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Chapitre 9
Il est reparti dans l’appartement. Moi dans la cuisine je viens d’enfiler pour la première fois de ma vie une robe. Je passe dans la salle de bain pour me regarder : ridicule ! La robe est jolie mais elle me boudine forcément vu que j’ai quelques kilos en trop. Mais il est vrai qu’on a l’impression que j’ai des seins c’est très étonnant. Plus étonnant encore, je me surprends à les caresser alors que ma queue se réveille… Je n’ai pas le temps de réfléchir à ce nouveau phénomène car Abdou me prend par le bras pour m’emmener
« Allez ma grosse, on y va sinon on va être en retard »
Moi « attend je ne sors pas comme ça »
« T’inquiète tous tes voisins savent qui tu es maintenant, et en ville avec moi à tes coté tu ne risque rien je t’assure »
A peine dis je me retrouve sur le palier à attendre l’ascenseur avec lui. Il me tient par la taille et me donne des bisous comme un mari avec sa femme. Evidement je bande comme un taureau et cela se voit avec cette robe moulante.
Moi « Arrête mon cœur s’il te plait, regarde c’est trop gênant »
« Ne commence pas à me décevoir je te rappelle que tu es à moi, une femme se laisse faire par son homme, que vont penser les gens si ma femelle n’est pas excitée par son homme, c’est ma réputation qui est en jeu »
Puis il accompagne ses bisous d’une main aux fesses qui m’assure de ne pas débander.
Pendant tout le trajet en bus puis en métro tout le monde nous aura observé, enfin surtout moi : un mec chauve, un peu gros, dans une robe de soie moulante, avec la queue en érection, ça ne se rate pas. Et Abdou avait raison, personne n’est intervenu. Le pire c’est que Abdou n’avait même plus besoin d’intervenir non plus pour me faire bander tellement la situation m’excitait autant qu’elle me couvrait de honte. Durant tout le parcours j’ai affronté les regards compatissants, moqueurs, réprobateurs et même parfois envieux. En fin de trajets, alors que nous arrivions en banlieue, dans la cité d’Abdou, ce sont les insultes qui commençaient à pleuvoir « regarde là cette salope elle va prendre cher » « Alors la pute on vient visiter les vrais boss» « Hummm mignonne ne t’égard pas sinon on sera de bons guides pour toi » disaient ils en se touchant la queue. Abdou ne disait rien, il était fier de m’exhiber ainsi.
Sortis du bus il me dit « tu me suis trois pas derrière sinon je te cogne devant tout le monde » sur un ton qui m’a terrifié. Je l’ai donc suivi ainsi longtemps, au moins trente minutes, entre les immeubles, cages d’escaliers, petits squares, croisant des jeunes de banlieue qui ne cessaient de m’insulter et de le féliciter, puis après une rangée de garages, juste derrière, nous sommes arrivés.
Décor étonnant : le mur derrière le garage totalement tagué. Trois « barnum » dressés pour faire de l’ombre. Dessous quelques tables et des chaises, un barbecue, trois gars en train de discuter, deux beaux grands blacks, et un arabe, très beau aussi mais moins musclé, plus enveloppé et surtout très poilu. En face d’eux, une piscine, assez grande, posée sur le terrain vague et des enfants plus ou moins grands, des ados et de jeunes adultes à peine majeurs joue et profite de la fraicheur de l’eau, avec quelques filles. Bien entendu tout le monde en maillots de bains, laissant imaginer sans pudeur la taille de leurs engins respectifs.
Abdou fait un signe vers la piscine puis va saluer ses amis sous le barnum. Ils parlent dans une langue que je ne comprends pas. Eclats de rire et réactions d’effarement pendant que je vois les filles emmener les plus jeunes, mineurs, pour quitter l’endroit.
Je ne sais plus ou me mettre, je suis si gênée. Les plus grands discutent et les plus jeunes depuis la piscine me regardent en discutant. Il n’en reste plus que trois, à peine en âge de voter. Je me retrouve là loin de chez moi, je ne sais même pas où, habillé en fille et tondu avec 4 mâles alpha et trois mecs : tout d’un coup je prends peur.
C’est à ce moment là que Abdou m’appelle.
« Vient je te présente la famille »
Je le regarde sans comprendre mais j’avance vers eux comme un automate qui n’est plus maître de lui. Il me prend dans ses bras, me plaçant fasse à eux.
« Voilà ma chérie je te présente Soumah à droite, Babacar à sa gauche… »
Je sens qu’il frotte sa queue contre mes fesses et ses mains sont venues entourer et palper mes seins
« … et Farid pour finir. Ce sont comme mes frères, je partage tout avec eux alors va leur dire bonjour comme si chacun d’eux était moi »
Puis il me pousse vers eux. Je suis pratiquement projeté contre Soumah qui m’attrape dans ses bras et me sert contre lui, sa bouche vient prendre possession de la mienne pendant que son bassin vient me faire sentir sa queue contre mon ventre. Je suis immédiatement à nouveau excitée. Puis il me file une fessée monstrueuse pour me projeter contre Babacar qui me retourne et m’attrape le bas de ma robe pour la remontée un peu. Je me retrouve face aux jeunes de la piscine qui n’en perdent pas une miette. Babacar me fait des bisous dans le coup en même temps qu’il plaque sa main contre mon sexe bandé. Il paraît tellement petit comparé à sa main.
« Alors tu es toutes excitée ma jolie, ce n’est que le début tu sais »
Et là il commence un mouvement rapide de sa main pour me frotter la queue. Il ma maintient fermement avec son bras gauche pendant qu’il me frotte la queue devant tout le monde. Les jeunes depuis la piscine l’encouragent « vas-y fait la jouir cette pute » « plus vite ! Elle prend trop de plaisir » « vas y vide là qu’on puisse l’utiliser longtemps ! »
Je suis surexcitée, je me torts dans tous les sens, c’est tellement bon et cruel à la fois, au bout de quelques minutes je me vide dans mon jockstrap en criant de plaisir, sous les insultes de tous ces mâles puis je m’appui épuisé contre mon tortionnaire. Lui à remonter sa main droite vers mon visage et étale tendrement le jus qui a traversé le tissu sur mon visage
« C’est bien petite pute, on va pouvoir te rendre utile maintenant »
Alors il me pousse vers Farid qui m’attrape par les reins puis remonte ses mains le long de mon corps pour m’enlever ma robe. Je me retrouve en jockstrap trempé de sperme, en soutient gorge, tondu et rasé, dans les mains d’un arabe poilu qui alors me fait tourné sur moi-même pour que tout le monde puisse contempler la pute du jour.
« Vient là petite salope que tu saches à qui tu as à faire »
Il me rapproche de lui puis m’appuie sur les épaules afin que je me retrouve à genoux devant lui. Là il s’immobilise et attends un moment. Avec sa main il frotte un peu son sexe devenu très gros sous son slip de bain. Je vois Babacar approché avec Abdou à ma droite. Alors j’approche ma bouche pour commencer à lécher le sexe de Farid à travers son slip…. Bing, une bonne baffe dans la gueule « non mais c’est qui qui décide ici ? » Farid vient de me gifler et Abdou de me rappeler à l’ordre.
Alors Farid sort sa queue, pas encore dure comme fer mais impressionnante déjà, gonfler et prête à se mettre à l’œuvre.
« Ouvre bien ta bouche salope je suis sur que tu as besoin de boire un peu après tant d’émotion » et là il commence à me pisser dans la bouche.
« Hummmm ça fait du bien » Il oriente le jet sur tout mon visage pendant que je sens la pisse de Babacar et d’Abdou m’atteindre aussi. Ils m’arrosent partout, la tête, les seins, les jambes ma queue ma bouche. Je suis trempé de partout de leur pisse chaude, à genoux dans une flaque qui disparaît rapidement dans le sol.
Ils rangent leur matos et Abdou me dit
« Voilà les présentations sont faites, va nous préparer la bouffe chérie, dépêche toi ».
Farid court rejoindre les jeunes dans la piscine pendant qu’Abdou s’assoit avec Soumah pour discuter. Je me dirige vers le barbecue et aperçoit la glacière. Je l’ouvre et commence à préparer les côtelettes d’agneau avec des herbes et de l’huile. Le barbecue est électrique c’est facile.
Je suis donc en train de préparer un barbecue, dans une citée de banlieue, pour 7 gars surexcités, uniquement en sous vêtements, trempé de pisse et de mon jus : c’est surréaliste.
Je me retourne pour préparer la table et je remarque alors que Abdou et Soumah son nus ! Ils ont enlevés leurs maillots de bain. La queue d’Abdou repose sur sa cuisse comme à son habitude alors que celle de Soumah est droite entre ses cuisses, une bonne grosse bite black bien dure qu’il caresse ostensiblement en discutant comme si de rien n’était avec son pote. Je tourne alors la tête vers la piscine et je me rends compte que plus personne n’a son maillot de bain. Ils sont tous par terre à coté de la piscine et je vois Farid, la queue dressée, se diriger vers moi accompagné d’un des jeunes, un black, mais plus métisse, avec une queue qui semble déjà dure comme du béton tellement qu’elle ne bouge presque pas au rythme de ses pas. Je reste là hypnotisé par cette vision alors qu’ils s’approchent de moi.
Pourtonplaisir
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