T'es un beau parleur. T'aimes bien te montrer en spectacle, t'aimes bien que les gens t'apprécient, tu kiffes te faire saucer. Tu te construis un fort caractère, tu clashes un peu les gens pour rigoler, mais bon je sais bien que c'est du pipeau. Ta barbe assez fournie qui trace les contoure de ton visage, tes cheveux courts crêpus noirs et ta peau bronzée dévoilent ton ethnie arabe. Tu mesures un peu moins d'un mètre 70 et tu n'es pas maigre. Ta grosse doudoune contraste avec tes survêts habituels. Les marques renommées de tes fringues et ton grand appartement trahissent ton niveau social. T'as l'habitude d'être la star, alors t'as fais en sorte de l'être aussi à la fac. T'es en couple depuis quelques années, y a eu des hauts et des bas mais c'est un peu ta fierté, tu peux t'en vanter auprès des gens. Ça t'empêche pas de flirter avec tout le monde, de te promener parmi les gens en les brossant dans le sens du poil. Pourtant, t'es pas un mytho, t'es pas un méchant, t'arrondis juste un peu les angles. T'es très intelligent, t'arrives bien à cerner leur caractère pour leur donner ce qu'ils veulent et qu'ils t'aiment. Moi aussi, tu m'as amadoué, et je te connaissais depuis Bac+1 mais j'ai pas voulu résister, y a quelque chose qui me démangeait. T'as bien senti quelque chose aussi, toi, quand on s'est retrouvés là à ce regarder dans le blanc des yeux après ton petit numéro devant tout le monde. Et maintenant t'es là, tout habille, à genoux devant moi, presque entièrement habillé aussi, à me sucer la bite. Putain, ta bouche elle est douée pour dire des belles phrases mais qu'est-ce qu'elle est habile pour m'accueillir comme ça et prendre soin de moi. Tu sais même pas ce qui te prend, t'es en couple avec ta meuf depuis longtemps, mais là t'as vu mon regard et t'as fait tomber le masque. J'adore te voir te donner comme ça, toi qui est toujours dans le contrôle de tout, là tu laisses tout aller et tu me suces comme un Dieu. Je te caresse les cheveux, tu me regardes, t'es en chaleur, tu veux me donner du plaisir, ni moi ni toi ne comprenons vraiment ce qu'il se passe. Tu fais passer ta langue dessus, dessous, autour, tu t'amuses à déformer ta joue avec mon gland, ta barbe qui forme un dôme et putain ça t'excite encore plus de t'imaginer comme ça, t'aimerais que je te filme pour te regarder mais tu me fais trop de bien pour que je puisse me concentrer sur autre chose. Tu fais une pause, tu prends le temps d'admirer mon membre, puis tu te bifles les joues avec, plusieurs fois, avant de commencer à le frotter contre ton visage entier. Je sens ta barbe, tes pommettes, ça m'électrise, t'es comme hypnotisé par ton nouveau jouet, tu penses qu'à lui. Tu l'empoignes d'une main pendant que l'autre se pose sur mon pubis pour me caresser. Ta bouche passe à mes boules. Le bout de mon sexe tapote contre ton front à chacun de tes mouvements, tu kiffes la sensation. Tu reposes tes lèvres dessus, ta bouche n'a jamais été aussi belle que maintenant. T'es beau comme ça putain, on n'a toujours dit aucun mot et ça restera comme ça, mais tu penses la même chose, t'as que mon plaisir en tête à cet instant et ça te rend ouf. Tu veux me faire jouir, ça t'obsède. Tu veux que ta bouche soit la meilleure que j'ai jamais visité, tu sais même pas pourquoi. Tu sais pas ce qui te prend, t'as envie de passer le restant de la journée à faire ça, à t'occuper de ma bite, "putain elle est trop belle et trop bonne" tu te dis. Je commence à gémir, ça t'enivres, tu te donnes encore plus, ta barbe frotte contre mes poils, ça me procure des frissons, elle est belle aussi cette barbe comme ça, déformée par ma queue. Tu te dis qu'elle a jamais été aussi belle que comme ça. Tu sers ma main sur tes cheveux et tu m'indiques que tu veux que je prenne le contrôle. Tu mets une main dans ton boxer, l'autre commence à me malaxer les couilles et tu fixes ton regard presque implorant sur mon visage. Je commence à tirer vers moi pour m'enfoncer plus loin, un sourire parvient tant bien que mal à se dessiner sur ton visage. Je caresse tes joues de ma deuxième main alors que je commence des va-et-vient plus rapides. On se fixe, on s'admire comme ça, tes doigts magiques me font monter la pression dans mes burnes, putain vas-y continue comme ça ta bouche est sublime et tu te délectes de ma verge délicieuse ; la sensation de mes mains qui te tirent les cheveux te font lever les yeux au ciel, tu donnes des coups de langue furtifs sur mon gland au passage, ça y est je peux plus t'es ma petite bouche à moi, j'ai à peine le temps de me retirer, ça jaillit sur ta jolie barbe et ton petit visage d'ange, je te sens sursauter alors que tu en fous partout dans ton froc en te branlant à peine, ta langue continue à passer sur l'orifice de mon gland alors que les derniers jet sortent, putain c'est trop bon, t'es un génie mec, je veux pas que ça s'arrête, tu peux continuer à faire ça pour toujours, et je vois dans tes yeux que c'est ce que tu veux aussi, alors je m'enfonce à nouveau pour retrouver la chaleur réconfortante du fond de ta bouche, et ça comble le vide qui s'était crée au fond de toi, tu veux plus qu'elle sorte, t'es accroc, c'est plus l'attention des gens qui t'intéresse mais celle de mon pénis, et tu veux tout lui donner en retour, putain, qu'est-ce qu'on est bien la tous les deux à se regarder dans les yeux, nos deux corps emboîtés parfaitement comme ça... On redescend tous les deux progressivement. Ni toi ni moi ne voulont briser ce lien entre nos corps et mettre un terme à toutes ces sensations... On ne calcule plus le temps, on n'a toujours pas bougé, je ne sais pas lequel de nous deux osera nous sortir de cette idylle que nous ne nous imaginions pas il y a si peu de temps, qu'est-ce qu'on a manqué...
Julian Lerkin
julianlerkin@gmail.com
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