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Chapitre 8
Je ne sais pas depuis combien de temps je me suis endormis. Il fait nuit. J’entends tambouriné à ma porte. J’ai mis quelques minutes à réaliser que ce n’était pas en songe dans mon sommeil. Tout l’immeuble va être réveillé si cela continu. Je me précipite donc pour ouvrir sans même prendre conscience de mon état : nu, rasé et tondu, lisse comme un jouvenceau, maculé du sperme de mes visiteurs du jour… Je regarde par le judas : Abdou ! J’ouvre vite sans bien comprendre pourquoi il est déjà de retour, mort de peur je m’apprête à prendre la parole mais il pousse la porte et me bouscule pour entrer avec une telle force que j’ai le souffle coupé. Il porte deux gros sacs de sport qui semblent bien lourd. Il les jette dans le couloir. Je ferme la porte. Il m’attrape le bras et m’emmène dans la chambre
« T’es chier putain t’as mis des plombes à m’ouvrir ma pute »
Il pue l’alcool, il est complètement ivre.
« Suis crevé vient t’occuper de ton homme ma chérie »
Il se jette sur mon lit en m’entraînant avec lui. Il m’attrape la tête et me la plaque contre sa cuisse. Il se place sur le coté, sort sa queue et me la rentre directe dans la bouche. Je suis sur le coté aussi, face à lui, la bouche pleine de son sexe encore mou, sa main fermement calé derrière ma tête et là, il commence à pisser. Il ne se retient pas je suis obligé d’avaler rapidement la quantité très rapidement abondante qui sort de sa queue. Je manque de m’étouffer et tente de me retirer alors il plis sa jambe droite pour placer sa grosse cuisse musclée sur ma tête. Je suis complètement coincé : pas moyen de bouger. Je n’ai jamais avalé aussi vite de peur d’étouffer ou d’en mettre encore une fois plein mon lit. J’ai le ventre plein de la pisse de mon tortionnaire, la tête bloquée au creux de sa cuisse, son sexe encore dans la bouche, et je l’entends ronfler… Et moi comme une conne : je bande !
Je me suis endormi mais je suis réveillé par un mouvement sur mon visage. Abdou dort encore mais il est en train de se branler sur mon visage. Toujours bloqué dans la même position il frotte sa queue devenue très dure frénétiquement sur ma gueule par un simple petit mouvement de son bassin. Je tente de bouger mais je suis bloqué. Pas moyens de prendre sa queue en bouche (et oui on ne se refait pas), pas moyen non plus de m’échapper toujours bloqué sous sa cuisse et son bassin il s’est presque tourner entièrement au dessus de mon visage comme s’il baisait. Tout d’un coup il s’arrête et pousse un grand râle. Je sens les contractions de sa queue contre mon visage et entend son jus gicler au dessus de mon crâne et sans doute inonder mon lit. Je suis dans un état second, complètement excité, mais il continue à dormir, affalé ainsi sur moi, sa queue qui commence à se ramollir et son gland plein de jus qui coule sur mon front. Le temps passe et je m’assoupis à mon tour.
Claquement de porte, je suis réveillé en sursaut. A peine le temps de sortir des vaps que je vois Abdou entrer dans ma chambre. Le jour passe entre les lattes des stores.
« Alors ma belle au bois dormant, enfin réveillée ? »
Et il se penche vers moi pour me rouler un patin d’enfer, sa main droite derrière ma nuque, j’en ai des frissons partout. Il a une haleine à vomir mais il est étonnement tellement tendre, comme jamais il ne l’a été ! Il me regarde dans les yeux, ses lèvres à quelques millimètres des miennes, sa main droite toujours à me caresser ma nuque, et il me dit doucement :
« Ma meuf ma mis dehors alors en attendant qu’elle se calme, c’est toi ma meuf, alors dépêche toi de me faire un café ma petite caille chérie »
Puis il m’embrasse à nouveau, sa langue caressant avec vigueur la mienne qui exprime avec frénésie mon excitation. Il termine par un doux bisou du bout de ses si belles lèvres charnues, puis il se relève du lit et part dans la salle de bain.
J’enfile rapidement une chemise et un caleçon puis je pars dans la cuisine faire couler le café. J’en profite pour ranger rapidement et faire un peu de nettoyage pendant qu’il prend sa douche. Quand il sort de la salle de bain il attrape un sac dans le couloir et me rejoins dans la cuisine. Je suis aux anges. Ce grand black musclé, trempé, nu, la queue gonflée pendante et ballante au rythme de ses pas, me fait face chez moi, dans ma cuisine, avec le sourire du mal conquérant qui sait qu’il aura toujours ce qu’il veut : je suis liquide de bonheur, et dure comme un puceau devant son premier porno. Alors il me donne le sac et me dit :
« Habille toi ma chérie, fait toi belle pour moi et n’oublie pas, obéis moi si tu veux passer un bon weekend »
C’était trop beau, son regard pervers de retour j’ai retrouvé en un instant mon bourreau de sexe. Je fais mine de quitter la cuisine mais il me retient
« Habille toi ici ma petite pute chérie, devant moi ! »
Il me fais un merveilleux et tendre bisou sur la bouche (je fonds), puis il s’assoit sur une chaise, prend sa tasse de café en main et me regarde en le buvant. Alors j’enlève ma chemise, puis mon caleçon, et commence à regarder ce qu’il y a dans le sac. Pendant ce temps il me caresse doucement et tendrement les fesses. Sa queue posée su sa cuisse droite a déjà repris du volume et l’on peut la voir vibrer régulièrement au gré de sa reprise de vigueur : c’est un spectacle incroyablement aphrodisiaque ! Cela me motive encore bien plus que n’importe quelle drogue pour lui faire plaisir, je suis hypnotisé par ce mec qui a fait de moi en quelques jours seulement une soumise absolue.
« Que tu es belle comme ça » il me rentre un doigt dans le cul puis le remue en appuyant doucement sur mon fessier pour que je me retrouve contre le bord de la table, ma queue bandée coincée entre mon ventre et le rebord de la table
« ça t ‘excite un ma chérie ! »
Je le regarde et lui souris bêtement, vaincue. Dans le sac il y a un jockstrap que j’enfile tant bien que mal dans ma position, puis une petite robe de soie, blanche avec des grosses fleurs imprimées, j’hésite un instant, il le voit
« T’inquiète pas tu vas être merveilleuse avec ça ma belle »
J’hésite à peine alors que je n’ai jamais songé me travestir un jour, mais comment lui refuser quoi que ce soit ? Je vais pour la mettre mais il m’interrompt
« N’oublie pas ton sous tif ma pute »
Je regarde mieux dans le sac, effectivement il y a un soutient gorge. Il le prend, se redresse et se poste derrière moi, sa queue contre mes fesses, et il me place le soutient gorge sur ma poitrine en me l’attachant dans le dos. Je sens sa queue durcir sur mes fesses en même temps qu’il me caresse les seins par dessus la soie du sous-vêtement. Il me fait des bisous dans la nuque en me disant
« Tu n’a jamais été aussi bandante et sexy ma pute, j’adore les grosses comme toi, pas besoin d’hormones pour avoir des vraie mamelles de femelles »
Je le sens commencer à se frotter contre mes fesses, son gland cherchant le chemin de mon trou. Moi je commence à me dandiner, frottant ma queue contre la table et cherchant ostensiblement sa queue avec mon trou.
« Humm t’es trop excitante impossible de te résister tu vas faire des heureux aujourd’hui ma belle »
Je ne réalise même pas le caractère menaçant de cette annonce tellement je suis excitée. Alors qu’une de ses mains vient de passer sous mon soutient gorge pour commencer à jouer avec mon téton et le pincer doucement, son gland vient de trouver mon trou. Au moment ou il pince super fort mon téton avec ses ongles il rentre violement d’un seul coup sa queue en moi pour me bourrer frénétiquement.
Je pousse un énorme cri de douleur et m’appuie sur la table pour tenir le choque.
« Prend bien ma queue ma pute t’es trop bonne j’en peux plus je vais te faire un gosse maintenant »
D’un seul coup je me met à jouir alors qu’il me pilonne sans retenue et m’attrape les seins fermement avec ses grandes mains. Puis il se bloque au fond de mon cul en criant si fort
« Ouiiiiiiii, je t’aime trop ma pute »
Il se vide en moi dans un long râle puis se cale bien au fond de moi comme s’il ne voulait jamais en sortir. Petit à petit je sens tout son corps rejoindre le mien, son souffle atteint ma nuque en même temps que je sens ses pectoraux se poser sur mon dos. Puis il accompagne de doux bisous sur mon cou, sa queue encore bien gonflée toujours en moi par
« Que tu es bonnes c’est incroyable, jamais ma meuf me fait autant plaisir, tu m’a tellement manqué ma chérie, tu ne veux que mon bonheur n’est-ce pas ? »
Moi « Oui maître je suis toute dévouée à votre plaisir »
« Non pas maître ma petite caille, je son ton chéri ce weekend, et tu es ma femme ! »
Et il sort de ma chatte, me retourne m’enlace et me roule une pelle magistrale. Je me mets à pleurer de bonheur, il le voit et me dit
« Je vais te combler ma chérie, je vais te présenter à ma famille et tu vas pouvoir faire mon bonheur autant que tu le désires »
Moi « Oh oui mon cœur je t’aime trop » je ne me sens plus du tout suis complètement devenu ce qu’il a voulu faire de moi.
« Cool » me dit il en me faisant encore des bisous, « alors n’oublie pas, mon plus grand plaisir, c’est que ma femme respecte son homme et ses désirs, quels qu’ils soient »
Moi « Bien-sur c’est ma raison de vivre mon chéri » et je m’apprête à l’embrasser à nouveau mais il me lâche et me dit
« Alors dépêche toi d’enfiler ta robe on est attendu pour un barbecue piscine ce midi.
Pourtonplaisir
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