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Ibrahim est assez mince, pas du tout musclé, une légère ligne de poil part de son nombril pour descendre au pubis, le reste du torse est imberbe, 2 tétons généreux et larges. Un visage très fin, bien rasé, des cuisses extrêmement poilues. Pas vraiment mon style, mais je n’ai pas le choix, je suis à sa disposition. Mais les Magrébins, qu’est-ce qu’ils sont attirants ! Qu’est-ce qu’ils sont eux aussi charismatiques ! Intérieurement, je suis content de lui être offert, les rares qui me sont passés dessus m’ont tous laissé un très bon souvenir. Il est toujours à genoux et il me regarde, il m’évalue, je vois sa queue grossir lentement, je suis debout, jambes écartées, mains dans le dos.
- Rampe jusqu’à moi, joue contre le sol sans qu’elle le quitte et très lentement. Je m’exécute, m’allonge sur ce carrelage froid, mais propre et avance lentement en frottant ma joue au sol, je l’entends grogner de satisfaction. Lorsque j’arrive entre ses jambes, il m’ordonne de me retourner pour lui lécher les couilles. Je m’applique donc à lécher avec délicatesse ce sac au trésor, celui qui abrite en son sein la semence de mâle qui me rend si salope. Après un long moment à bien lécher, il s’avance un peu, me présentant son cul à bouffer, il s’assoit littéralement sur ma gueule sans dire un mot et je commence à lui lécher le fion. Sa rondelle est chaude, on sent que son cul a été assailli et a bien servi. C’est propre, heureusement, sinon ça aurait été impossible. Lorsque ma langue effleure sa rondelle, il émet un soupir de plaisir alors bien sûr que je vais lui faire plaisir, je sers à ça, j’ai été offert pour ça. Alors je le fais soupirer, gémir et bientôt couiner en m’appliquant à lui faire du bien. Ma langue s’active, mes mains osent le caresser, je le sens se détendre, prendre du plaisir. Il me laisse faire un long moment puis nous fait basculer sur le côté pour s’allonger sur moi et aller me prodiguer la même chose, nous voilà à nous bouffer le cul comme des fous, nus, sur le carrelage. Il s’y prend très bien également et me fait rapidement lâcher de petits couinements. C’est bon, c’est long et nous n’entendons même pas Simon, Alban et Hamza redescendre. C’est lorsque les chaises sur lesquelles ils s’installent font de bruit que nous redressons la tête.
- Continuez à vous gouiner les bâtards, déclare Simon, on est venus regarder. Ibrahim se lève et m’emmène sur le lit, il s’y met à genoux et moi aussi, nous nous caressons et léchons la peau puis il tente de m’embrasser. J’ai un mouvement de recul, rapidement stoppé par sa main qui rapproche ma gueule de sa bouche et je cède, nous nous roulons une pelle devant nos 3 spectateurs. La main d’Ibrahim s’engouffre entre mes fesses, j’imite ses mouvements, rapidement nous nous retrouvons chacun avec un doigt dans le cul, puis 2 pendant que notre autre main titille un téton de l’autre et que notre langue s’affaire sur le corps de l’autre.
Je m’attendais à me faire démonter, mais en fait, il est très doux et tendre. Sans doute après ces 2 jours de mise à dispo intense a-t-il été malmené et a besoin d’un peu de tendresse. Et c’est vrai que ça fait du bien de la délicatesse, de la douceur, sentir que l’autre cherche à donner du plaisir et pas seulement prendre le sien. Nous jetons un coup d’œil à notre public, ils sont torses nus, Hamza et Alban caressent celui de Simon qui nous observe, l’œil brillant tout en se laissant faire. Sa main part derrière la tête d’Hamza pour le faire se pencher vers son jean, le beau Magrébin défait la ceinture de mon homme. Il va encore en mettre un à sa botte. Ibrahim me fait m’allonger sur le ventre et passe derrière-moi, il entre en moi très lentement et avec délicatesse tout en me caressant et commence à entrer et sortir très lentement.
Alban se lève et se met nu, il vient sur le lit et présente sa bite dressée à mon enculeur qui la gobe en gémissant. Simon a mis les mains derrière sa tête, Hamza lui lèche la bite avec un plaisir évident. Alban commence à insulter Ibrahim et à lui limer la bouche avec force, je prends des coups de queue de plus en plus violents. Que la tendresse et la délicatesse sont éphémères, peut-être est-ce pour cela que je les apprécie tellement quand elles sont là. Je reprends donc ma place de trou sur pattes à me faire ramoner pour que mon enculeur trouve du plaisir. Je redeviens ce sex-toy inférieur que j’ai tant voulu être avec pourtant ce goût amer parce que j’ai aimé ce moment tendre et doux d’il y a encore à peine quelques minutes. Je regarde Simon qui oblige à présent Hamza à le sucer en gorge profonde, la main puissante animée par le bras musclé de mon homme oblige la tête de son suceur à s’enfoncer dans ses poils et avaler son pieu au maximum. En même temps, Hamza vire son pantalon, laissant apparaître une queue tendue. Le geôlier d’Ibrahim aime donc aussi se faire dominer ? Ou est-ce encore et toujours l’emprise que Simon a sur les autres qui lui procure ce plaisir ? Mon mâle lui a empoigné les cheveux et l’oblige à fournir un rythme rapide et violent, il ne faut que quelques instants pour que son sex-toy se mette à genoux entre ses jambes pour continuer à subir les assauts du mâle en rut au fond de sa gorge. Et Simon me fixe, l’air sévère sans accorder la moindre importance à Hamza. J’admire sa splendeur, son charisme, sa virilité et je commence à couiner à le regarder malmener notre hôte, j’ouvre instinctivement la gueule, je veux la queue de Simon dedans.
- Tu veux ma queue dans ta gueule de pédale yan ? Demande Simon sèchement et avec mépris tout en prenant la tête d’Hamza à 2 mains pour lui imposer le rythme. Je couine et lâche un « oui ». - Ben viens la chercher alors pédé, ce n’est pas à moi de me déplacer et Hamza pompe très bien. Je commence à me redresser, mais Ibrahim plaque sa main sur mon dos, m’obligeant à rester allongé sur le ventre sur le matelas. Je m’offusque de cette intervention et réitère mon action, de nouveau interrompue cette fois par sa 2ème main. Il continue à me limer en s’appuyant sur mon dos. Je regarde Simon comme pour l’appeler au secours et il se marre. - Dépêche-toi tarlouze, sinon je vais nourrir Hamza, et j’ai décidé que tu dois me mériter. J’essaie de me dégager, mais je sens qu’Ibrahim ne me laissera pas m’en sortir si facilement. Ma tentative se solde par une gifle qui vient de l’arrière, Ibrahim s’enfonce au plus profond de mon cul et me lâche un : - Bouge pas de là salope, tu es à moi pour une heure, mon temps n’est pas écoulé.
Et il reprend son limage, cette fois de manière plus intensive. Je suis coincé, impossible de rejoindre Simon qui me nargue. Je tente encore une fois de bouger, cette fois Ibrahim enlève ses mains, cela me donne plus de facilité pour me relever, mais c’est sans compter sur Alban qui me plaque de nouveau contre le matelas et s’assoit sur mon dos. Je panique, je commence à essayer de me débattre, rapidement Alban me saisit un poignet, je sens qu’il y pose un bracelet… Un bruit de chaîne, mon poignet gauche est entravé au lit, je n’ai pas le temps de réagir qu’il en est de même pour le droit. Je cherche pourtant à me débattre encore, Ibrahim est sorti de mon cul, mes chevilles subissent le même sort. Je commence à crier et bien sûr, le bâillon arrive. Je suis repositionné sans ménagement sur le lit, la longueur des chaînes est réajustée et je suis en croix, sur le ventre, bien étiré, je ne peux plus bouger ni crier, je regarde impuissant Simon qui joue avec la tête d’Hamza sur sa queue et je sens qu’Ibrahim reprend sa place dans mon cul. Simon se lève, il est torse nu, porte encore son jean, sa queue en sort fièrement, dressée, dégoulinante de salive, il tire Hamza par les cheveux pour venir juste devant moi et me regarde en me toisant. Sans me quitter du regard, il guide la bouche d’Hamza pour qu’il reprenne son boulot, ce qu’il fait avec visiblement beaucoup de plaisir. - Cette fois, t’as pas été à la hauteur Yan, dit Simon très lentement, t’aurais pu te débattre un peu plus… Je pensais que pour moi t’aurais envoyé valser cette salope et ton cousin. Les mots font mal, je ne peux même pas répondre, à quoi bon, il a raison, je n’ai pas mis tant de force que ça, je n’ai pas vu venir ce coup-là. Naïvement, je pensais qu’ils me laisseraient aller vers Simon… - Du coup je vais être mis à dispo des potes d’Hamza pour le reste de l’après-midi et tout ça devant toi parce que t’as pas été à la hauteur. J’hallucine… Ibrahim est en train d’hurler, visiblement il jouit, je suis tellement surpris par l’annonce de Simon que je ne le sentais même plus en moi. Hamza s’active sur la bite de Simon qui finit par lui jouir dans la bouche. Je regarde impuissant le beau magrébin avaler le tout puis se relever et reprendre une certaine prestance. - OK mec, t’es sûr de toi ? Parce que mes potes vont pas te faire de cadeau, demande-t-il. - Mon bâtard n’a pas été à la hauteur, pour le punir, il va assister à ma mise à dispo… Alors oui mec, je suis sûr de moi et clairement, qu’ils me fassent pas de cadeau ! - OK, fous-toi à poil, Ibrahim va te préparer, je monte prévenir mes potes… Hamza se rhabille et remonte les escaliers, Ibrahim va chercher de l’équipement pendant que Simon se déshabille et qu’Alban vient vers lui. - Euh Simon, t’as vraiment envie de ça ? Je croyais que tu blaguais quand tu en as parlé en haut, demande Alban l’air un peu inquiet. - Je n’ai qu’une parole Alban, Yan n’a pas joué le jeu, ça le marquera plus que je prenne à sa place, il aurait sans doute aimé que les potes d’Hamza lui passent dessus, répond Simon avec un sentiment de déception dans la voix.
Je baisse la tête et commence à pleurer en silence, Simon sait piquer là où ça fait mal, il a radicalement changé de comportement, persuadé qu’il n’a plus d’espoir avec moi alors que je n’en sais toujours rien, je suis tiraillé entre le désir ardent de rester avec lui et la terreur de m’engager sur une vie qui ne me conviendra peut-être pas. Mon problème, c’est l’engagement, si je dis « oui », ce n’est pas pour abandonner ensuite. Mon problème c’est de décevoir l’autre, une chose que je ne supporte pas et au final, c’est ce que je viens de faire, j’ai déçu celui que j’admire et vénère en mon plus fort intérieur et ça me dévaste. Je redresse la tête, Simon me regarde, il est debout, nu, fort, fier, puissant et pourtant, Ibrahim s’est approché pour lui poser des bracelets aux poignets et l’attacher les bras en l’air. Il lui pose aussi un bâillon, Simon se laisse faire sans aucune résistance. Hamza redescend, torse nu, il sourit et tapote les fesses de Simon. - Mes potes arrivent d’ici 30 minutes, ils sont ravis à l’idée de se défouler sur toi en souvenir de la soirée que tu leur as fait passer, ils n’aiment pas perdre… Tu veux t’amuser avec nous ? Demande-t-il à Alban. - Non merci, mon rôle c’était de m’assurer que Yan voit tout au cas où il aurait échoué, je vais tenir mes engagements, ne lui faites pas trop de mal quand même. Et si ça va trop loin, je fais stopper la séance. - Les termes du pari seront respectés comme on l’a convenu, mais on fait ce qu’on veut mec tant qu’on dépasse pas les limites, répond Hamza en défaisant la ceinture de son jean. Il la passe sur le dos de Simon, ses fesses, ses cuisses.
- Hein qu’on fait c’qu’on veut mec ? Tu vas grave te faire dérouiller devant ta pute… Simon regarde Hamza et fait un signe de tête positif, le premier coup de ceinture lui tombe sur les cuisses, Simon semble surpris, il vacille légèrement, mais reprend une positionne droite, ses bras attachés en l’air l’empêchent de tomber. Je vois Simon écarter les jambes et prendre fermement appui malgré se position inconfortable. Un second coup lui claque fortement les fesses, il ferme les yeux, mais ne bouge pas comme pour provoquer Hamza qui s’en amuse.
- T’aimes jouer les durs mec, c’est cool, on va te mater. Un nouveau coup de ceinture part assez lentement, mais cette fois entre les jambes de Simon, lui heurtant les couilles, je l’entends gueuler à travers son bâillon, j’essaie de gigoter pour me libérer, je ne peux pas supporter de voir ça. J’ai vraiment déconné, mais Simon se redresse. Hamza lui balance un coup de ceinture dans le dos puis je le vois baisser sa braguette et sortir sa queue. Il enfile un préservatif et encule Simon avec force. Mon Mâle me regarde, j’ai l’impression de lire dans ses yeux « tout ça, c’est ta faute ! ».
Hamza prend sa revanche sur le traitement que lui a infligé Simon tout à l’heure et j’entends du bruit dans les escaliers. La bande à qui j’avais été offert cette fameuse nuit arrive en ricanant et en faisant le tour de Simon. - Cool, on a une revanche à prendre mec, on va bien s’amuser, mais pourquoi c’est pas sa pute qu’on nique ? - On a fait un pari qu’il a perdu, sa pute devait se bouger pour le rejoindre et n’a pas réussi, en échange, c’est lui qui trinque. On le dérouille, mais on ne l’abîme pas les mecs, on lui doit une super soirée quand même grâce à lui et une lope aussi, répond Hamza en regardant Ibrahim.
Le groupe rigole, commence à se toucher le paquet, les queues sortent, ils détachent Simon pour le positionner comme ils veulent et je vois la troupe affamée se ruer sur Simon qui va se faire loper par ma faute. J’ai beau essayer de bouger, rien à faire, je suis cloué sur le lit à devoir assister à sa soumission. Je sais qu’il a besoin de ça et qu’il aime ça, mais devant moi, c’est une torture à laquelle je ne peux me soustraire. Je ne sais même pas si c’est l’après-midi ou le début de soirée et je ne sais pas combien de temps va durer le supplice de Simon…
Yan
ftasm@yahoo.fr
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