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Chapitre-3
Malgré tous mes efforts pour accepter le fonctionnement irrationnel, voir animal, de mon amant Nicolas, sa dernière visite, m’a fait prendre la décision ce vendredi de mettre fin à cette relation avec des queues mais pas de tête. Certainement un record d’alcoolémie, plus rien ne tenait la route.
Plus que jamais je suis déterminé à poursuivre la recherche de mon idéal. Nicolas était la partie sombre de moi. Cette face cachée qui se réveille pour courir derrière les plus grandes fantaisies.
C’est donc décidé, ma recherche d’un ou de nouveaux amants, va se poursuivre dans l’espoir de trouver l’équilibre parfait sensuellement et sexuellement.
J’en ai assez de toutes ces personnes à la recherche d’un actif, qui ne respectent pas la hiérarchie du rôle. L’actif est censé décidé et choisir les options pour une séance optimale.
Mais non, certains passifs déchainés veulent s’affranchir de ça. Ils osent réclamer direct, que je féconde leur petit trou, à peine, mon sexe sorti de mon petit slip kangourou blanc.
La plupart sont mariés, et viennent de faire le mur en pleine nuit. On comprend leur empressement certes, mais les autres, arrivent souvent tellement chauds, que dans l’urgence des sensations d’une pénétration, ils passent à côté de l’essentiel. Ma devise c’est que le sexe n’est pas qu’un film porno.
Même si le plan envisagé, prévoyait un bon et patient léchage de raie, un 69 passionné, des gorges profondes ou pas, ils oublient tout, comme des gourmands qu’ils sont, à la seule vue de mon sexe qui se dresse et de mon gland tout gonflé comme un champignon.
Le sexe cool à deux, fini par devenir aussi passionné qu’un gang bang à 10.
J’avoue que très souvent ce n’est pas pour me déplaire, et que j’ai vite fait d’oublier les résolutions prisent lors de la rédaction de mon annonce parue, style : « Daddy bi, actif, bm, cherche un plan cool, avec mec ou jmec sensuel, tranquille pour plan sexe extérieur nature et nocturne. Embrasser, câlins, caresses, léchage, suce, poppers et sodo. Suis open et sans tabous ».
La plupart répondent à l’annonce en me disant que c’est tout à fait ce qu’ils recherchent, reste qu’à leur arrivée, ils me choppent le sexe et s’enfoncent directement dessus. C’est pathétique et ça m’oblige presque toujours, à les pilonner plus fort et sans pitié. Même ça ils adorent…je craque.
C’est donc fort de ces bonnes résolutions, un peu peiné tout de même par la perte de mon Nicolas, que dès le dimanche soir qui suit, je me remets en chasse de l’amant idéal. Je me jure au passage, de ne surtout plus sortir du cadre que je me suis fixé.
Voilà, pour moi il est l’heure. Je me suis branché en douce devant la télé sur mon appli Grindr, et comme d’habitude, j’attends que l’on me sollicite, j’ai l’habitude de ne pas m’approcher moi-même. Il est 22h00, la bonne heure pour trouver mes fameux plans nocturnes.
C’est là que les envies se réveillent et que la crainte de rester seul à devoir se goder et se branler, crée le besoin de vite rechercher son partenaire.
Il ne faut pas plus de 5 minutes pour qu’un rebeu au cv sympathique vienne me contacter.
Rapidement il me demande si je me rappelle lui. Il me dit que je lui ai permis de faire sa première pipe il y a un mois, qu’il a adoré, mais que, comme il regrette pour cette première fois, de ne pas avoir avalé, il souhaiterait revenir ce soir pour finir son apprentissage, envisageant même une possible sodomie.
Ma dispo, c’est à partir de minuit. Donc en attendant, il parle, échange, se chauffe presque tout seul et me demande même si j’accepterais un plan à 3, sa femme et lui.
Moi, j’ai souvenir de sa gourmandise à me sucer, sa barbe de 3 jours qui frottait mon sexe. Alors je veux mener à bout le plan de ma soirée. Je lui dis même que j’accepte sa proposition, si sa femme est d’accord bien sûr.
Et là, je reçois un torrent de photos de sa très charmante épouse nue. Je m’exclame qu’elle est magnifique et soupçonne même que cette charmante jeune femme de 28 ans soit installée avec lui derrière l’écran.
Mais quand arrive minuit, l’heure de ma métamorphose en sexe ambulant, monsieur Salim prétexte, qu’il est fatigué et qu’il bosse le lendemain, reportant à une prochaine fois.
Je ne suis pas très serein dans ma réponse à son dédit, et surtout frustré de ne pas avoir pu me régaler de ce beau rebeu à la quarantaine (mes préférés).
J’abandonne tout espoir pour la soirée et me rabat sur un bon porno « gang bang pig » comme je les aime.
Le lendemain vers 13h, je dois me déplacer professionnellement pour l’après midi, et j’envisage la possibilité d’un petit détour si candidat je trouve. Je suis toujours gonflé à chaud de mon orientale soirée envolée la veille, et dans un besoin urgent d’un très fort moment torride de sexe et de plaisir.
Ma compagne doit elle aussi voir un amant, car dans les dix minutes qui suivent, une chance de cocu s’offre à moi.
Un autre rebeu du même âge me contact. J’ai à nouveau ce ressenti de parfums d’Orient et la vision d’une peau marron satinée et chaleureuse que je caresse de mes mains. J’avoue, je n’entrevoie pas que sa peau, j’imagine aussi le sexe du personnage, qu’il m’envoie très vite en photo. Le gars a un bon 19 cm bien large.
J’oublie toute mes bonnes résolutions en une minute. Farid me dit qu’il est actif et qu’il aimerait bien me rencontrer dans un plan extérieur sur l’après midi.
Je me moque des gourmands, mais s’ils savaient comme je suis faible, face à une telle proposition. C’est pour ça que je les comprends et les excuses. L’image du corps de Farid finit par m’encourager à accepter le rendez-vous, à quelques kilomètres.
La journée est ensoleillée, le rendez-vous bucolique est prévu au bord de la rivière, je sens que tous mes chakras sont parfaitement positionnés. Je lui dis que j’arrive dans un quart d’heure, et je monte dans ma voiture, direction mon étalon, peut-être mon nouvel amant ?
Le rendez-vous est prévu dans un lieu insolite, une aire de jeu municipale pour enfants. Heureusement, à cette heure-là ils sont en classe.
Je suis à l’heure comme prévu, et lui aussi, qui comme par magie sort des roseaux en arrière du parking. Il a tout du bel Aladin. Il me regarde droit dans les yeux et me parle avec gentillesse.
Farid est comme je l’imaginais. Sa peau est d’un caramel foncé. Il est grand et maigre, des yeux perçants noirs qui suggèrent l’envie.
Je me sens bien avec lui et nous marchons ensemble plusieurs mètres. Jusqu’à la fameuse rivière en aplomb. Nous aboutissons dans un grand roncier qu’il me montre des yeux en disant c’est là.
Il comprend que l’endroit n’est pas confortable. Ses yeux s’éclairent alors et de sa main il me montre la palissade de bois qui sépare l’air de jeux d’un talus en pierre haut de 3 mètres.
Effectivement, entre la palissade et la paroi rocheuse, nous avons la possibilité de nous glisser et échapper aux yeux de tous. Nous y entrons et finissons par trouver notre place. Derrière les planches, nous avons bien 70 cm pour mener à bien nos futurs ébats.
Malgré l’angoisse de découvrir au loin une caméra qui a certainement du capter notre manège, j’accepte l’endroit et j’attaque direct à caresser le torse de mon partenaire sous son tee-shirt.
Farid est très réceptif, il attrape lui aussi directement mon sexe à travers le pantalon, et commence un attouchement viril qui déclenche les hostilités.
Son ton devient plus autoritaire quand ma main descend aussi sur son sexe. Il me demande de l’aider à déboutonner son pantalon, qui tombe immédiatement à ses pieds avec son caleçon.
L’objet tant convoité est là face à moi. Son sexe est raide, bien que tordu en deux comme souvent les merguez. Mais là nous n’avons pas à faire à une simple merguez. Nous serions plutôt proche du chorizo avec un bon vrai 19 cm bien large partout qui doit faire du bien.
Là, je me dis que je suis fou d’avoir les idées qui me passent par la tête. Mon anus n’est pas bien entrainé et pourtant je rêve de me faire prendre intensément par ce magnifique Tunisien qui me rappelle le sable et la plage.
Pour l’instant, l’autorité prends le dessus et sans sourciller il me donne l’ordre de le sucer.
Tu parles que je ne vais pas dire non, je suis venu un peu pour ça. Je m’abaisse accroupi et remarque une grande pierre sur laquelle je finis par m’assoir. Son beau pénis est à hauteur de ma bouche, et c’est goulument que je l’attrape de mes mains et l’avale en entier.
Ma langue revient tourner autour du gland, et ce sont bien 5 minutes qui s’écoulent pendant que je ne lâche rien et que je tournoie énergiquement et plein de salive autour de bel engin. Puis il décide de prendre en main la chose, et commence sans pitié à me pilonner dans un mouvement fort et régulier.
J’imagine ainsi ce que moi-même je fais subir à mes partenaires nocturnes. Mais c’est terriblement bon. Son sexe rempli toute ma bouche. Il mouille abondamment du bout de son gland. Ma bouche est déjà visqueuse sans qu’il ait encore joui.
Tout du long il me dit des « Putain tu suces bien, Putain tu fais sa bien ! Si tu veux je te fais tourner avec mes potes ! Quand tu veux, tu viens à la maison ! ».
Je ne lui réponds pas mais enregistre l’info pour un pote qui rêve d’un gang bang bien pervers.
J’ai un rendez-vous pro qui suit et je me décide d’aller à l’essentiel. Je lâche soudainement son sexe qui commence à fatiguer ma mâchoire et lui lance : « Tu veux me baiser ? ».
Il me répond simplement d’un air tout heureux : « ah…oui si tu veux ».
Prestement c’est lui qui me retourne, il me fait pencher et viens poser son sexe contre ma raie qu’il écarte de sa main libre. Pas de préparation physique, d’entrainement des sphincters, ni de graisse.
C’est dans un naturel écolo, sans préservatif, qu’il vient me pénétrer, touchant pile poil le milieu de sa cible et s’y enfonçant entièrement dès le premier essai.
La grâce a dû me toucher, ou encore cette histoire de cocu, une infime douleur très passagère ne m’empêche pas d’accepter la bête et les veine saillantes qui la parcourent.
Je suis à un doigt de me dire que son engin à la même taille que mon sexe de plastique qui me sert quelques fois comme entrainement.
L’effet est immédiat, surtout dans les faibles mouvements qui font frémir ma prostate. Je suis merveilleusement bien, je couine à chaque mouvement et je savoure l’instant de ce membre chaud, coulissant dans mes entrailles.
Mais l’ange devient vite démon et me démonte maintenant d’un assaut vigoureux. Son sexe malaxe ma vessie et mon estomac à chaque passage, je « surcouine » et me trouve toujours plus remué par cette présence en moi qui me donne des frissons généreux.
Il empoigne maintenant mes hanches et me dit que j’ai un beau cul et qu’il est bon. J’aime bien ses petites attentions.
Mon Aladin a une baguette magique. Elle me transforme littéralement en chienne qui halète toujours plus fort, tant le mâle se défoule en moi.
Déjà 5 minutes de ce traitement, puis 8, puis 10, puis 12, et je le stoppe à la treizième minute. Mon anus sans entrainement est à la fin, il agonise, et je sens que mon Farid n’a pas de rendez-vous qui suit.
Je décide de me détacher de mon amant et je sens dans mon mouvement, son sexe sortir, glissant tout en longueur, contre les parois de mon anus. C’est bon tout simplement.
Je veux maintenant ma récompense, le liqueur sacrée de mon homme du désert.
Je reprends avidement son sexe en bouche et mes léchouilles magiques, afin de lui extirper ce que j’attends avec frénésie depuis le début de notre accouplement.
Il faudra encore 5 bonnes minutes pour que définitivement j’abdique. Déjà en retard à mon rendez-vous, en nage sous ce soleil de plomb, je lui demande de se branler et de me remplir la bouche de son précieux jus.
Il a de la peine à me donner ma récompense. Il me dit qu’il est très long à jouir. Je lui attrape les couilles dans une main et je triture pour aider la sève à monter. Il aime, et quand mon doigt caresse son petit trou il commence à montrer des signes positifs.
Je guette le bout de son gland et j’écoute sa respiration. Soudain c’est l’envolée. Aladin agite de plus en plus fort sa jolie bite bronzée et un premier jet s’élève dans les airs. Je me jette sur son sexe et avale tous les jets successifs. Son sperme est bien blanc, bien épais et le gout est divin. Je profite et j’apprécie ce moment attendu.
Je lui rends son sexe propre et le vois embarrassé du jus qui dégouline sur ses doigts. J’attrape cette main que je découvre très fine et lape tout le jus étalé. Il me remercie d’un sourire. Je me dis qu’il pense peut être que je suis une grosse salope dans sa tête. Pas grave puisque c’est vrai.
Salope, je le suis à fond dans ce genre de situation. Tous les interdits sautent, et rien ne m’arrête.
Il est fort de sa jouissance. Nous nous rhabillons tranquillement. Je poursuis mes caresses sur son torse de mâle du désert qu’il me tend. Un instant câlin qui fait du bien.
Nous ressortons de notre palissade et restons ensemble pour passer sous la caméra.
Il me dit que nous devons nous revoir, me donne ses jours de repos, et me dis qu’il m’appellera. C’est une affaire sérieuse il semblerait. Je n’irais pas me perdre avec ses amis c’est certain, mais une nouvelle fois intense derrière la palissade, je prends.
Ses mains viennent caresser les miennes et nous nous quittons radieux et heureux.
Je rentre tranquille en cette fin de journée. En route j’arrive même à me convaincre que cet épisode éreintant, a dû me permettre de calmer mes ardeurs, au moins pour la journée, demain est un autre jour.
Comme j’ai mis une annonce sur un site, je suis tout de même poussé à aller voir ma boite de réception. Je m’égare quelques instants sur les dernières petites annonces, et c’est à ce moment-là qu’un message me parviens.
Je pense qu’en place de me calmer, mes ébats de l’après-midi ont plutôt fait sursauter ma libido.
Je ne peux m’empêcher d’en prendre connaissance et de me lancer dans un chat avec ce contact.
Paul m’indique être âgé de 27 ans, marié et réside à une douzaine de kilomètres de ma garçonnière sous les étoiles.
La surprise est totale quand il me dit qu’il aimerait bien me donner du plaisir et s’occuper de mon petit cul.
Je n’arrive pas à avoir plus d’infos, mais je sens ce jeune gars bien décidé à aller au bout de son idée.
Patatras, toutes mes résolutions partent une nouvelle fois en fumée et je lui confirme que nous pouvons nous voir.
Au passage, je touche tout de même mon anus endolori et je me dis qu’un peu de poppers, atténuera les douleurs si le plan est mis à exécution.
J’ai une fâcheuse tendance, même dans ces moments intenses, de conserver un certain humour pour les situations, dont je me délecte.
Son arrivée est tout de même fantastique, et, seul dans l’obscurité de la nuit, quelques rires intérieurs m’envahissent.
Mon Paul, nouveau partenaire de ma nuit, va tout de même mettre près d’une heure à parcourir le trajet qui demande environ 20 minutes habituellement. En route, il me textote qu’il fait l’essence à la station, il m’indique être au rond-point de l’entrée de mon village, mais 10 minutes après il n’est toujours pas là.
J’attends sagement au bas de mon chemin en aval de la route départementale qui passe au-dessus, et j’entends le bruit d’une Mob qui avance péniblement et qui s’éloigne sur la grande route.
Je trouve tout de même curieux qu’une mobylette circule a une heure et demie du matin dans ce secteur, mais je comprends la chose quand deux minutes plus tard il me contact pour me dire qu’il s’est perdu.
Effectivement, pas de GPS sur la bécane, que j’entends revenir vers moi et s’arrêter au loin.
C’est à pied qu’il finit par arriver et qu’il me répond timidement oui, quand je lui demande si c’est lui qui roulait en Mob.
J’apprendrais que ne pouvant réveiller son épouse avec le bruit de la voiture, il a attrapé son vieux scooter d’ado et qu’il est venu comme il pouvait.
Le jeune homme a le mérite d’être courageux, mais pas uniquement.
Il me prend les mains et me parle d’un ton charmant et charmeur. C’est rare et c’est agréable.
Paul fait bien 1m80 pour 65 kg. Des cheveux bruns mi longs, un visage d’ange, un corps fin et gracieux.
Pendant que nous papotons et qu’il me suit jusqu’à notre chambre au firmament, il vient me caresser le fessier et engage sa main pour être au contact de la peau. Il fait des « humm » et des « miam », avec une voie douce et fine, qui donnent déjà le ton à la soirée.
Paul ne me lâche plus, et son sourire sur ce charmant visage me laisse à penser qu’il se sent bien.
Nous arrivons enfin sur la scène de crime et nous déshabillons direct. Nous sommes nus tous les deux au clair de lune.
Ne connaissant pas le fond de ses envies avec moi, je le laisse faire et me guider.
Son sexe est droit, comme le mien, et ils se touchent quand mon bogoss, vient m’attraper la nuque. Ses mains me caressent langoureusement. Ses lèvres viennent rapidement se poser sur les miennes et descendent aussi vite dans mon cou qu’il bisouille tendrement.
C’est hallucinant comme je me sens porté par cet élan amoureux. Ses mains caressent maintenant mes deux lobes fessiers. Il murmure des choses incompréhensibles et j’en déduis que j’ai très envie de venir gouter son sexe qui s’agite tout seul.
Je me retrouve ainsi à genoux, son engin est délicieux. Je m’amuse d’abord avec son fin prépuce et parcours tout son membre de ma langue. Il frémit à chaque passage sur son gros gland que j’aspire puissamment à chaque passage.
Mon héros du soir est volubile. Je frémis à chaque contact de sa peau. Je me relève au bout de quelques minutes, et ses lèvres viennent se poser sur les miennes, sa langue me pénètre lentement. Je vous garantit que l’instant est jouissif.
Il me dit alors qu’il va bien s’occuper de mon petit cul et me demande de m’allonger sur le dos.
Ma bonne couverture est bien utile. Il prend mon sexe en bouche et pompe quelques instants. Ses gestes me font comprendre son côté débutant. Il se reprend très vite et me dis qu’il veut me baiser, qu’il veut me regarder dans les yeux.
Dans la seconde qui suit, il relève mes deux jambes et trouve-lui aussi directement mon orifice.
Comme s’il venait juste de quitter le lit nuptial, il s’enfonce en moi directement et vient d’un trait toucher le fond.
Je sens ses couilles qui s’écrase dans le haut de mes cuisses. Je sublime l’instant présent. Plus rien n’existe autour de moi et mon amant profite de ses mouvements passionnément. Ses coups de rein sont doux mais efficaces. Je sens son gland voyager en moi, et mon seul rôle est d’apprécier.
Une dizaine de minutes plus tard, il se relève et sort de moi. Je crains que tout s’arrête, mais il n’en est rien. Il revient à califourchon sur moi et me lance : « Prends-moi, c’est ma première fois ! ».
J’apprendrais par la suite, que c’est sa première fois avec un homme, sa première pipe, sa première sodomie, ainsi que le dépucelage de son petit trou par la même occasion.
A ces mots, il se jette sur moi, attrape mon sexe et se plante dessus. Je vous disais que le jeune homme est courageux.
Il reste ainsi plusieurs minutes et me dit qu’il veut s’agiter sur ma bite. Je le laisse donc faire, mais quand je veux le retourner pour le prendre en levrette, c’est lui qui me dit : « Mets-toi à 4 pattes petite salope.
Rien de viril chez ce prince de la nuit, et pourtant, de toute sa force, il me fait basculer dans la position qu’il a choisi, et s’enfonce à nouveau directement en moi.
Là, je vous dis qu’il n’est pas tendre. Heureusement la bouteille de poppers à portée de main, va me faire supporter ses assauts endiablés. Il me bourrine comme un fou et comme un dieu. Je devine tout son sexe à chacun de ses mouvements. Le poppers m’a moi aussi plongé dans une certaine furie. Je sens ma jouissance proche et je m’aide en prenant mon sexe en main et en le branlant.
J’explose dans de longs jets puissants et au même moment mon bel amant, se décharge en moi en haletant. Ses jets me semblent eux aussi très forts, et j’imagine, au nombre de ses contractions, la quantité de liquide qu’il me projette au plus profond.
Mon pauvre anus est détruit de sa journée de boulot, mais comme tout cela en valait la peine.
Nous finissons par nous relever. Je sers son corps contre le mien, il me demande de le réchauffer, car la nuit est fraiche et c’est là que je lui dis : « Paul, c’est un beau cadeau que tu m’as fait ce soir ».
Il se rhabille et me demande si je voudrais recommencer. Vous connaissez ma réponse bien sûr.
Main dans la main, je le raccompagne au bout du chemin. Nous nous touchons une dernière fois. Son départ me laisse dans la peine et dans la joie. Sensation étrange d’avoir vécu un moment d’anthologie à placer dans le haut de la liste, et le déchirement d’une séparation peut être définitive.
Je rentre doucement dans la nuit. Je sens son jus couler le long de mes cuisses, je ne me laverais pas c’est décidé. Je vais passer la nuit plein de sa semence et de son jus pubère.
Le réveil sera douloureux, mais il me rappelle mes deux belles histoires vécues la veille.
Ce matin, deux jours après ce dernier épisode, en buvant mon café au soleil dans le jardin, je reçois une proposition de Paul par sms, je vous laisse juger la chose et la possible réponse que je lui ai renvoyé : « J’ai envie de t’attacher et de te dominer, car tu as l’air d’aimer ça. Je veux qu’on se voie je t’attache, te domine, et te finit en uro ».
Je ne manquerais pas de vous raconter la suite, s’il y en a une, et sur quel amant je porterais ma préférence. Peut-être les deux non ?
Fabiodimelano
fabiodimelano@gmail.com
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