraser sur nous.

Nous nous rapprochons face à face, Nos yeux se regardent et se reconnaissent. Notre émotion est à l’extrême, les commandants aussi ne sont que des hommes.