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Je ne veux pas voir ça, je baisse la tête, c’est sans compter sur la vigilance d’Alban qui me saisit par les cheveux et la redresse.
- Un conseil cousin, évite de fermer les yeux si tu ne veux pas une grosse baffe dans ta gueule de lope, mon meilleur pote se fait démonter par ta faute là, dit-il de façon méprisante.
Le bâillon de Simon est vite enlevé et il se fait embrocher des 2 côtés sans ménagement pendant que 2 mâles lui tiennent fermement les bras et positionnent son torse à l’horizontale. C’est sauvage et bestial, ils lui passent tous dessus, ou plutôt dedans, avec force.
La situation semble exciter Alban, il monte sur le lit et entre en moi tout en me maintenant la tête droite en me tenant par les cheveux, il s’active lentement, mais fermement, ses coups de reins sont puissants. Il décide enfin de m’enlever le bâillon.
- Alban, détache-moi s’il te plait, laisse-moi prendre sa place, il ne mérite pas ça…
Je prends une gifle puissante.
- Ta gueule Yan, fallait te bouger plus tôt et y mettre plus de cœur à l’ouvrage quand t’en as eu la possibilité.
Il a raison, je regarde impuissant la meute passer sur Simon, ils sont endurants, ils prennent leur temps et ils le défoncent aussi bien par le cul que par sa bouche, mais ils ne jouissent pas, ils veulent que ça dure longtemps. Quand l’un d’eux sent que sa jouissance approche, il se retire, laisse la place à un autre et ne touche plus sa queue. Ils lui tournent autour, je finis par ne plus le voir, j’entends juste les râles de ses bourreaux et ses couinements, gémissements, entre plaisir et douleur.
Alban s’active de son côté, mais fait aussi en sorte que ce soit long, je n’apprécie pas ce moment, focalisé à chercher Simon et à espérer qu’il va bien du moins, pas trop mal. Mais je sais aussi de Simon m’a dit avoir besoin de ça, il a parfois « besoin de se reprendre en pleine gueule ce qu’il a infligé aux autres » pour reprendre ses termes et je sais qu’il en joue actuellement. Mais c’est difficile pour moi de savoir que ce qu’il lui arrive est ma faute.
Ibrahim me sort de mes pensées en se présentant devant moi, son gland se pose sur mes lèvres, j’ouvre la gueule, il s’installe dedans et pisse. J’avale par réflexe, il soupire d’aise, la vessie vidée, je sens sa queue gonflée. Alban commence à pousser et retirer ma tête sur le chibre d’Ibrahim qui atteint rapidement sa taille maximale. La cave résonne de gémissements, de couinements. Et j’entends parfois Simon gémir, il gémit de plaisir, il prend son pied en fait. J’en finis par déduire que tout ceci n’était qu’une mise en scène, tout a été fait pour que je « ne sois pas à la hauteur », à bien y réfléchir, c’est l’évidence même. Simon veut se faire dérouiller et je sers de vide-couilles et d’urinoir, c’est mon job.
Ibrahim ne tarde pas à jouir et son sperme inonde ma gueule, il ne fallait que ça pour me transformer ou plutôt, me remettre à ma place. J’aspire, j’avale en couinant, j’en veux plus, beaucoup plus.
Hamza choppe Ibrahim par les cheveux, l’emmène dans le « petit coin prison » et il l’attache debout, les bras en l’air avant de revenir vers moi. Pendant ce laps de temps, j’arrive à apercevoir Simon au milieu de la meute et je le vois pomper et se faire prendre avec un plaisir non dissimulé. Je suis rassuré alors, lorsqu’Hamza se présente devant moi, torse nu, la queue raide qui pointe en dehors de son jean, je la gobe et m’applique à lui procurer du plaisir. Je sens alors la poigne d’Alban s’effacer, il s’allonge sur mon dos pour approcher sa bouche de mon oreille.
- Ben voilà Yan, t’as enfin compris la mise en scène, c’est une idée de ton mec, fais-lui honneur, tu n’as pas idée de combien tu comptes pour lui. Je crois bien que c’est la première fois que je l’entends dire qu’il est amoureux…Mais bon, pour l’heure il a besoin de se faire dérouiller et toi tu vas bien faire ton job de lope, hein cousin ?
Je fis un léger signe de tête positif, ma gueule est occupée par la belle bite d’Hamza, Alban se redresse et s’enfonce à fond dans mon cul en me tapotant l’épaule comme pour me dire « c’est bien, brave bête », il reste immobile et me regarde pomper.
- Aller vas-y pompe bien salope, fais en sorte que ton Maître soit fier de toi pendant qu’il prend son pied de son côté…
Bizarrement, le mot « Maître » résonne d’une façon étrange dans ma tête, voilà bien longtemps que je n’ai pas été au service d’un Maître et je ne vois pas Simon comme tel, du moins, je ne le voyais pas. Et pourtant, il fait de moi ce qu’il veut, il claque des doigts et j’obéis. Depuis notre rencontre vendredi dernier, il me domine c’est certain, mais il a des sentiments, est-ce qu’un Maître peut avoir des sentiments pour son bâtard ? Ceux devant lesquels je me suis agenouillé ne m’ont jamais vu autrement que comme un vide-couilles, un objet à leur disposition qu’ils utilisaient ou offraient, mais Simon c’est différent, souvent il m’humilie, mais parfois il est tendre et me fait l’amour, il a des mots gentils, il ne cache pas ses sentiments…
Mais pour autant, Alban a raison, je suis l’esclave de Simon alors par définition, il est mon Maître à qui je dois obéissance.
Je pompe Hamza de mon mieux, lui arrachant des cris de jouissance au moment où il décharge dans ma gueule un flot de sperme onctueux, crémeux et bien épais. Lorsqu’il se retire, je mâche lentement, je mange et me régale de ce sperme de mâle maghrébin.
- Quelle salope tu fais, dit-il en me toisant avec un sourire narquois, je lui souris en retour, je prends une petite tape sur ma joue et il ajoute, t’inquiètes pas Yan, on va tous te nourrir, c’est un souhait de Simon et je respecte ton Maître même si là mes potes le démontent.
Seconde fois que le mot « Maître » est utilisé par deux personnes différentes, c’est donc ainsi que les autres nous voient ? Lui le Maître et moi l’esclave ? C’est cohérent, je suis aux pieds de Simon, à ses ordres.
Je termine de mâcher et j’avale en couinant puis j’ouvre de nouveau la gueule, Hamza ricane, il remet sa bite dans ma gueule et pisse avant de se tourner vers ses potes puis d’aller se vautrer dans un canapé, il est crevé, couvert de sueur, très excitant, très mâle.
- Au suivant, la pute est affamée et assoiffée…
J’ai la gueule ouverte, j’attends la bite suivante qui tarde à venir, je couine, ça fait rire Alban qui est toujours en moi et ne bouge pas, il me regarde, je sens juste sa queue palpiter par moments, mais il est bien immobile. Une nouvelle queue arrive enfin et je la gobe en gémissant.
- Putain cousin, je t’ai cru hétéro coincé du cul pendant des années, si j’avais su, je t’aurais rempli l’estomac toutes les semaines ! T’es vorace et endurant, ah si Simon ne t’avais pas mis la main dessus, je crois bien que j’aurais fait de toi mon esclave sexuel aussi…
Je pompe avec plaisir, je fais mon job de lope et j’écoute Alban. Aux yeux de tous, le fait est acquis que j’appartiens à Simon, sauf aux miens visiblement, car je ne sais toujours pas ce que je vais lui répondre vendredi. Nous sommes mercredi après-midi ou soir, je ne sais pas vraiment, en résumé, il me reste une journée pour prendre ma décision et je peux rendre ce vendredi merveilleux comme extrêmement douloureux.
Et pendant que je mène ma terrible réflexion, les beaux mâles virils arabes, musclés, mal rasés passent un à un dans ma gueule pour y décharger et y pisser avant d’aller s’installer sur le canapé ou une chaise. Je mange et je bois, je me fais remplir l’estomac sous l’œil attentif d’Alban qui commente régulièrement, m’insulte et affiche de réels regrets de ne pas avoir pu me baiser plus tôt.
Il n’en reste plus que deux sur Simon, je le vois parfaitement en train de sucer et se faire démonter le cul à 4 pattes. Même soumis, il reste superbe et charismatique, il garde une prestance que je n’ai pas, je ne suis rien qu’un trou, lui on le baise hard, mais avec respect, ça se voit, ça se sent et on ne peut que réagir ainsi face à lui. Lui c’est un mec, moi je suis une lope. Lui c’est un mâle supérieur, moi un inférieur qu’on utilise.
Celui qu’il suçait se dirige vers moi en se branlant, j’ai déjà la gueule ouverte, à peine installé dedans, je reçois ma dose de foutre puis de pisse avant qu’il ne rejoigne ses potes, en retrait.
Il n’en reste plus qu’un qui encule Simon. Mon mâle râle de plaisir, gémit de satisfaction et ses yeux finissent par se planter dans les miens. Il me sourit, je le regarde avec une certaine gêne.
- Je ne pourrai pas m’en passer Yan, dit-il enfin avec une voix saccadée par les coups de queue qu’il reçoit dans son cul, mais au moins j’ai voulu partager, ils me baisent et se soulagent dans ta gueule, on aura pris notre pied tous les 2 comme ça et je crois qu’eux aussi ont pris le leur, par vrai les mecs ?
La troupe acquiesce en riant, certains bandent même de nouveau. Simon est trempé de sueur, son corps est luisant, hypnotique, magnifique, ses poils sont encore plus noirs, comme quand il sort mouillé de la douche, il est de loin le plus viril de tous dans cette pièce. Le plus bel homme que j’ai jamais vu et je suis son esclave… Jusqu’à jeudi soir…
Le dernier assaillant sort de son cul, vire sa capote et vient vers moi, je n’échappe pas au remplissage en bonne et due forme et j’en suis ravi. Il part rejoindre la troupe. Simon se redresse mais reste à genoux, il exhibe son corps si parfait aux yeux de tous, il bande comme un fou.
- Vous êtes vraiment super endurants, dit Hamza qui bande de nouveau et se branle lentement. On a passé sur une super aprem grâce à vous encore une fois, merci les gars. On va vous laisser seuls quelques minutes, mais après la salle est réservée Ibrahim a des clients à satisfaire.
Ibrahim est détaché et file dans le coin douche, les autres remontent sortent de la cave. Simon se lève, le Mâle est debout, fort, puissant, il s’approche de moi, la queue dressée, j’ouvre la gueule, mais Alban m’appuie sur la tête pour la baisser et avale la queue de Simon tout en commençant à s’activer en moi.
- Il y avait très peu de chance à ce que tu réussisses à gagner mon pari Yan, dit Simon, mais tu aurais pu y mettre plus d’entrain. On avait convenu avec Alban que si tu ne te débattais pas assez longtemps et fortement, tu n’aurais pas mon sperme. Sarah a fait naître chez ton macho de cousin des envies cachées et je vais lui offrir mon foutre. Alban est aujourd’hui un mâle et une salope et c’est lui qui va avoir l’honneur de me vider les couilles.
Je suis vexé en entendant ses mots, mais là encore, il a raison, je ne me suis pas assez donné, je n’ai pas fait les efforts attendus, je mérite ma « punition ».
- Pardon… Pardon Simon, dis-je la voix tremblotante.
Je sens sa main se poser sur mes cheveux et les ébouriffer.
- T’inquiètes mon cœur, on avait un peu organisé les choses pour que tu n’y arrives pas, j’avais besoin de ma dose de queue dans ma bouche et mon cul… J’avais besoin de sexe hard et dépravé… Je t’aime Yan…
Lorsque j’entends ces mots, je ne peux retenir mes larmes, je m’entends répondre un « moi aussi » étranglé dans mes sanglots. Alban jouit brutalement, je sens sa queue gonfler dans mon cul et il souffle comme un fou toujours en suçant Simon. Il m’empale à m’en faire lâcher un petit cri et je le sens se détendre lentement. Simon lui jouit dans la bouche et, sans que je m’y attende, Alban me redresse la tête pour me rouler une pelle avec le sperme encore bien chaud de Simon. Finalement, j’ai un lot de consolation…
Les ébats terminés, je suis détaché, tout le monde se rhabille, Ibrahim sort du coin douche et vient s’installer sur le lit. Il nous remercie pour la séance et nous montons les escaliers après l’avoir salué. Dans le salon, Hamza est à présent seul, toujours torse nu, il nous attend, nous remercie de nouveau pour ce très bon moment. Lorsque la sonnette retentie, il va ouvrir et un homme dans nos âges entre, il semble gêné, Hamza récupère des billets et l’accompagne à la porte de la cave, l’homme descend, Hamza referme la porte.
- C’est une vraie pute alors maintenant ? Demande Simon.
- Je te l’ai dit mec, oui, il ramène de la thune et maintenant il prend du plaisir. Encore merci à vous pour ce super moment, mes potes sont très contents, si vous repassez dans la région, faudra venir nous voir, on pourra s’amuser.
Nous regagnons la voiture, je monte à l’arrière, laissant les mâles devant. Il est 22 heures, le temps a bien filé, nous passons au drive d’un fast food, Alban et Simon passent leur commande, Alban sort de sa poche la capote dans laquelle il a joui et me la donne.
- Tiens cousin, ta dernière dose, t’auras rien d’autre aujourd’hui.
Nous arrivons à l’hôtel vers minuit, lorsque j’entre dans la chambre, Simon me caresse et m’embrasse, il m’emmène sur le lit avec tendresse.
- Dors bien mon beau bâtard, il ne nous reste que demain pour en profiter après, j’ai bien compris que c’est fini, t’inquiètes pas, je survivrai…
Je n’ai de nouveau pas les mots pour répondre et nous nous couchons en silence…
Yan
ftasm@yahoo.fr
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