Chapitre-1
Ma préférence va bizarrement aux plans nocturnes en pleine nature, avec pour seul éclairage la lune qui fait miroiter les corps. Une douce quiétude me prend à chaque fois et m’éloigne de la réalité pour me plonger dans la seule pensée du désir.
Je suis un quinqua déjà avancé, en couple avec une femme et dans le besoin régulier de partager des instants chauds, avec un homme qui sait se défaire de tous ses préjugés. Mes amants volontaires, souvent d’un soir et d’un plan direct, prennent un plaisir avoué, malgré mon état d’homme mûr.
Ancien bogoss, Méditerranéen à la peau halée par le soleil quotidien, les restes sont intéressants et séduisent toutes les catégories Les cheveux rasés blanchissants, petit bouc en broussaille, corps viril et sexe large, 18 cm, circoncis avec un gros gland, font le reste.
Là, il faut que je vous raconte cette histoire ahurissante, totalement vraie qui vient de se dérouler ces 15 derniers jours.
Ce vendredi soir, veille de Weekend, me retrouvant très chaud comme tous les soirs, je me branche tardivement sur l’application bien connue. Il est une heure du matin et l’espoir d’une possible rencontre devient faible.
Prêt à tout éteindre et à filer au lit, l’appli m’indique qu’un membre vient de m’envoyer un message. Je m’empresse de regarder. Le message vient d’un gars qui cherche quelqu’un « d’audacieux », c’est un simple « Salut », et c’est un jeune mec de 30 ans, présentation intéressante , qui m’envoie sa photo en retour.
Je lui demande alors ce qu’il cherche, et lui envoie une photo de moi en simple appareil et en érection.
Sa réponse est rapide : « Je veux que tu me baise et je veux ton jus ». Je lui réponds juste un ok, et il revient vers moi en me disant qu’il arrive et me demande l’adresse.
Une demi-heure plus tard il est là. Le mec est un bogoss agréable, taille moyenne, un bon gars. Par contre je devine à ses expressions qu’il n’est pas forcément sobre. Mais son attitude n’exprime aucun danger, bien au contraire, et je monte à ses côtés, dans sa camionnette de chantier, afin de chercher un endroit bien tranquille.
Nous trouvons un petit coin à l’abris de tout. Il me propose d’aller à l’arrière de sa camionnette, mais je lui dis que je préfère le grand air.
C’est là qu’il ouvre ses portes arrière, insistant une fois de plus pour nous y installer. Je pointe la tête pour m’apercevoir que sa camionnette est réellement utilisée dans ses chantiers. L’arrière déborde de gravats, d’escabeaux et de seaux de maçons.
Je suis obligé de lui expliquer que c’est impossible de faire des galipettes à l’intérieur, et l’entraine sur le côté du véhicule à l’abris de tout.
Voracement, il se jette à mes genoux et sort mon sexe qu’il engloutit. Il semble se régaler, à lécher, pomper et s’occuper de mon engin. Quand il le sort de sa bouche, c’est pour à chaque fois me dire : « Elle est bonne ta bite », et il replonge en maltraitant, mon engin gonflé à l’extrême.
Subitement il se relève, m’embrasse à pleine bouche et abaisse son froc et son caleçon qu’il enlève et jette à terre.
Il est déchainé et attrape ses deux très belle fesses. Il se baisse un peu et me dis : « vas-y prends moi, mets moi là bien au fond, remplis moi! ».
Pas le droit ni le temps de réfléchir, pas de gel, pas de préliminaires, son petit trou vient s’enfoncer sur mon sexe. Je me laisse glisser dans son boyau. Son cul est génial, il se resserre sur mon gland à chaque passage et me déclenche un doux plaisir.
La séance dure une quinzaine de minutes, pendant lesquelles ses seules paroles sont : « C’est bon, c’est bon ». Tout cela me va bien, d’autant que je suis particulièrement endurant.
D’un coup, il se relève et décrète qu’il faut fumer une clope. Il n’en a pas, et je n’ai que des pétards de beuh que j’avais roulé en l’attendant. Qu’importe, il va me fumer toute ma réserve.
L’effet est quasi immédiat, mon amant, un tantinet alcoolisé, et maintenant sous l’effet de sa fumette, se lance à nouveaux à me manger la bouche à ma plus grande satisfaction. Il là lâche pour se repaitre à nouveau de mon sexe.
Sa bouteille de poppers en main, il ne contrôle plus grand-chose et vit au rythme de ses envies.
C’est là qu’il retourne à nouveau à l’arrière du fourgon, se jette dans les gravats sur le dos et remonte ses cuisses pour que je le prenne. Il adore me dit-il, et m’empêche de sortir de son beau derrière tout lisse. La séance reprend ainsi pendant une bonne dizaine de minutes, entre les seaux et les échelles, et une nouvelle pose cigarette est décrétée.
Au clair de lune, nous nous caressons en fumant, les bisous reprennent, je lui demande même son prénom qu’il ne m’avait pas encore donné.
Nicolas et un gars surprenant. Il décide de me faire retourner et me met en appui contre le camion. Il a une belle queue, qui malgré son état avancé, finit par se tenir droite, et sans préavis il s’enfonce en moi.
Il est doux, et me fais me sentir bien dans mon intérieur. Au bout de 5, 6 minutes, sa phobie de son arrière de fourgon le reprend, il veut à son tour me prendre en missionnaire sur le tas de gravats.
Je suis complètement plongé dans son jeu, et me laisse entrainer. L’instant n’est pas confortable du tout, mais l’instant est délicieux. Nicolas me demande juste régulièrement de ne pas jouir, car c’est réservé à son cul.
Il organise ce qu’il veut, comme il veut, et je le laisse faire, car la fête est belle.
Et soudain c’est à nouveau la pause pétard. Là, il mélange ça avec de plus en plus de poppers et régulièrement se baisse pour me gober le sexe et le conserver bien dur.
Il m’entraine à nouveau à l’arrière du fourgon, et monte à 4 pattes dedans. « Viens, viens » me dit-il, « et jouis moi dedans ».
Mon sexe est tout endolori, tant il se passionne pour mon engin. Mais sa chatte qui se resserre régulièrement m’attire et fini par m’aspirer.
Je le sens aux anges. Mes mains s’accrochent à ses reins, et je le bourrine fort. Il aime et se déchaine sur mon sexe qui commence maintenant sérieusement à sentir ce que je pense être l’échauffement de 1h30 de fornication intense et virile.
Je décide qu’il est temps de mettre fin à ce grand moment inoubliable. Je lui demande si il est certain de vouloir mon jus et il m’implore que oui.
Je m’applique à m’activer, avec ce bonheur de mon gland pris par ce resserrement anal qu’il semble maitriser.
J’envoie encore quelques coups au plus profond, et un puissant orgasme s’élève de tout mon être et vient remplir de plusieurs jets mon doux Nicolas.
Il en veut encore, mais je n’en peu plus. 1h45 que nous nous accouplons sous la lune. Il m’embrasse encore, me caresse les bras, ne veut pas me lâcher.
Je tente de le faire jouir à son tour, le suce encore une bonne dizaine de minutes, mais ses abus ont raison de lui, il ne parvient pas à son orgasme final. Dans le noir, je passe ma main entre ses cuisses, mon jus coule le long de ses jambes et il en sourit.
Nous rentrons dans le fourgon, il a un visage apaisé en reprenant hélas le volant, et ce, malgré mes conseils de rester un moment à se remettre. Il me caresse mes bras musclés, tend sa bouche pour m’embrasser et me demande de remettre ça, mais je refuse.
2 heures se sont écoulées, je dois rentrer et mon sexe semble comme usé. A contre cœur il me raccompagne et me laisse ou j’avais embarqué dans cette folle nuit.
Je rentre chez moi, passe par la salle de bain, et là, stupeur.
Mon sexe est comme croqué par un lapin un peu partout. La marque de ses incisives quadrille mon gland et la hampe est parsemée de blessures carnassières. Un vrai chantier que je suis obligé de cacher à mon épouse pendant plusieurs jours.
Le lendemain soir il me propose un nouvel épisode que je suis obligé de refuser. Je lui fais parvenir la photo de ses méfaits sur mon sexe, et lui explique qu’il faudra plusieurs jours pour le remettre en forme.
3 jours après et pas tout à fait guéri j’accepte un épisode similaire. Il respectera mon sexe cette nuit là et en prendra soin. Ce mec est un phénomène, nous aurons 4 rencontres du même type sous les 15 derniers jours.
Il ne sera jamais sobre, mais notre rupture sera consommée sur la dernière fois. Il arrive cette nuit-là, avec un verre géant d’au moins 1 litre, plein a ras bord de whisky coca.
La scène m’enlève tout espoir de rédemption, quand à 4 pattes dans l’herbe, je le chevauche fermement, et qu’il attrape son verre pour boire quelques gorgées.
Nous nous sommes quittés sur ce dernier verre.
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
Autres histoires de l'auteur :