Septembre 2023. Je reçois à un message d’un mec à 200 bornes de chez moi. « Salut, ton profil m’intéresse »
« Merci mec, mais t’es un peu loin. Comment m’as-tu trouvé ? »
« T’es passé pas loin de chez moi cet après-midi et j’ai bien aimé la photo de ton cul ».
Le profil, 32 ans, actif… « Recherche passif de + de 40 ans, just for sexe ! » Une photo, d’un corps … plus que beau, enroulé dans des draps faisant entrevoir un sexe au repos mais déjà d’une belle proportion.
On échange plusieurs messages et arrive le moment de l’album. Et là, c’est du lourd ! Du beau gosse ! Un torse de sportif bien taillé, un sexe en érection qui doit bien avoisiner les 20 cm. Et le mec est chez lui, prêt à me recevoir quand je veux !
Je lui redis quand je devrais repasser dans son coin. Bon faut pas rêver, il va en trouver d’autres. Je ne vais pas me prendre la tête avec ce mec.
J’avoue sincèrement que je l’avais oublié totalement. Je roulais ce jour tranquille sur l’A29, direction Reims il y a 18 mois environ. Je fais une petite pause technique et en profite pour regarder mon appli de rencontre. J’aperçois dans une ville voisine le fameux mec de la dernière fois. Cela faisait un mois qu’il m’avait contacté.
« Salut, à te voilà dans le coin, tu viens ! Je suis chez moi, j’ai envie de toi ».
« A ouai mais moi je bosse » et même pour un mec comme toi, je dois reprendre la route pour filer sur Reims à mon rendez-vous.
Je reprends la route, et on continue à échanger. Il me dit être blessé, enfin en convalescence suit à un petit bobo physique. Ouf le principal fonctionne. Il me dit adorer les bisous, qu’on le suce longuement et baiser un bon cul. Je lui explique la situation, que j’ai repris la route. Et là, il m’arrête net, que compte tenu de son métier, on ne pouvait pas échanger sur Gaymec moi au volant et il me glisse immédiatement son 06, s’assurant que je puisse lui répondre avec mon kit main libre.
On a donc échangé encore pendant une bonne vingtaine de minutes et il me dit que je pourrais m’arrêtera mon retour, deux jours plus tard, vu que je repasserai par le même endroit.
Rendez-vous est pris, je lui ai demandé de pouvoir prendre une douche chez lui en arrivant.
Deux jours plus tard, chemin inverse, je sors de l’autoroute et me gare juste devant chez lui. Il m’a dit que la porte était ouverte, et qu’il m’attendrait nu dans son canapé.
Je rentre direct, referme la porte à clé comme il me l’avait demandé, rentre dans sa maison, laisse mes chaussures dans l’entrée et arrive dans le salon.
J’aperçois ce beau gosse de dos, regardant la télé, son torse bien large, il détourne la tête et me fait un large sourire. Je ne peux que lui répondre et surtout m’approcher de lui.
Je pose mes lèvres sur les siennes et cela sera le premier baiser d’une longue série.
Du coin de l’œil, j’observais son sexe en demi-molle prendre du volume. Il me dit, « la salle de bain est là. Ne perds pas de temps, j’ai envie de toi ! ».
J’ouvre ma chemise sur le chemin de la salle de bain et commence à me déshabiller, file sous la douche et procède à une douche en règle.
Il faut être nickel. De toute façon, c’est la condition pour me toucher. Je ressors de la douche, m’enfile dans un peignoir et le retrouve dans sa cuisine.
Il me fit signe de mon monter l’escalier devant moi pour aller dans la chambre. Ça va, pour un blesser, il arrive à se déplacer, grimper l’escalier tout en me touchant le cul et en me lâchant « je pense que je vais passer un sacré moment ».
Arrivé dans la chambre, je m’assois sur le lit et lui face à moi me présente son sexe bandé. Je commence par le regarder, lâche un sourire du quoi de la bouche, passe ma langue sur mes lèvres et le regarde dans les yeux. « C’est pour moi »… « A ton avis ? ».
Et là je prends ce sexe en main, lèche son gland, enroule ma langue autour et commence à le sucer. Il commence à souffler, lâcher des petits gémissements.
J’arrive tout doucement à le prendre de plus en plus en bouche, mais vu la courbure et ma position, si on veut aller plus loin, il va falloir changer.
Je m’allonge complètement sur le lit, le prends par la main, et l’entraine à mes côtés.
Nos corps allongés l’un contre l’autre, nous échangeons quelques bisous avant de pivoter. Et là, c’est parfait. La courbure de son sexe épouse parfaitement ma gorge, mon fond de gorge. Et c’est en douceur qu’il y prend place. Qui a parlé de violence policière… ce n’est que de la douceur ce mec.
Pendant que j’alterne les gorges profondes, il me suce aussi, mais surtout glisse sa langue un peu plus loin, un peu plus bas et un peu plus profond… Humm, que c’est bon.
N’oublions pas que mon blessé de guerre, enfin de sport devait être ménagé. Il se mit alors sur le dos. Garde à vous ! Bandé !
Et là je n’ai pas résisté. Je l’ai enjambé et me suis directement empalé sur son pieux de chair. Il m’avait parfaitement préparé le cul avec sa langue et devant cette beauté divine, je pouvais m’ouvrir comme une fleur. J’ai lâché cependant un petit « ouh » quand ses couilles étaient sur mon cul et son gland 20 cm au plus profond de moi. Il a souri. On a échangé quelques baisers et je commençais à onduler mon bassin.
Ce petit manège dura encore quelques minutes. Mais j’ai vite compris que l’âme du sportif allait reprendre rapidement sa place. Il m’attrapait, me faisait glisser sur le côté et je me retrouvais le nez dans le matelas.
Il prit position derrière moi. Je sentais son souffle chaud dans mon dos, son gland à l’orée de mon cul. Et là, il me plantait sa banderille en un seul aller. Je sentais ses couilles claquer sur mon cul. Il m’attrapait les hanches et commençait ses vas et viens de plus en plus profonds… Il tentait à chaque mouvement d’en rentrer plus.
Je gémissais comme un fou. J’avais chaud. C’était bon, et lui me lâchait « tu as un sacré cul mec, je suis bien dedans ».
« Alors, vas-y… fais toi plaisir et fais moi plaisir, lâche les chevaux ».
J’avais à peine fini ma phrase que le bougre me pilonnait avec une ferveur que j’avais peu rencontrée.
Son souffle s’accélérait.
Bon on avait carrément oublié les capotes mais il ne voulait pas juter dans moi.
Il se retirait, j’avais l’impression d’être tout vide, se mit sur le dos, sa barre en main et commençait à se masturber avec une vitesse folle. Je me positionnais juste au-dessus de lui, la bouche entrouverte, prêt à recevoir sa semence, m’étant introduit trois doigts dans le cul pour combler se vide.
Cela n’aura pas duré longtemps. Dans un grognement de bête, il lâchait plusieurs giclées. Un véritable feu d’artifice. J’ai réussi à en choper quelques gouttes et on s’affala tous les deux l’un contre l’autre.
« Waou, t’as un sacré cul mec, tu peux revenir quand tu veux »…
Bon ça c’était sur le coup. Mais depuis, même s’il kiffe mon cul, Monsieur est amoureux.
Quelle idée ! T’as mon 06 ! Alors quand tu veux !
Coolsexe
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