Mon petit bourgeois préféré

Toujours en déplacement professionnel, je décidais de faire une étape sur Orléans avant de repartir cap au sud.

Je me disais qu’une ville comme Orléans devant me donner l’occasion de passer une soirée sympathique. J’arrive sur le coup de 18h00, m’installe à mon hôtel et file sur mon appli préférée.

Quelques contacts, pas mal de mythos ou de mecs qui doivent rentrer chez eux… je commence à faire la gueule. Dégouté, je file diner. Je matte autour de moi... rien !

Je rentre à mon hôtel, un œil sur la télé, un œil sur le téléphone… Il est presque 22h00 et toujours rien à mon goût. Soudain, se connecte, un jeune black, 27 ans, un corps de ouf... ce torse que tu croises et tu te dis, c’est pas pour moi…

Au fait, moi c’est Victor, j’ai un peu plus de 50 ans, pas trop mal conservé, car on m’en donne moins, 1.72, 69 kg, torse poilu tondu… et rasé aux endroits stratégiques. Je suis passif, enfin devenu passif après un face à face avec un arbre en descendant le Ventoux en VTT. Cela fait 10 ans, j’ai fait mon deuil de mon côté « actif » et je suis devenu un passif câlin et gourmand.

Je reviens sur cette soirée à Orléans, c’était en 2022. On discute, échange des photos… il kiffe les mecs de mon âge et me présente sa teub ! waouh... du lourd... 21 cm de long et un diamètre à me décrocher la mâchoire... j’hésite, mais il est beau comme un Dieu, équipé comme un fou… et je kiffe les blacks… En plus, il est à 1 km de moi. Il me dit qu’il rentre de l’entrainement de foot vers 23h00.

Chouette ! et il est prêt à me recevoir. Il me file son adresse et m’annonce une adresse à Bourges !

Il avait oublié de se localiser ! Je regarde mon GPS… 1h20 de route… Soyons fou... Si je file sous la douche, je peux être à minuit chez lui. Pas de problème il accepte.

Je fonce sous la douche, me prépare profondément, car vu ce qu’il m’attend, il faut être impeccable en profondeur. Je mets un jock, un tee-shirt, un jogging et je grimpe en bagnole.

On échange régulièrement pendant le trajet sur WhatsApp... plus prudent … et je ne veux surtout pas me taper 120 bornes pour un plan foireux.

Je sors de l’autoroute, traverse Bourges et me retrouve devant sa porte… La gorge sèche, je sonne, il vient me chercher et là j’ai failli m’évanouir… Le mec est encore plus beau en vrai que sur ses photos.

On rentre dans son studio, son clic clac était déplier en lit… On échange quelques bisous et me fait rapidement comprendre que son boxer était trop petit. Ma bouche parcourt son torse... il sent bon et je pose ma bouche sur son boxer… Je happe à travers le tissu son sexe. Je pense n’avoir jamais croisé ce calibre là de ma vie… Je ne parle pas de la longueur, mais de l’épaisseur… J’ai un coup de chaud, vire mes vêtements, sauf mon jock, et lui enlève son boxer.

Je commence à lécher son gland tel un esquimau, il a l’air d’apprécier... et commence à l’introduire dans ma bouche… je suce la bouche totalement écartelée… Pendant ce temps là, il attrape du gel et commence à jouer avec ma rondelle.

Un doigt, puis deux… puis trois. Tu as intérêt à me dilater mon garçon si tu souhaites me baiser. Il me présente du popers… j’en renifle et s’en immédiatement un gros coup de chaud, mon anus se dilater… il en profite pour y glisser 4 doigts... hummm, c’est trop bon. Je continue à le sucer, je ne suis pourtant pas mauvais à ce que l’on me dit, adepte des fonds de gorge, mais là mec, je déclare forfait, cela ne passe pas !

En douceur, il me redresse, me pose un bisou sur les lèvres et me demande de me mettre à genou devant lui. Je sens ses mains cramponner mes hanches et son gland qui se positionne à l’entrée de mon œillet… Il me tend la bouteille de popers et j’en renifle un bon coup.

Mon corps prend feu et c’est moi qui viens vers lui. Je me positionne face à son gland et vient le chercher. Je dirige la pénétration de cet obus. Je respire un bon coup et recule mon cul vers lui.

Waouh, son gland vient de passer… Tout doucement, millimètre par millimètre, je le sens me posséder. J’ai terriblement chaud, je suis écartelé. Mais c’est trop bon. D’un seul coup, il n’avance plus et je sens ses boules toucher mes fesses… J’ai réussi.

Tout doucement, il recule sans sortir et repousse plus profond. Je me prends un petit coup de popers et lui demande de me faire l’amour. Tranquillement, ses mains sur mes hanches, il imprime un rythme langoureux… Je vole, c’est trop bon.

Je lui demande de s’arrêter et de changer de position. Je veux le voir, face à moi. Je me positionne sur le dos, il prend mes jambes et les place sur ses épaules. Son gland est déjà là et veux retrouver sa place. Là, il donne un bon coup de rein et m’arrache un gémissement. Chaque mouvement de son bassin est de plus en plus puissant… son front perle de gouttelettes de transpiration.

Il est beau ce mec… je rêve… Oh que non, c’est bien toi que j’ai dans moi !

Son visage se crispe, il sent qu’il va venir… je lui fait signe que je veux recevoir sa divine semence sur moi. Il se retire, entoure son sexe de sa main puissante et en quelques mouvements, mon corps est recouvert de sa semence que je goutte rapidement… Quel goût… et on s’effondre tous les deux reprenant notre respiration.

S’en est suivie une discussion. J’ai appris que tu venais d’un pays assez lointain, que tu faisais tes études en France et que tu aimais baiser avec des garçons, même si ton projet lointain était de rencontrer une jeune fille et de fonder une famille.

On s’est revu un soir de fête de la musique chez toi une nouvelle fois, puis une autre fois à mon hôtel où nous avons même repris des forces après nos jeux autour d’une table. C’est comme cela que j’aime ces rencontres. Du sexe, mais pas que… Je t’ai même relu et corrigé ton mémoire d’étude.

Aujourd’hui, on échange très peu sur WhatsApp, on ne se voit plus car tu as rencontré la jeune fille que tu voulais. Je ne reste pas loin, tu le sais !