J’étais en couple avec ma femme Stéphanie depuis 5 ans. On a tous les deux 34 ans. Tout allait bien jusqu’au jour où j’ai vu sans faire exprès un de ses messages avec son amant. Je suis tombé de très haut, et j’étais tellement déçu que j’ai décidé de me venger. J’ai compris qu’ils se voyaient le midi, car je ne rentrais pas manger, ce que j’ai donc fait quelques jours plus tard. J’ai ouvert la porte discrètement, et j’ai suivi la provenance des cris de ma femme. J’ai débarqué dans ma chambre d’un coup pour les surprendre en pleine action, et ça n’a pas manqué. Il était allongé sur le dos, Annie le chevauchant. Elle s’est relevée d’un coup quand je suis ressorti de la pièce.
– Antonin, attends, je…
– Quoi ?
Et là, contrairement à ce qu’on aurait pu penser, elle ne s’est pas excusée. Elle a commencé à me jeter des reproches à la figure. J’étais tellement amoureux d’elle que je me sentais coupable, elle a réussi à ce que je m’en veuille.
La prochaine étape a été de m’emmener dans la chambre, de me déshabiller et de me forcer à les regarder continuer leurs petites affaires. Je ne savais plus quoi faire. Je les ai regardés alors que l’autre la prenait en missionnaire. Et curieusement, j’ai commencé à bander, je ne sais pas pourquoi. Puis, elle m’a ordonné de m’approcher et de lui faire un cunni pendant qu’elle suçait l’autre. Je me suis exécuté. J’entendais ses gémissements étouffés par l’autre. Je me donnais à fond, je ne sais pas pourquoi, peut-être pour lui prouver qu’elle avait tort de ne pas me préférer.
Elle s’est redressée et a fait un signe de la tête à l’autre. Il s’est mis à quatre pattes devant moi, comme elle quelques secondes plus tard. Elle m’a ordonné de lui faire comme à elle. J’étais un peu dégouté au début, mais j’ai fini par céder, car elle avait une emprise sur moi. J’ai donc commencé à lécher le trou de l’autre qui a immédiatement réagi par des gémissements. Son apparence stoïque a complètement disparu, laissant place à un lâcher-prise complet. À ce moment, une lumière m’a traversé l’esprit. Pendant un instant, je n’étais plus sous l’emprise de ma femme, je désirais me venger.
Je me suis alors mis à genoux et j’ai présenté ma queue au trou de l’autre qui, perdu dans ses sensations, n’a même pas réalisé ce qu’il se passait. Ce n’est que lorsque j’ai poussé pour m’insérer en lui qu’il a compris ce qu’il se passait alors que Stéphanie me demandait d’arrêter. Mais je voulais lui montrer qu’elle perdait au change, alors j’ai continué à pousser. Étonnamment, l’autre ne donnait aucune résistance, immobile. Puis, un râle m’a indiqué que je pouvais continuer et qu’il prenait même du plaisir. À côté, ma femme devenait toute rouge, honteuse. J’ai pris une jambe de l’autre pour la soulever un peu et il a posé son pied contre le mur pour m’offrir son trou encore plus. Je lui ai donc pris les hanches et j’ai commencé à le baiser.
À mes souvenirs, je dois avouer qu’on baisait moins souvent vers la fin, alors je déchargeais toute mon énergie sexuelle sur cet homme qui avait profité de ma femme et qui se livrait maintenant à moi. Je pense qu’il ne comprenait pas plus que moi ce qu’il se passait. Il y a une différence entre une femme qui vous caresse l’anus et un homme qui vous pénètre, le mari de cette femme qui plus est. Je n’avais évidemment pas l’habitude de sentir un corps aussi massif que moi et poilu contre le mien. Stéphanie nous regardait avec des yeux ronds alors qu’on prenait tous les deux notre pied. J’allais le faire grimper au rideau comme jamais avant, et je sentais moi-même une puissante jouissance arriver. Ma femme est sortie en furie de la pièce et nous sommes restés emboités.
– Tu es mille fois mieux que ta femme.
– Ne parle pas d’elle !
J’ai alors poussé de toutes mes forces contre lui pour le renverser sur le côté. Je me suis jeté sur lui et je n’ai pas attendu pour le pénétrer une autre fois. On était en cuillère et je me rendais compte que je testais plus de choses avec lui qu’en un an avec ma femme. J’ai décidé de lui faire payer l’infidélité de celle-ci. J’ai passé une main sous son corps et une main au-dessus, pendant que mes jambes bloquaient les siennes. Mes mains se sont saisies des siennes, il ne pouvait plus bouger. J’ai commencé à lui labourer le cul, et j’ai obtenu de petits cris.
– T’aimes cette queue Stéphanie ?
– Oui je kiffe putain !
– Montre-moi ce que ça te fait quand je te défonce la chatte comme ça !
Il avait compris mon petit jeu de rôles. Il s’est mis à pousser des cris plus puissants, prisonniers de mes membres. Je lui palpais le ventre et je dois dire que je me suis dit que Stéphanie n’avait pas mauvais gout. Enfin en quelques sortes, vu la situation.
Elle est entrée à nouveau dans la pièce, en nous hurlant dessus. Pour seule réponse, j’ai accéléré le va-et-vient pour intensifier les cris de l’autre. Je lui mordais un peu la nuque et l’épaule, et il continuait de gémir. Il a alors bougé une main. Je l’ai laissé faire et il l’a passée dans mon dos. Il m’a caressé le dos et les fesses, me poussant plus près de lui, avant d’insérer son doigt en moi. Cela m’a procuré une sensation intense. J’ai su que je venais alors j’ai attrapé sa queue, et je l’ai branlé rapidement. Je lui mordais toujours la nuque, et j’ai joui comme ça en lui pendant qu’il éjaculait aussi sur les draps. Il a tourné la tête vers moi et on s’est embrassés pendant notre orgasme. Annie était restée bouche bée, avant de sortir de la chambre, dépitée. On s’est calmés tous les deux, mais il n’osait pas bouger, blotti dans mes bras. J’avoue que je n’avais pas très envie de me relever non plus, car j’étais épuisé. Mon couple était définitivement terminé et je profitais de ce moment d’intimité avec une personne, peu importe qui c’était. J’ai fini par me décider à aller prendre une douche, mais en le regardant, je me suis dit qu’il en avait plus besoin que moi.
– Tu es un mec bien, je… désolé.
Je ne savais pas quoi répondre alors je lui ai tendu une serviette. J’étais toujours en colère et triste, mais en même temps, je commençais déjà à devenir insensible à Stéphanie.
Julian Lerkin
julianlerkin@gmail.com
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