Tout à commencé par un message sympathique pour me remercier de partager mon histoire et nous avons commencé à échanger simplement.
Formaté en bon bâtard, je le vouvoyais déjà dès la première réponse et il me précisait qu'il appréciait de voir que je savais déjà où était ma place.
Inutile qu'il se présente plus, j'avais affaire à un mâle, un vrai, un dominant.
Nous avons échangé quelques messages puis j'ai ressenti le besoin, le devoir de me mettre à genoux à chaque message écrit.
Je lui précisais cette action, là aussi, il indiquait que c'était ma place....
Les messages restèrent courtois la première journée, nous étions géographiquement loin l'un de l'autre donc aucune possibilité de nous rencontrer puisque qu'après l'épisode Théo, je me suis mis en couple mais je ne sais pas résister à un mâle dominant.
Puis les ordres sont tombés peu à peu, lorsque je répondais à ses questions, il me dictait la conduite à tenir.
Dès le lendemain, je n'avais plus le droit de me branler et de gicler sans le lui demander.
Les raclures et sous-races de mon espèce n'ayant pas le droit de décider selon lui.
Et j'ai obéi.
Au 3ème jour, j'avais consigne d'être à poil dès que j'étais seul et de sortir sans sous-vêtement et de poser des pinces à linge sur mes tétons.
Chaque jour un peu plus longtemps, douloureux au début, c'est vite devenu un besoin.
Mes demandes d'autorisation de gicle étaient refusées et en contre-partie de la demande, j'ai dû commencer à boire de nouveau ma pisse, ce que je ne faisais plus depuis un long moment.
Puis tout s'est enchaîné naturellement, je l'ai appelé "Maître"... Signal que tout était permis, que je lui donnais tous les droits sur moi.
Il m'a frustré, humilié et rabaissé et je disais "Merci Maître".
Je lui ai fait chaque jour des photos de son bâtard, fait parvenir des vidéo de la tarlouze que je suis en train de boire mon verre de pisse.
La récompense est arrivée : droit de gicle...
Mais je devais bouffer mon foutre, parfois le congeler et mettre les glaçons le lendemain dans mon café du matin.
Ma première douche du matin était avec ma pisse, à genoux dans la douche.
J'apportais les preuves, bandais en lui écrivant à genoux, il m'insultait en retour, augmentant mon excitation.
Depuis le mois d'août 2017, il me gère à distance, faisant de moi son pantin inférieur, un bâtard qui frétille de la queue quand il a un message de lui, une tarlouze dont le seul plaisir est de lui faire plaisir.
Je ne l'ai jamais rencontré mais je suis sa putain, son pédé, son bâtard, sa tarlouze, sa sous-race et mon Maître me respecte et s'intéresse à moi, c'est ce qui le différencie des nombreux bourrins entre les mains desquels je suis passé.
Chaque gicle autorisée est un pur délice, je me régale de mon foutre en l'imaginant se soulager dans ma gueule.
Ma pisse est redevenue ma boisson quotidienne que je bois en son honneur.
Le moindre de ses mails est un plaisir.
Mon Maître est versatile... Ce qui accroît mon respect à l'imaginer s'offrir à d'autres car quand il me gère, je me sens ridiculement petit.
Il m'a soumis à distance, sans jamais me toucher, il est dans mon esprit et je lui appartiens.
J'attends le jour où je pourrai enfin me prosterner devant lui, lui baiser les pieds et ouvrir grand la gueule pour recevoir son foutre et sa pisse en récompense de mes loyaux services.
Je suis le bâtard, le pédé, la tarlouze, la pédale, la chienne, la sous-race, la raclure, l'enculé de mon Maître Stephdub...Mon Maître
EMAIL : ftasm@yahoo.fr
HISTOIRE :
Tout à commencé par un message sympathique pour me remercier de partager mon histoire et nous avons commencé à échanger simplement.
Formaté en bon bâtard, je le vouvoyais déjà dès la première réponse et il me précisait qu'il appréciait de voir que je savais déjà où était ma place.
Inutile qu'il se présente plus, j'avais affaire à un mâle, un vrai, un dominant.
Nous avons échangé quelques messages puis j'ai ressenti le besoin, le devoir de me mettre à genoux à chaque message écrit.
Je lui précisais cette action, là aussi, il indiquait que c'était ma place....
Les messages restèrent courtois la première journée, nous étions géographiquement loin l'un de l'autre donc aucune possibilité de nous rencontrer puisque qu'après l'épisode Théo, je me suis mis en couple mais je ne sais pas résister à un mâle dominant.
Puis les ordres sont tombés peu à peu, lorsque je répondais à ses questions, il me dictait la conduite à tenir.
Dès le lendemain, je n'avais plus le droit de me branler et de gicler sans le lui demander.
Les raclures et sous-races de mon espèce n'ayant pas le droit de décider selon lui.
Et j'ai obéi.
Au 3ème jour, j'avais consigne d'être à poil dès que j'étais seul et de sortir sans sous-vêtement et de poser des pinces à linge sur mes tétons.
Chaque jour un peu plus longtemps, douloureux au début, c'est vite devenu un besoin.
Mes demandes d'autorisation de gicle étaient refusées et en contre-partie de la demande, j'ai dû commencer à boire de nouveau ma pisse, ce que je ne faisais plus depuis un long moment.
Puis tout s'est enchaîné naturellement, je l'ai appelé "Maître"... Signal que tout était permis, que je lui donnais tous les droits sur moi.
Il m'a frustré, humilié et rabaissé et je disais "Merci Maître".
Je lui ai fait chaque jour des photos de son bâtard, fait parvenir des vidéo de la tarlouze que je suis en train de boire mon verre de pisse.
La récompense est arrivée : droit de gicle...
Mais je devais bouffer mon foutre, parfois le congeler et mettre les glaçons le lendemain dans mon café du matin.
Ma première douche du matin était avec ma pisse, à genoux dans la douche.
J'apportais les preuves, bandais en lui écrivant à genoux, il m'insultait en retour, augmentant mon excitation.
Depuis le mois d'août 2017, il me gère à distance, faisant de moi son pantin inférieur, un bâtard qui frétille de la queue quand il a un message de lui, une tarlouze dont le seul plaisir est de lui faire plaisir.
Je ne l'ai jamais rencontré mais je suis sa putain, son pédé, son bâtard, sa tarlouze, sa sous-race et mon Maître me respecte et s'intéresse à moi, c'est ce qui le différencie des nombreux bourrins entre les mains desquels je suis passé.
Chaque gicle autorisée est un pur délice, je me régale de mon foutre en l'imaginant se soulager dans ma gueule.
Ma pisse est redevenue ma boisson quotidienne que je bois en son honneur.
Le moindre de ses mails est un plaisir.
Mon Maître est versatile... Ce qui accroît mon respect à l'imaginer s'offrir à d'autres car quand il me gère, je me sens ridiculement petit.
Il m'a soumis à distance, sans jamais me toucher, il est dans mon esprit et je lui appartiens.
J'attends le jour où je pourrai enfin me prosterner devant lui, lui baiser les pieds et ouvrir grand la gueule pour recevoir son foutre et sa pisse en récompense de mes loyaux services.
Je suis le bâtard, le pédé, la tarlouze, la pédale, la chienne, la sous-race, la raclure, l'enculé de mon Maître Stephdub... (Lire l'histoire croisée)
Yan
ftasm@yahoo.fr
Autres histoires de l'auteur : Mariage pour tous | Pisse and Love | Déclaration de dépendance | Faites vos jeux | Triangle à géométrie variable... | Mon Maître | Le chalet