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Chapitre 7
Je suis toujours sur mon lit, couvert de sperme sur le visage, dans les cheveux et sur le dos, menotté, à ne pas oser bouger de peur de me faire encore frapper par Abdou. J’entends régulièrement du bruit dans la cage d’escalier. J’ai peur en permanence, peur de ce que m’a préparé Abdou, peur de qui va venir, peur si une voisine ou un voisin rentre, inquiets de voir ma porte ouverte…
J’ai l’impression qu’il se passe une éternité. Puis j’entends un bruit de pas à l’entrée, des gens qui rentrent tout doucement, le parquet du couloir grince, ils sont au moins deux à chuchoter entre eux, puis je les sens plus prêt de moi… Et soudain, un éclat de rire et il s’enfuient en courant. Je suis plein de honte à l’idée que c’était peut-être des voisins, que je croise tous les jours, pire, leurs enfants, les voisins du dessous ont deux garçons (des jumeaux) et une fille, à peine majeurs.
Enfin Abdou m’envoie un SMS
« Soit bien docile, ton dernier client vient terminer ton travail de préparation, à ma prochaine venue je t’emmène faire le tapin ma pute ».
Quelques minutes après j’entends quelqu’un rentrer. Il vient dans la chambre puis s’adresse à moi avec un accent des pays de l’est :
« Tu me plait bien salope comme ça, bouge pas ta gueule mais doigte toi la chatte pour mon plaisir »
Alors doucement je viens écarter mes fesses et rentrer mes doigts dans mon trou gluant du jus du pote d’Abdou, je me caresse les fesses et me branle le cul.
Pendant ce temps mon visiteur se déshabille puis me regarde. Il m’encourage « c’est bien fais toi plaisir » « que tu es belles quand tu te branle » « t’es trop bonne, tu aimes ça hein ?»
Excité à nouveau et commençant à bander je lui réponds comme un automate bien formé au larbinage
« hummmm oui j’adore ça, à ton service »
Lui « très bien alors à genoux tout de suite à mes pieds ! »
Je me précipite et tombe du lit. Difficile les mains toujours menottées derrière le dos. J’arrive tant bien que mal à me redresser, avec peine, sous ses moqueries, pour me retrouver à genoux devant lui. Je me retrouve alors devant un type en cagoule, très mince et très musclé, très blanc de peau couvert de tatouages, le stéréotype du mafieux roumain, mais surtout devant sa queue, demi molle, mais déjà somptueusement épaisse et couverte de belles veines qui semblent palpiter au rythme des mouvement de l’engin.
Immédiatement il m’attrape la tête et me colle sa queue sur le visage. Je bande comme un âne à me faire ainsi caresser le visage par cet énorme organe vivant qui semble vouloir prendre possession de moi.
Au bout de quelques minutes de ce traitement j’entends tout d’un coup le bruit d’un appareil alors que de sa main gauche il maintient plus fermement encore mon visage sur sa queue qui est en train de durcir. Je comprends terrorisé ce qui se passe quand je sens la tondeuse commencer à parcourir mon crâne depuis ma nuque au niveau de mon oreille gauche.
Par réflexe je tente de m’écarter mais son emprise est impressionnante, il plaque tellement mon visage contre lui que je suis à la limite d’étouffer s’il accentuait encore un peu la pression, sa queue bien dure contre mon œil gauche, ma joue mon nez et ses couilles pratiquement dans ma bouche. Il va ainsi, bien plus rapidement que je ne l’aurait imaginé me tondre complètement la tête, tout en branlant doucement sa queue sur ma gueule de salope qui finit finalement par se frotter à l’objet de mon envie.
Puis il me dit
« Salle de bain tout de suite ! »
Une fois dans la salle de bain il me place face au lavabo et au miroir. J’ai à peine le temps de me voir chauve qu’il me fait me pencher et m’embroche avec sa queue fermement mais doucement.
« Hummmm que t’es bonne »
Il remue un peu, mais très doucement, comme s’il veut faire durer le plaisir.
« T’es chaude, et maintenant en plus tu va être aussi lisse qu’une fillette qui vient de naître »
Je sens sa main sur mon crâne qui étale de la crème. Je n’ai plus peur tellement je suis excité, la queue en feu dure à m’en faire mal et probablement complètement mouillée de plaisir.
Il va soigneusement me raser le crâne, très attentionné pour ne pas me couper, tout en travaillant en permanence mon cul avec sa queue par de petits vas et vient incessants. Puis il me rince la tête et me passe une crème apaisante. Et là, le vrai mâle qui sommeille en lui prend le relais
« Prends ça grosse pute » il m’attrape les hanches et me bourre le cul à grand coups de boutoir si violement que j’en ai mal au ventre coincé sur le meuble du lavabo. Il suffira de trois ou quatre élans avant qu’il ne se plante au plus profond pour se vider. Je sens les contractions de sa queue au fond de moi et la chaleur de son jus qui m’inonde les entrailles en même temps que ma queue, bien incapable de bander suite à la violence de l’acte, se vide de mon excitation comme si j’étais en train de pisser.
Rapidement il se retire, détache les menottes (Abdou lui avait donc filer la clef) et va dans la chambre. J’entends des rires à ma droite, je tourne ma tête : plus personne mais horrifié je constate que la porte d’entrée, qui donne en face de la salle de bain, est restée ouverte tout ce temps. Je vois mon mafieux roumain sortir furtivement et me précipite pour fermer la porte. Je m’écroule sur le plancher, commence à pleurer, me caresse la tête désormais sans cheveux, je réalise à quel niveau de déchéance je suis tombé en si peu de temps complètement impuissant devant l’autorité sexuelle et psychologique de mon beau black à moi, et sans m’en rendre compte je commence à me branler pour jouir à nouveau. Abdou à vraiment fait de moi une chienne en manque.
Je me relève, je suis épuisée, souillée, excitée et apeurée, je m’allonge sur mon lit pour me reposer. Je reçois un SMS. C’est Abdou :
« Je suis très fier de toi, tu as été parfaite, et je suis sur que tu prends du plaisir, alors compte sur moi, je vais combler tes envies, et toi mon compte en banque ! Le weekend prochain je sors ma petite pute dans mon monde, tu vas adorer »
Je jette mon téléphone au pied du lit, plein d’appréhension, mais la queue au garde à vous !
Pourtonplaisir
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